Le TANU a estimé que l'UNDT avait correctement appliqué le cadre juridique régissant la résiliation d'un engagement pour performances insatisfaisantes. Le TANU a constaté que l'agent connaissait le niveau de performance requis pour son poste et qu'il avait bénéficié d'une possibilité équitable de satisfaire à ce niveau. Le TANU a observé qu'il avait reçu la mention "répond partiellement aux attentes" pour deux cycles de performance, et la mention "ne répond pas aux attentes" pour le cycle de performance le plus récent. Il avait également fait l'objet d'un plan d'amélioration des...
Article 2.2
L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.
L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de fait en n'ayant pas considéré la cessation de service, mentionnée dans l'avis de cessation de service, comme le motif de la décision contestée ; la mention de la retraite n’avait aucune incidence sur la cessation de service du fonctionnaire. L'UNAT a estimé que la lettre l'informant de l'expiration de son engagement de durée déterminée était conforme à la suppression du poste qu'elle occupait.
L'UNAT a noté que le contrôle judiciaire dans le contexte d'une suspension d...
La date limite de la demande d'indemnisation du demandeur pour toute irrégularité présumée dans le traitement de sa plainte d'inconduite a commencé le 27 juin 2019 lorsqu'il a été informé de l'issue de la plainte. La notification du 27 juin 2019 a rendu la décision résultant de la finale de la plainte du demandeur et donc révisable en vertu de l'ART. 2.1 (a) du statut du tribunal. Par conséquent, la date de notification démarre le lieu de la fonction de toute contestation de cette décision administrative. En vertu de la règle 11.2 (c) du personnel, le demandeur avait 60 jours pour demander l...
UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. Unat a noté que l'exclusion du droit de faire appel d'une décision sur la suspension de l'action sur une administration est une exception au principe général du droit et doit être interprétée de manière étroite. Unat a jugé que cette exception ne peut être appliquée qu'aux décisions juridictionnelles ordonnant la suspension de la mise en œuvre d'une décision administrative lorsqu'une évaluation de la gestion est en cours. UNAT a donc jugé que Unat avait dépassé sa compétence lorsqu'elle a ordonné la suspension de la présente action jusqu'à ce que...
Le secrétaire général a fait appel, affirmant que UNT a dépassé sa compétence en ordonnant la suspension de la décision de ne pas renouveler la nomination de M. Onana jusqu'à ce qu'elle détermine la demande de fond sur ses mérites. Unat a noté que l'exclusion du droit de faire appel d'une décision de suspendre l'exécution d'une décision administrative constitue une exception au principe général du droit de faire appel et doit donc être interprété de justesse; Cette exception ne s'applique qu'aux décisions juridictionnelles ordonnant la suspension d'une décision administrative en attendant une...
UNAT a considéré les appels du Secrétaire général contre les décisions de l'UNT ordonnant la suspension des décisions contestées au-delà de la date limite pour l'évaluation de la direction. UNAT a précisé que, en général, seul l'appel contre les jugements finaux serait à recevoir, car sinon, les affaires se poursuivraient rarement si l'une ou l'autre des parties n'était pas satisfaite d'une décision procédurale. L'article 2.2 de la loi UNDT autorise l'UND à ordonner la suspension d'une décision contestée uniquement «pendant la durée de l'évaluation de la gestion». Unat a constaté que UNDT...
Le Secrétaire général a fait appel de l'ordonnance UNDT. Unat a jugé que, lorsque la mise en œuvre d'une décision administrative est imminente, sans faute ni retard de la part du membre du personnel, et se déroule avant les cinq jours prévus en vertu de l'article 13 de UNT ROP s'est écoulé, et où undt n'est pas En mesure de prendre une décision en vertu de l'article 2. 2 de la loi UNDT, i. e. Parce qu'il nécessite plus d'informations ou de temps pour réfléchir à la question, il doit avoir le pouvoir discrétionnaire d'accorder une suspension de l'action pendant ces cinq jours. Pour trouver le...
L'UNAT a considéré les appels par le Secrétaire général de l'Ordre nos 30 (NBI / 2011) et 33 (NBI / 2011). L'ordonnance n ° 30 (NBI / 2011) a prolongé la suspension de l'action jusqu'au 13 mai 2011, au-delà de la date à laquelle l'évaluation de la direction a été achevée. Unat a jugé que UNDT aurait dû accorder une suspension jusqu'au 13 mai 2011 ou jusqu'à la fin de l'évaluation de la direction si ce dernier était plus tôt. Unat a jugé que UNDT avait dépassé sa juridiction et commis une erreur de droit. L'ordonnance n ° 33 (NBI / 2011) a prolongé la suspension jusqu'à la détermination finale...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que des appels contre les décisions prises au cours de la procédure ne sont à recevoir que dans des circonstances exceptionnelles où undt a manifestement dépassé sa compétence. Unat a soutenu que même si undt avait peut-être commis une erreur de procédure, elle n'avait pas dépassé sa juridiction. UNAT a rejeté l'appel.
Unat a soutenu qu'il n'interférerait pas à la légère avec l'exercice de ses pouvoirs juridictionnels, conféré par UND par sa loi, ce qui permet de juger équitablement et rapidement les affaires. Unat a jugé que les plaintes déposées par le Secrétaire général sont tombées carrément dans la juridiction et la compétence de l'UNDT, malgré la violation présumée de l'équité procédurale. Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.