Provision de matériel défavorable au demandeur: le tribunal a noté que l'ABCC avait des informations avant elle qui était défavorable à la demande du demandeur lorsqu'elle a pris sa décision recommandée mais n'a pas divulgué au demandeur. Le tribunal a conclu que le demandeur aurait dû avoir la possibilité de voir et de commenter le matériel défavorable. En ne lui offrant pas cette droite fondamentale, l'ABCC a violé les principes de la justice naturelle et d'Audi Alteram Partem. Service a subi des blessures: le Tribunal a conclu qu'il n'était pas dans la compétence du conseiller médical MSD...
Appendix D
Le tribunal a constaté que la demande, même si elle avait été déposée avec diligence par le demandeur, était prématurée car la demande de réexamen du demandeur était toujours en suspens devant le Secrétaire général.
Après avoir effectué la gestion des cas et émis un certain nombre de commandes, le tribunal a examiné que la requérante avait identifié quatre décisions et / ou des questions à examen: (a) une décision en 2010 dans laquelle elle s'est vu refuser la période complète de congé annuel qu'elle avait demandé ; (b) une décision ou des décisions implicites de ne pas lui fournir une description de poste en temps opportun; c) une décision ou des décisions implicites de ne pas réduire sa charge de travail malgré la sensibilisation de la part de la direction qu'elle souffrait de problèmes de santé; et (d)...
La décision de refuser la demande d'indemnisation du demandeur ne peut plus faire l'objet d'une contestation devant ce tribunal, car elle a cessé d'avoir un effet juridique au moment où il a été annulé par le décideur. Étant donné que la décision contestée n'existe plus, le tribunal ne peut pas régner sur le cas du demandeur. Le résultat de MEU n'est pas en soi une décision administrative. Par conséquent, ce tribunal ne peut pas porter un jugement. Par conséquent, la contestation du demandeur contre l'issue de l'examen du MEU n'est pas à recevoir. L'absence d'existence d'une affaire...
Les parties étaient en désaccord quant à la procédure d'établissement d'un conseil médical en vertu de l'art. 17 de l’appendice D. Le cas du demandeur était que l’ABCC n’a pas adhéré à l’art. 17 (b) de l'ancien annexe D parce qu'il n'a pas établi un conseil médical pour considérer et faire rapport sur les aspects médicaux de sa réclamation. L'intimé a fait valoir que le fardeau était sur le demandeur de demander la création d'un conseil médical et de nommer un médecin pour le représenter au sein du conseil médical. Le Tribunal a rejeté la soumission de l'intimé selon laquelle le demandeur a...
Le tribunal a soutenu que la demande était théorique. Au moment où le tribunal a rendu le jugement, l'ABCC avait déjà rendu sa décision et accordé les réclamations du demandeur. En conséquence, la demande n'a pas été trouvée.
La réclamation déposée par le demandeur le 27 mars 2013 était hors du temps et sous réserve de la discrétion du Secrétaire général à l'exercice «dans des circonstances exceptionnelles» car elle n'a pas soumis la réclamation dans les quatre mois suivant la connaissance de la blessure, comme l'exige l'art. 12 de l'annexe D. En ce qui concerne l'existence de circonstances exceptionnelles, l'ABCC a ignoré les preuves et les informations fournies par la requérante concernant son état de santé qui a entravé sa capacité à attirer son attention sur la demande de service blessé. L'ABCC n'a pas pris en...
L’ABCC a rectifié les irrégularités procédurales selon les directives du jugement n ° UNT / 2019/019 dans son réexamen de la réclamation du demandeur. L'ABCC a reçu et examiné un avis médical du médecin de MSD, qui a examiné les rapports médicaux soumis par le demandeur ainsi que ses antécédents médicaux. Bien que le demandeur ait fait des allégations de considérations inappropriées, il n'a fourni aucune preuve à l'appui et ces allégations sont sans fondement.
Le requérant n'avait trouvé aucune preuve documentaire montrant que le Secrétaire général a envisagé et pris une décision administrative concernant sa demande de négligence grave. La seule preuve qu'il avait produite a été à l'effet qu'il a demandé à l'ABCC d'envisager de l'indemniser pour une négligence grave au-delà de l'attribution pour compensation pour des blessures subies dans le cadre des droits. Le demandeur a déposé sa demande d'indemnisation pour négligence grave en vertu d'une procédure qui avait été jugée irrégulière pour ne pas avoir été soutenue par aucun règlement du personnel...