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Violation des lois locales

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Sur la question de savoir si elle avait été établie par des preuves claires et convaincantes que l’appelant avait la possession de la possession et a échangé, Tramal, unat était d'accord avec les déterminations, l'analyse et les conclusions de la crédibilité de l'UNRWA DT et a accepté ses conclusions factuelles. Sur la question de savoir si les faits établis ont montré une faute, UNAT a jugé que l'inconduite fondée sur des actes criminels sous-jacents ne dépend pas du condamné par le membre du personnel pour un crime devant un tribunal national. UNAT a rappelé la jurisprudence de l’ancien...

UNAT a considéré un appel du commissaire général et un aperçu de M. Jibara. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas compétence pour décider de l'étendue des accords d'Oslo signés par Israël et de l'autorité nationale palestinienne ou de la légalité de la détention et de l'emprisonnement. Unat a rappelé que ce n'était pas le rôle de UNT pour remplacer sa propre décision à celle de l'administration. Unat a rappelé que, après avoir établi une faute et la gravité de l'incident, UNAT ne peut pas examiner le niveau d'une sanction imposée, sauf en cas d'absurdité évidente ou arbitraire flagrant. Unat...

Le TANU a considéré un appel du Secrétaire général. Le TANU a jugé qu'il était convaincu que la sanction n'était pas disproportionnée et a noté que le Secrétaire général aurait pu choisir de rejeter sommairement M. Nasrallah ou de le séparer sans indemnisation et indemnités. Le TANU a jugé que, bien qu'aucune enquête n'ait été nécessaire car les faits n'ont pas été contestés, l'organisation a commis une erreur flagrante en prenant près de deux ans pour finaliser la procédure disciplinaire. Le TANU a noté que ce retard a fonctionné en faveur de M. Nasrallah, lui permettant de bénéficier de deux...