L'UNDT a commis une erreur en fait en concluant que l'ABCC s'était reposé uniquement et exclusivement sur le rapport médical du MSD, et l'UNDT a dépassé sa compétence pour indiquer que la limite de temps en vertu de l'article 12 de l'annexe D commencerait à courir à partir du moment où la psychologique Les symptômes étaient si graves que le patient a reconnu que son syndrome ne lui permettait plus de remplir ses obligations professionnelles. À la lumière des faits que le requérant a pu revenir à son haut niveau de fonctionnement au travail après avoir été transféré de HAIS le 1er décembre 2013...
Appendix D
Unat a convenu que le Secrétaire général a laissé entendre le pouvoir discrétionnaire de révoquer les prestations si un membre du personnel ne fournit pas de preuve de manière satisfaisante de l'admissibilité continue des droits existants, ce qui peut survenir en raison d'un changement de circonstances. Unat a également constaté que l'UNDT ne s'est pas trompé lorsqu'il a jugé que les cadres juridiques des deux systèmes de prestations sont différents et que les décisions prises en vertu des deux régimes juridiques n'ont pas besoin d'être cohérentes. L'article 33 du Règlement sur l'USPF ne...
Le demandeur a demandé au tribunal de constater qu'il avait subi un préjudice équivalent à une perte permanente de 60% des fonctions ORL et à une perte permanente de 10% de fonctions respiratoires et à le compenser en conséquence. Il a en outre demandé au Tribunal de lui attribuer un salaire de base net de deux ans, car la rémunération des préjugés a subi à la suite de l'échec de l'organisation à assurer la sécurité et la sécurité de son personnel à Bagdad. Le tribunal a constaté que cette dernière demande n'était pas à recevoir car elle ne provient pas d'une décision de refus du Secrétaire...
Le tribunal constate que le cas salarial n'a jamais été correctement avant le tribunal et n'est pas à recevoir. Il est dans l'autorité discrétionnaire du Secrétaire général de reconsidérer si l'existence d'une blessure est attribuable à l'exercice des fonctions officielles. Dans ce cas, le secrétaire général a refusé d'exercer ce pouvoir discrétionnaire. Les revendications du requérant dans la mesure où ils reposent sur l'art. 11 de l'annexe D aux règles du personnel ne sont donc pas à recevoir. En ce qui concerne toutes les autres réclamations du demandeur, y compris sa réclamation pour la...
Le tribunal a trouvé cet art. 17 ne fait pas référence à une évaluation par un médecin sélectionné par l'administration en cas de demandes de réexamen et que l'administration n'a pas suivi la procédure correcte lorsqu'elle n'a pas convoqué de conseil médical. Il a en outre noté que l'administration ne pouvait pas, sous l'art. 17, utilisez une évaluation médicale indépendante par un praticien établi dans le cadre de l'évaluation initiale d'un bénéfice d'invalidité en vertu du règlement des fonds de pension. Le tribunal a en outre souligné que l'évaluation médicale indépendante n'a pas résolu la...
La demande n'a pas été réalisable au motif que le demandeur n'était pas précis quant à la décision administrative qu'il était difficile et n'avait pas demandé d'évaluation de la gestion d'une décision. Le tribunal a compétence pour déterminer si une mesure administrative a été correctement prise. Cela suppose qu'un membre du personnel qui conteste une décision administrative identifie clairement la décision qu'il cherche à contester. Le demandeur doit également se conformer à la condition sine qua non exigée de demander l'évaluation de la gestion de la décision contestée dans les délais...
Le tribunal a conclu que la décision contestée avait été prise à la suite de la bonne procédure et était basée sur des preuves bien fondées. En conséquence, la demande a été rejetée. Le refus de réclamation fondée sur des motifs de preuve: le tribunal a observé que, dans l'évaluation de la demande d'indemnisation du demandeur, la question du principe pour l'ABCC était de savoir si la blessure entraînait un incident naturel de l'exécution des fonctions au nom des Nations Unies. C'était une question de fait à établir par des preuves. Le tribunal a jugé que les fonctions de l'ABCC comprennent des...
L'UNDT a conclu qu'il n'a pas compétence pour examiner l'opinion médicale exprimée par la division des services médicaux, comme demandé par le demandeur, et a rejeté la demande dans son intégralité. Procédure pour contester une décision prise conformément à l'annexe D: Un demandeur peut soit contester une décision prise par le Secrétaire général sur recommandation de l'ABCC en demandant un réexamen en vertu de l'art. 17 de l'annexe D ou en le faisant appel devant le tribunal des litiges. Cependant, les deux avenues offrent des perspectives différentes. Réexamen sous l'art. 17 de l'annexe D: La...
Le tribunal a constaté que l'organisation n'avait pas rempli ses obligations en ne faisant pas de paiements en temps opportun au demandeur en vertu de l'art. 11.2 (d) de l'annexe D pour les deux périodes concernées et que les montants versés au demandeur ne l'ont pas compensé pour le retard de paiement comme ils auraient dû. Le Tribunal a accordé les dommages-intérêts du demandeur au montant de 29 261,86 USD plus CHF10,544.50, et une compensation pour toute taxe supplémentaire due par le demandeur, lors de la présentation de ses déclarations fiscales à l'intimé, résultant de la réception d'une...
Interprétation de l'art. 10.4 du statut du Tribunal des différends - La question se pose de savoir si le tribunal doit demander et obtenir l'accord du Secrétaire général avant de corriger une erreur de procédure dans le processus décisionnel de l'ABCC ou du Secrétaire général lui-même. Le tribunal dans les circonstances de la présente affaire n'est pas prêt à permettre à son pouvoir de revue judiciaire d'être circonscrit par l'art. 10.4. Il n'est pas jugé que l'accord du Secrétaire général est nécessaire pour prendre la mesure de réparation appropriée si cela est nécessaire. Le Secrétaire...