Le TANU a estimé que l'UNDT avait conclu à tort qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'ancien fonctionnaire savait qu'il entretenait une relation familiale interdite avec un autre membre du personnel, M. S.R.B.
En outre, le TANU a estimé que même si les informations fournies par l'ancien fonctionnaire étaient fausses, il ne pouvait pas avoir eu l'intention d'induire l'Organisation en erreur en les fournissant ou en les omettant. Au contraire, les preuves ont établi que lorsqu'il a fait ses demandes, il ne savait pas, et n'avait aucune raison de savoir, que M. S.R.B. était...
Disposition 4.7
Bien que le droit et la coutume népalais puissent être pertinents en raison de la réticence du requérant à accepter culturellement cette désignation de demi-frère comme lui étant applicable, le droit népalais ne peut pas être considéré comme le droit applicable des Nations Unies en ce qui concerne les questions d'emploi au sein de l'Organisation. Le droit applicable des Nations Unies est considéré et accepté tel qu'il est promulgué dans le Statut et le Règlement du personnel des Nations Unies. Ce dernier s'applique aux questions d'emploi.
Bien que le requérant ait voulu faire valoir sa...
UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. UNAT a rejeté la requête de M. Rajan pour que l'appel soit entendu sur une base accélérée, car il était devenu théorique, car les contraintes de gestion des cas ordinaires signifiaient qu'elle n'aurait pas pu être entendue plus tôt. Unat a jugé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en jugeant que le Secrétaire général était obligé de prouver que M. Rajan avait l'intention d'induire l'organisation en erreur. Unat a soutenu qu'il ne faisait aucun doute que M. Rajan a déformé la véritable situation plus d'une fois. Unat a jugé que c'était la...
Undt a dépassé sa juridiction et a commis une erreur de droit en examinant la légalité de la règle 4.7 (a) de la légalité de la règle 4.7. Comme la règle 4.7 (a) a été approuvée par l'Assemblée générale, les tribunaux n'avaient pas le pouvoir d'examiner s'il est ou non en accord avec la Charte des Nations Unies ou toute autre norme supérieure. Néanmoins, l'UNAT a jugé que la règle 4.7 (a) interdit uniquement le secrétaire général «d'accorder un rendez-vous» à une personne qui a une relation familiale étroite mais ne fournit pas de base juridique pour révoquer la nomination d'un membre du...
Non-sélection les responsabilités professionnelles du poste que la demandeur a demandé et le poste occupé par son conjoint, qui relèvent tous deux du même superviseur, sont étroitement liés. L'organisation a raisonnablement déterminé que la nomination du demandeur au poste créerait un conflit d'intérêts réel ou possible en raison de son mariage avec son conjoint. La décision a également été conforme à la procédure car, contrairement à l'argument du demandeur, la décision n’a pas exigé un examen préalable de l’organisme d’examen de la conformité et du responsable du recrutement. La décision n...