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Examen complet et équitable

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L'instruction ST/AI/2020/5 ne s'applique qu'aux décisions de sélection prises à partir (a) d'une « liste de candidats » qui a été « approuvée par un organe central de contrôle » ou (b) d'une liste de candidats à un concours. Aucune de ces situations ne s'applique en l'espèce. Il est incontesté que la décision de sélection contestée était régie par l'instruction administrative ST/AI/2010/3/Rev.1 (Système de sélection du personnel), dont la section 3.1 dispose que « [l]a décision de sélection doit être prise sur la base d'une liste de candidats ». 3.1 prévoit que « [l]a procédure de sélection et...

Le TANU a examiné l'élément central du dossier de l'agent, à savoir qu'il possédait les qualifications académiques nécessaires pour le poste, ce qui n'était pas le cas du candidat sélectionné.  Le TANU a conclu que les spécifications en matière d'éducation figurant dans l'avis de vacance de poste constituaient un seuil minimum, mais pas le facteur déterminant de la sélection.  Le TANU a estimé que l'agent et le candidat sélectionné possédaient tous deux les qualifications académiques requises, même s'ils les avaient obtenues par des moyens différents.  Le TANU a rejeté l'argument selon lequel...

Le Tribunal d'appel a estimé que le TDFNU n'avait pas commis d'erreur en considérant que le responsable du recrutement avait correctement évalué que les certificats que la candidate sélectionnée avait mentionnés dans sa notice personnelle étaient équivalents à une certification Lean Six Sigma (LSS).  L'une des exigences en matière de formation pour le poste était la certification LSS ou une « certification équivalente ».  En l'espèce, le Tribunal a conclu à juste titre que le responsable du recrutement avait correctement évalué que les certificats que la candidate sélectionnée avait mentionnés...

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Le Tribunal a jugé que dans la mesure où la requérante contestait le cadre juridique du HCR et demandait la suppression d’une partie du paragraphe 34 de la politique de recrutement et d’affectation, sa candidature n’était pas recevable ratione materiae. La candidature n’était recevable qu’en ce qui concerne la décision de ne pas sélectionner la requérante pour le poste G-7 d’associé principal en gestion des ressources, chargé de la lutte contre l’exploitation et les atteintes sexuelles et sexuelles.

Fond

Question de savoir si les procédures applicables ont été correctement...

Le TANU a estimé qu'un vice de procédure s'était produit au cours de la procédure de recrutement en raison d'une vérification inappropriée des exigences en matière d'éducation.  Plus précisément, le TANU a souligné que le responsable du recrutement n'avait pas vérifié si les diplômes des candidats portaient sur des domaines liés à la gestion de la chaîne d'approvisionnement, à l'administration des affaires ou à la gestion, et qu'il les avait tous considérés comme admissibles au regard des exigences en matière d'éducation. Néanmoins, soulignant que l'ancien membre du personnel n'était...

L'UNAT a examiné un appel du Secrétaire général.

L'UNAT a estimé que l'administration de l'examen écrit sur les affaires de sécurité dans la présente affaire n'avait pas respecté les normes minimales détaillées dans Chhikara. L'UNAT a noté que l'Administration avait d'abord administré le test, analysé les résultats, et qu'ensuite seulement elle avait décidé que certaines questions devaient être éliminées de l'examen. L'UNAT a estimé que la suppression inopinée et ex post de questions de l'examen écrit, après que celui-ci ait déjà été corrigé, violait à première vue l'obligation d'administrer...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a constaté que le rapport de recommandation ne fournissait aucune explication permettant de comprendre la justification de la décision de non-sélection. L'UNAT a noté qu'aucune information n'avait été fournie au cours de la procédure judiciaire quant aux raisons pour lesquelles le candidat externe était le candidat le plus approprié. L'UNAT a estimé que, dans un souci de raisonnabilité, d'équité et de transparence, l'Administration était censée fournir des raisons pertinentes et véritables à l'appui de son choix final. L'UNAT a...

UNDT/2023/136, Koura

Le requérant n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que l'administration avait fait naître en lui une espérance légitime de renouvellement de son ALE. Une mesure administrative prise par erreur sans contrat écrit ne constitue pas un motif d'espérance légitime de renouvellement.

Le Tribunal a convenu avec le requérant que le statut et le règlement du personnel doivent être appliqués de manière uniforme et cohérente aux membres du personnel. Les procédures des Nations Unies existent pour faciliter des décisions de fond équitables et transparentes, et le non-respect des procédures requises n...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

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L'UNAT a estimé que la DT de l'UNRWA n'avait pas commis d'erreur en accordant une indemnité compensatrice. Elle a examiné à juste titre les chances de M. Fanous d’être sélectionné pour le poste lorsqu’elle a déclaré qu’elle considérait qu’il n’y avait aucune garantie d’une sélection future. La DT de l’UNRWA a appliqué un montant forfaitaire spécifique au contexte. Elle a pris en compte la probabilité de sélection et le salaire de M. Fanous à l’époque. Elle a rendu une décision qui était juste et juste dans le cas présent, mais a également adopté une approche fondée sur des principes qui a pris...