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Excès de compétence manifeste

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Le Tribunal a noté que, premièrement, le requérant ne conteste pas une décision administrative prise par le Secrétaire général en tant que chef de l'administration de l'Organisation des Nations Unies. Deuxièmement, la FAO n'a pas conclu d'accord spécial avec le Secrétaire général, en vertu de l'art. 2.5 du Statut du Tribunal, pour accepter les termes de la compétence du Tribunal.
Par conséquent, le Tribunal a estimé qu'il n'était pas compétent pour examiner la présente requête.
 

UNAT conUNAT a considéré un appel de M. Wu et un appel à l'appel par le Secrétaire général. Unat a jugé que l'appel à recevoir était à recevoir, bien qu'il s'agisse d'un jugement par défaut et que le Secrétaire général n'ait pas été autorisé à participer à la procédure ou à déposer une réponse. Unat a jugé que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae au motif qu'il n'avait pas fait une demande en temps opportun d'évaluation de la gestion. Unat a jugé que UNDT n'avait donc aucune compétence pour répondre aux avantages des réclamations dans la demande et que ces réclamations n'étaient...

UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. Unat a noté que l'exclusion du droit de faire appel d'une décision sur la suspension de l'action sur une administration est une exception au principe général du droit et doit être interprétée de manière étroite. Unat a jugé que cette exception ne peut être appliquée qu'aux décisions juridictionnelles ordonnant la suspension de la mise en œuvre d'une décision administrative lorsqu'une évaluation de la gestion est en cours. UNAT a donc jugé que Unat avait dépassé sa compétence lorsqu'elle a ordonné la suspension de la présente action jusqu'à ce que...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT, en vertu de l'article 8.3 de sa loi, était autorisé à renoncer aux délais de dépôt de demandes dans certaines situations, mais que le membre du personnel n'avait pas soumis de demande écrite de renonciation et à justifier des circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que UNDT ne pouvait examiner si des circonstances exceptionnelles existaient à moins que le personnel n'ait soumis une demande écrite de renonciation préalable. Unat a jugé que UNDT avait interprété les articles 19 et 35 de l'UNDT ROP d'une manière qui était...

Unat a considéré les appels de M. Bangoura et du secrétaire général. M. Bangoura a demandé que les audiences orales soient rejetées. Unat a jugé que l'affaire serait décidée par la loi et que les documents pertinents étaient enregistrés. En ce qui concerne l'appel du Secrétaire général, UNAT a noté que le membre du personnel avait demandé l'exécution d'une partie du jugement n ° 1029 de l'ancien tribunal administratif des Nations Unies et que le Tribunal avait établi une procédure pour les membres du personnel souhaitant contester la non-exécution d'un jugement. Unat a jugé que le membre du...

Unat a rejeté la demande d'audience orale, car il n'y avait pas besoin de clarifier davantage les questions résultant de l'appel. Unat a jugé qu'il avait compétence en question pour entendre l'appel et que l'appel était à recevoir. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence en matière de recettes pour recevoir la demande parce que la demande a été déposée devant le mauvais tribunal et la demande aurait dû être déposée avant Unrwa dt. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il manquait de compétence en matière de recevoir la demande parce que la...

UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. Unat a jugé que, en convertissant à sa propre requête une demande de suspension en une demande sur le fond, UNDT avait pris une décision ultra-pétita, des mesures de commande qui ne lui ont pas été demandées. Unat a jugé que, en prenant la décision contestée pendant une évaluation de la direction en cours, UNDT avait violé les dispositions de l'article 8 de son statut, ce qui rend obligatoire l'évaluation de la gestion préalable à chaque fois que l'on est demandé. Unat a jugé que, en ordonnant le placement de la demande de suspension sur la liste...

Dans la mesure où l’ordonnance de l’UND a reconnu que l’appelant avait retiré sa demande et accordé la demande de retrait, impassible de l’ordonnance. Dans tous les autres considérations, non soutenu les arguments avancés par l'appelant de la manière dont UND a accordé la demande de retrait. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en droit et a dépassé sa juridiction en se lançant efficacement dans la prise en compte des avantages de l'affaire et en spéculant sur la motivation de l'appelant dans la mise en place de sa demande. UNAT a ordonné que le récital des «faits» aux paragraphes 4 à...

UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général de l'ordonnance n ° 081 (NBI / 2011) et deux appels de M. Nwuke contre l'ordonnance n ° 101 de l'UND (NBI / 2011) et le jugement n ° UNT / 2012/002. Le Secrétaire général a affirmé que l'UNDT avait dépassé sa compétence en ordonnant la suspension d'une décision contestée sans conclure si les exigences en matière de suspension d'action en vertu de l'article 2, paragraphe 2, de la loi UNDT avaient été remplies. Unat a jugé que UNDT ne respecte pas la limite de cinq jours ouvrables, comme indiqué dans Villamoran (2011-UNAT-160), lorsqu'il a prolongé...

Unat a considéré un appel du Secrétaire général limité à la question discrète des «observations» de l'UNDT. Unat a jugé que le secrétaire général, bien qu'il soit le bénéficiaire d'un jugement de l'UND en sa faveur, avait le droit de faire appel des observations. Unat a jugé que Undt a dépassé la marque dans une mesure significative en enregistrant efficacement, dans le cadre de son jugement, des «observations» dans la manière dont elle l'a fait. Unat a soutenu que, à la lumière de la détermination de l'UNDT sur la question de la créance, UNT ne avait aucune compétence pour faire des...