La décision de licencier le requérant était légale. L'administration a légalement entrepris la procédure de licenciement pour abandon de poste en vertu de la disposition 9.6(b) du Règlement du personnel. Le Tribunal a estimé que, compte tenu du contexte des absences prolongées non autorisées de la requérante, ainsi que de son inaction et de son incapacité à répondre aux diverses communications de l'Administration, y compris la demande de fournir la preuve requise que son absence était involontaire et causée par des forces indépendantes de sa volonté avant le 9 mai 2023, l'Administration a...
TCNU
Le défendeur s'est acquitté de la charge de la preuve minimale en démontrant que les décisions relatives à la suppression du poste du requérant, entraînant le non-renouvellement de son engagement à durée déterminée et sa cessation de service, étaient légales. Les témoins étaient crédibles, leurs preuves étaient convaincantes, fiables, cohérentes et corroborantes. Ils n'ont pas été contredits de manière significative. Après avoir examiné les témoignages du requérant et de ses témoins, le Tribunal n'est pas convaincu que le requérant a présenté des arguments clairs et convaincants pour renverser...
Le Tribunal a rappelé que le cadre réglementaire relatif à la résiliation pour faits antérieurs ne se limite pas aux cas où il y a eu une constatation factuelle antérieure prouvée de faute ou une condamnation pour crime. Ce qui est requis, c’est qu’il doit y avoir un fait antérieur qui porte atteinte à l’aptitude du candidat à la fonction en raison de préoccupations d’efficacité, de compétence et d’intégrité. Le fait doit être d’une nature si grave qu’il aurait empêché la nomination du fonctionnaire s’il avait été divulgué à l’Organisation au cours du processus de recrutement.
En l’espèce, le...
¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õLe Tribunal a estimé que le défendeur n'avait fourni aucune explication contextuelle fondée sur une règle ou un précédent pour étayer sa position. Le Tribunal a donc conclu que le défendeur n'avait fourni aucune explication rationnelle pour avoir privé la requérante des droits aux augmentations accordées en vertu du barème des salaires GS 120b à des personnes se trouvant dans une situation similaire. En conséquence, le Tribunal :
a. A décidé d'annuler la décision contestée ;
b. A ​​ordonné que la requérante soit reconnue comme ayant été en service continu au Secrétariat des Nations...
Le Tribunal a observé que la lettre communiquant la décision contestée n'indiquait pas si l'Organe consultatif sur les demandes d'indemnisation (« ABCC ») avait pris en compte les circonstances exceptionnelles exposées par la requérante dans sa demande de réouverture de sa demande, qui expliquaient les raisons pour lesquelles elle n'avait pas respecté le délai de soumission.
Le Tribunal a donc estimé que la requérante avait réussi à établir que la décision de ne pas rouvrir sa demande était irrationnelle. Le Tribunal a jugé que la décision contestée était irrationnelle parce que l'ABCC avait...
En ce qui concerne la première décision contestée, le Tribunal a estimé que le droit de connaître le contenu du rapport, bien que résumé, est implicite dans le droit d'un membre du personnel de porter plainte contre des tiers (droit déjà reconnu dans l'affaire Belkhabbaz, UNDT/2021/047 au paragraphe 21) parce que ce droit inclut le droit de connaître les raisons pour lesquelles l'Administration n'a pas sanctionné la personne accusée.
Le Tribunal a donc conclu que le requérant avait le droit de recevoir de l'administration le rapport dans son intégralité, avec des expurgations raisonnables. Il...
Le Tribunal a conclu que le requérant avait droit à l'indemnisation intégrale prévue à l'annexe D, sans aucune déduction. Le Tribunal a également observé que le requérant était en droit de recevoir des intérêts pour le retard de paiement.
Au vu de ce qui précède, le Tribunal :
a. fait droit à la demande et annule la décision contestée ;
b. ordonné au défendeur de verser au requérant l'indemnité prévue à l'annexe D, sans déduction des prestations de retraite versées à des tiers ; et
c. ordonner au défendeur de verser au requérant, pour le retard de paiement de ladite indemnité...
Le Tribunal a estimé que la décision de créer le poste de représentant spécial adjoint (« DSR ») n'a pas eu de conséquences négatives directes pour le requérant, qui est resté employé, avec le même poste et les mêmes attributions ; en d'autres termes, la création du poste de DSR n'a pas affecté le rôle, les fonctions et les responsabilités du requérant.
le rôle, les fonctions et les responsabilités du requérant n'ont pas été affectés.
Le Tribunal a estimé que la requérante n'avait pas réussi à identifier une décision administrative contestable affectant négativement les conditions de sa...
La demande est rejetée comme non recevable.
[Le Tribunal DECIDE de : a. Rejeter la requête du requérant demandant d'ordonner au défendeur de fournir les informations nécessaires ; b. Considérer que la requête n'est pas recevable et que, même si elle l'était, elle n'est pas fondée, et donc la rejeter ; et Rejeter la demande du défendeur concernant l'attribution des dépens.