Le TANU a noté que l'agent n'avait pas demandé la révision de la décision du Comité des pensions du personnel des Nations Unies ni fait appel auprès du Comité permanent, mais qu'il avait plutôt déposé une demande d'évaluation de la gestion et s'était ensuite adressé au TUND. Le TANU a estimé que, de ce fait, il n'avait pas suivi la procédure appropriée. Le TANU a estimé qu'il n'existait pas d'autorité pour recevoir une demande du Tribunal du contentieux administratif concernant une décision en matière de pension. Le TANU a conclu que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur lorsqu'il avait jugé...
Le TANU a noté que le Tribunal du contentieux administratif avait rendu l'ordonnance contestée faisant droit à la demande de prorogation du délai de dépôt de la requête sans que la partie lésée ait été entendue et sans être habilité à le faire. Le TANU a estimé que le Tribunal du contentieux administratif ne s'était pas techniquement conformé à ses propres instructions pratiques en rendant l'ordonnance et qu'il avait peut-être strictement violé les principes de justice naturelle et de procédure régulière en ne donnant pas au Secrétaire général un préavis suffisant de la requête et la...
Le TANU a estimé qu'aucun des facteurs considérés par le DT de l'UNRWA comme justifiant une indemnisation exceptionnelle n'était effectivement exceptionnel, que ce soit individuellement ou collectivement. Le TANU a estimé que le statut d'employé permanent de l'ancien membre du personnel, ses longs états de service, ses difficultés à trouver un nouvel emploi, son statut de réfugié, la nature non prouvée des allégations de harcèlement sexuel et les retards dans le traitement de son dossier ne constituaient pas le type de circonstances justifiant l'octroi d'une indemnité exceptionnelle. Le TANU...
L'argument de la requérante selon lequel l'ancienne règle du personnel 3.17(b) (aujourd'hui règle du personnel 3.15) était/est pertinente aux fins du calcul du délai dans lequel elle aurait dû demander une évaluation de la gestion est erroné. L'ancienne règle du personnel 3.17(b) (maintenant règle du personnel 3.15) concerne la rétroactivité des paiements, et non la question de l'augmentation d'échelon qui est l'objet de sa demande.
Compte tenu de la jurisprudence susmentionnée, le Tribunal estime que le requérant doit démontrer : a) que les décisions contestées lui étaient spécifiquement adressées sur une base individuelle et qu'elles n'étaient pas d'application générale pour les autres membres du personnel, et b) que c'est l'Administration qui a pris les décisions et non une autre entité ou personne extérieure à l'Organisation des Nations Unies.
Les dispositions de la circulaire ST/SGB/2019/8, sur lesquelles le requérant cherche à fonder sa demande, ne sont opposables qu'à des personnes, et non à des gouvernements...
Le Tribunal a observé que les faits de cette affaire étaient très clairs d'après les témoignages et le dossier. Le requérant a admis que les reçus d'hôtel qu'il avait fournis à l'Organisation étaient faux. Le Tribunal a donc estimé que le défendeur avait prouvé par des preuves accablantes, au-delà de tout doute possible, que le requérant avait présenté de faux reçus à des fins de remboursement et que, par conséquent, il avait reçu 18 519,12 USD. Le Tribunal a en outre établi qu'il existait des preuves claires et convaincantes que le requérant devait au moins 17 213 USD à l'Organisation.
En ce...
Le TANU a estimé que la demande de révision de l'agent ne répondait pas aux exigences statutaires énoncées à l'article 11, paragraphe 1, du statut du TANU. Le TANU a conclu que les arguments de l'agent reprenaient essentiellement ceux qu'il avait déjà avancés devant le TANU et le TNDU. Par conséquent, le TANU a estimé que sa demande de révision équivalait à une demande de réexamen par le TANU de son précédent recours infructueux. En outre, le TANU a observé que les observations du requérant contenaient un certain nombre d'accusations injustes et inappropriées à l'encontre des personnes qui...
Le Tribunal n'est pas compétent pour statuer sur le fond de cette demande, étant donné qu'elle conteste une décision qui n'a pas été soumise à l'évaluation de la direction dans les délais impartis.
Le Tribunal a également examiné le bien-fondé des arguments du requérant en ce qui concerne la légalité de la décision contestée. Le requérant a encouru des dépenses qui lui ont été clairement communiquées comme étant non autorisées avant son voyage. Il n'y a rien dans le dossier qui montre que la décision était entachée d'irrégularité, qu'elle n'avait pas été prise correctement ou qu'elle était...
Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur en regroupant les sept affaires. Les affaires consolidées impliquaient des décisions administratives uniques, et ces décisions n'impliquaient ni une politique administrative commune, ni un ensemble de faits communs. La nature des fautes attribuées aux membres du personnel n'était pas la même dans tous les cas. Les cas concernaient des membres du personnel de différents bureaux locaux de l'UNRWA. Les mesures disciplinaires prises n'étaient pas identiques d'un cas à l'autre, mais comprenaient un large éventail de sanctions. Les...
Le TANU a estimé que l'agent ne remplissait pas les conditions requises pour la révision de l'arrêt antérieur du TANU. Le TANU a constaté que l'agent n'avait avancé aucun fait nouveau qui aurait été inconnu de lui ou du TANU au moment de l'arrêt précédent, ni aucun fait qui aurait été décisif pour la prise de décision s'il avait été connu. Le TANU a estimé que la demande de révision de l'agent se résumait à une reformulation des éléments déjà présentés au TANU, qui avaient été examinés et rejetés, et qu'elle constituait une tentative de faire réexaminer de novo le recours qui avait été tranché...