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Article 8.1(d)

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Le Tribunal a estimé qu'en l'espèce, il n'est pas contesté que la décision a été prise unilatéralement par l'administration et qu'elle impliquait l'exercice d'un pouvoir ou l'exécution d'un instrument réglementaire. Le différend porte sur la question de savoir si la décision a porté atteinte aux droits du demandeur et a produit des conséquences juridiques directes.

Le Tribunal a jugé que l'argument du requérant selon lequel « l'UNOPS avait non seulement décidé de [l'inculper], mais aussi de le maintenir dans un statut indéfini de « personne inculpée », le laissant poursuivi pour une durée...

UNAT a considéré un appel du Secrétaire général et un appel auprès du membre du personnel. Sur la question de la confidentialité, Unat a jugé qu’il n’y avait aucun fondement dans l’affirmation du membre du personnel selon laquelle certaines conclusions du jugement contestées n’avaient pas été partagées avec elle. En ce qui concerne le retard dans la réponse à la demande d'évaluation de la direction, UNAT a jugé que le membre du personnel n'avait pas démontré comment le retard de réponse présumé de la part de l'administration l'avait préjudiciable ou avait violé ses droits à une procédure...

UNAT a considéré l'appel de l'appelant, dans lequel elle a allégué que UNDT avait agi de manière inappropriée en accordant un jugement sommaire, que UNDT a commis une erreur en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable, et qu'Undt a dépassé sa juridiction ou sa compétence dans l'octroi de frais contre elle. Unat a jugé qu'il était tout à fait approprié après la conclusion du processus de gestion des cas, pour que l'UNDT accorde un jugement sommaire et qu'il n'y avait aucune conclusion légitime que sa décision de le faire a été influencée par un biais ou un préjudice de...

Unat a jugé qu'une réponse (ou une non-réponse) à une demande d'évaluation de la gestion est une décision ou une action de nature complémentaire, manquant dans les qualités de finalité et de conséquence, et ne constituera donc pas une décision administrative qui serait Non-respect des conditions de nomination ou du contrat d'emploi, comme prévu à l'article 2, paragraphe 1, de la loi UNDT. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé dans sa conclusion que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae et qu'elle manquait donc de compétence.

2018-UNAT-877, Atome

UNAT a considéré la requête de l'appelant en autorisation de déposer des actes de procédure supplémentaires et l'appel. UNAT a noté que ni la loi UNAT ni l'UNAT ROP ne permettent à un appelant de déposer un plaidoyer supplémentaire après que l'intimé a déposé une réponse. UNAT a également noté que l'article 31 (1) de la ROP et de la section II. A. 3 de l'orientation de la pratique n ° 1 du tribunal d'appel autorise le tribunal d'appel d'accorder la requête d'une partie pour déposer des plaidoiries supplémentaires que s'il y a des circonstances exceptionnelles justifiant la requête. Unat a jugé...

Unat a considéré une demande de correction du jugement pour le jugement n ° 2019-UNAT-940 déposé par M. Wilson afin de refléter une correction des dates que Undt avait faites à son propre jugement. Unat a jugé qu'il était nécessaire de corriger la date de réception d'une réponse de l'unité d'évaluation de la gestion, un facteur crucial pour calculer les délais en vertu de la loi UNT, car, sans la correction, la demande de l'appelant à undt n'aurait pas été à recevoir ratione tempis . UNAT a accordé la demande de l'appelant et a ordonné la correction du jugement Unat.

Unat n'a trouvé aucune faute avec le raisonnement de l'UNT que la lettre du 24 novembre 2017 était sans ambiguïté et inconditionnelle quant à la séparation de Mme Patkar lors de l'expiration de sa nomination et a convenu que la lettre avait transmis la décision finale de l'administration de ne pas renouveler sa nomination. Unat a estimé que la lettre produisait une conséquence défavorable directe qui ne dépendait pas de la possibilité de sélection de Mme Patkar pour toute autre position. La disposition pertinente dans la lettre que la décision non renouvelable ne cesserait non plus d'être...

Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit en déclarant qu'elle n'avait aucune compétence en tant que réclamation de M. Kebede concernant les affaires internes du syndicat du personnel, et donc une zone protégée contre l'ingérence de l'employeur. UNAT a toutefois jugé que l'erreur était sans conséquence parce que la demande d'indemnisation de M. Kebede était autrement déraillée par règle 3.17 (ii) (ii). UNDT a également commis une erreur en concluant que la demande de transfert de M. Kebede n'était pas à recevoir par manque de compétence.

Le tribunal constate que la demande n'est pas à recevoir car la décision contestée n'est pas une mesure disciplinaire au sens de la règle 11.2 b) du personnel et en conséquence les limites applicables en vertu de l'art. 8.1 (d) (i) du statut du tribunal aurait dû être respecté. Il découle clairement de la règle 11.2 (b) du personnel que l'exemption de l'exigence de demander l'évaluation de la direction d'une mesure disciplinaire ne s'applique qu'aux mesures disciplinaires imposées à la suite de l'achèvement d'un processus disciplinaire.

L'UNDT a constaté que la demande et les réclamations qui y sont contenues étaient interdites et non à recevoir. Limites: il est de la responsabilité d'un demandeur de s'assurer qu'il est conscient de la procédure applicable dans le contexte de l'administration de la justice aux Nations Unies et que l'ignorance ne peut être invoquée comme excuse pour classer les délais stipulés. Les demandeurs doivent strictement adhérer aux exigences procédurales avant le début des procédures de litige formelles.