Le TANU a estimé que le TNDU n'avait pas commis d'erreur en concluant que la mesure disciplinaire imposée était légale.
Le TANU a rejeté l'argument de l'ancien membre du personnel selon lequel la décision de Médecins sans frontières (MSF) lui interdisant de collaborer avec l'association à l'avenir ne pouvait être qualifiée de mesure disciplinaire, puisqu'elle lui avait été communiquée alors qu'il n'était plus employé par l'association. Le TANU a estimé que cet argument n'était pas recevable, car il avait déjà été présenté devant le TNDU.
En tout état de cause, le TANU a déterminé que la...
Article 2.1
En ce qui concerne l'application prétendument discriminatoire et arbitraire de la règle 105.3 du personnel de l'OACI concernant les heures supplémentaires, le Tribunal d'appel a estimé que la Commission de recours n'avait pas commis d'erreur en constatant que M. Alvear n'avait pas identifié de décision administrative spécifique susceptible de recours, et qu'elle n'avait donc pas commis d'erreur en rejetant sa demande.
En ce qui concerne la plainte de M. Alvear selon laquelle il n'avait pas reçu les résultats de la classification de son poste, le Tribunal d'appel a estimé que la Commission de...
Le Tribunal d'appel a estimé que le TDFNU n'avait pas commis d'erreur en considérant que le responsable du recrutement avait correctement évalué que les certificats que la candidate sélectionnée avait mentionnés dans sa notice personnelle étaient équivalents à une certification Lean Six Sigma (LSS). L'une des exigences en matière de formation pour le poste était la certification LSS ou une « certification équivalente ». En l'espèce, le Tribunal a conclu à juste titre que le responsable du recrutement avait correctement évalué que les certificats que la candidate sélectionnée avait mentionnés...
Le TANU a noté que le DT de l'UNRWA avait ordonné à chaque partie de désigner un psychiatre, qui à son tour devait désigner un troisième psychiatre pour examiner si l'état mental de l'agent au moment où il a commis le cambriolage, dont la condamnation avait été le motif de sa séparation dans l'intérêt de l'Agence. Le Commissaire général n'a pas respecté cette instruction, sans explication, laissant ainsi le DT de l'UNRWA sans information médicale sur l'état de AAW au moment du cambriolage.
Le TANU a estimé que le Commissaire général avait clairement et manifestement abusé de la procédure par...
Le Tribunal a souscrit à la conclusion du Tribunal sur la recevabilité de la demande, mais a suggéré que le Tribunal aurait dû appliquer une méthode différente pour statuer sur la demande.
Le Tribunal a estimé que le fonctionnaire n’avait pas qualité pour agir devant le Tribunal en ce qui concerne les réclamations formulées en sa qualité d’entrepreneur individuel, de sorte que cette demande a été rejetée pour des motifs ratione personae. Les autres demandes formulées en sa qualité d’ancien fonctionnaire ont été rejetées pour des raisons ratione materiae. Il n’a pas réussi à le prouver qu’une...
L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.
L'UNAT a constaté que le fonctionnaire n'avait cité aucune disposition de l'article 2(1) du Statut de l'UNAT et n'avait pas indiqué si des erreurs commises par le DT de l'UNRWA dans son affaire concernaient sa compétence, la procédure, une question de droit ou une question de fait. L'UNAT a estimé que le recours était vicié et, par conséquent, irrecevable.
L'UNAT a néanmoins réitéré sa jurisprudence sur certaines des questions soulevées et a approuvé la manière dont le DT de l'UNRWA avait déterminé le montant de l'indemnisation en...
L'UNAT a examiné trois recours du requérant.
L'UNAT a estimé que l'ordonnance contestée était une ordonnance interlocutoire et ne relevait manifestement pas de sa compétence.
L'UNAT a estimé que le requérant n'avait pas présenté de documents prouvant qu'il était membre du personnel des Nations Unies et qu'il n'avait aucun statut juridique devant le Tribunal. L'UNAT a noté que rien ne prouvait qu'une offre d'engagement lui avait été adressée pour l'un ou l'autre poste. Deuxièmement, il n’a pas accompli les formalités préalables au recrutement pour les deux postes. Troisièmement, il n'a pas...
L'UNAT a rejeté l'appel de M. Ponce-Gonzalez. L'UNAT a rejeté l'argument de M. Ponce-Gonzalez sur l'appréhension de la partialité du responsable du recrutement affirmant qu'il y avait un motif inapproprié pour l'éliminer injustement. Le tribunal d'appel a constaté que le simple fait que le responsable du recrutement était impliqué dans deux exercices de sélection dans lesquels M. Ponce-Gonzalez n'a pas été réussi n'a pas indiqué de partialité, mais plutôt un exercice régulier de la routine de l'administration de sélectionner les candidats à des postes annoncés. L'UNAT a en outre constaté que l...
L'UNAT a constaté que l'UNT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou dépassé sa juridiction et a rejeté l'appel du secrétaire général. L'UNAT a constaté que l'administration avait été informée des conditions de travail disharmonies au sein du bureau régional pour l'Europe et n'avait pas pris de mesures en temps opportun. En exposant M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant une période considérable (plusieurs mois), l'administration a échoué dans son devoir de diligence vis-à -vis de M. Cahn pour mettre en œuvre des mesures préventives ou intérimaires et donc empêcher tout dommage...
M. Pierre a déposé un appel. Unat n'a trouvé aucune erreur dans la conclusion du Tribunal des différends selon laquelle la demande n'était pas à recevoir. La décision contestée n’a pas eu de conséquences juridiques affectant négativement les termes et conditions de la nomination de M. Pierre et, par conséquent, il n’y avait pas de décision administrative en appel. UNAT était convaincu que l'UNDT a correctement soutenu que, puisque M. Pierre n'avait aucune espérance de renouvellement de sa nomination à terme, les renouvellements à court terme étaient considérés comme prima facie en sa faveur. L...