Unat a jugé que l'appel était barré dans le temps et non à la créance. Unat a jugé que le délai de dépôt d'un appel peut être suspendu, annulé ou prolongé, uniquement dans des affaires exceptionnelles et sur une demande écrite par un appelant avant le dépôt d'un appel, que l'appelant n'a pas soumis. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Article 7.3
Notant l'affirmation du Secrétaire général selon laquelle le revue administrative par l'OACI est l'équivalent de l'évaluation de la gestion en vertu de l'article 7 (3) de la loi Unat, et l'article 7 (3) doit être interprété de la même manière que l'article 8 (3) de la UNDT Statut, Unat a convenu que l'article 7, paragraphe 3, interdit à Unat de renoncer à la date limite par laquelle l'appelant devait demander un examen administratif. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence ou compétence pour répondre aux avantages des allégations de fond de l'appelant, car Ajab n'a pas considéré le fond de...
Unat a considéré un appel de Mme Dzuverovic et un appel à l'appel par le Secrétaire général. En examinant l'appel de Mme Dzuverovic, Unat a jugé que UNDT n'avait pas fait d'erreur de droit en concluant que la demande n'était pas à recevoir Ratione Materiae, car l'appelant n'avait pas demandé l'évaluation de la décision de la décision contestée et n'a fait aucune demande écrite pour étendre le date limite. En examinant la demande du Secrétaire général dans son appel à ordonner la rédaction des paragraphes contenant des recommandations de UnTT, Unat a soutenu que l'approche de UNT ne méritait...
UNAT a rappelé qu'il a toujours jugé que l'article 8, paragraphe 3, de la loi UNDT doit être lu littéralement pour interdire à l'UNT de renoncer aux délais pour rechercher l'évaluation de la direction et que l'UNT n'a pas juridiction ni compétence pour renoncer à de telles délais. Unat a jugé que l'ignorance de la loi n'est pas une excuse et, bien qu'il soit regrettable que M. Nianda-Lusakueno ne s'appuyait sur la procédure de révision informelle, une telle dépendance n'a pas été considérée comme des circonstances exceptionnelles en vertu de la règle du personnel de l'OACI 111. 1, paragraphe 8...
La question de détermination de l'UNAT était de savoir si la date pertinente pour le dépôt de l'appel du Secrétaire général provenait de la date à laquelle la SLA a reçu le jugement de l'UND en sa qualité de conseil du dossier du Secrétaire général avant und ou que le jugement a été reçu par l'OLA, l'avocat du secrétaire général du dossier avant unat. Unat a jugé qu'en l'absence de toute orientation publiée de règle ou de pratique de l'UND qui a décrété que la transmission de jugements UNDT était rendue à Ola, il n'était pas autorisé que le Secrétaire général cherche à s'appuyer sur la date à ...
Unat a examiné si l'appelant avait déposé son appel dans le délai applicable. Unat a noté que le délai de 60 jours pour déposer un appel a expiré le 11 avril 2016 et que l'appelant a déposé son appel le 12 avril 2016. UNAT a jugé que l'appel était dérangé et que l'appelant n'avait pas demandé de dérogation ou d'extension de la date limite de Unat. UNAT en conséquence n’avait pas besoin de traiter la requête de l’appelant pour soumettre des preuves supplémentaires. De plus, Unat n'a trouvé aucune faute de la participation de l'UNRWA DT, car il était clair que l'appelant ne répondait pas aux...
Unat a jugé que l'appelant n'a pas contesté la décision qui a nié la reclassification de son poste d'un G-8 à un poste P-2 dans les délais des règles du personnel de l'OACI 111. 1 (7) et 111. 1 (5), confirmant la conclusion d'Ajab. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune obligation du Secrétaire général de l'OACI de fournir aux membres du personnel des conseils sur la procédure d'appel et de conseiller sur les délais. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence pour répondre aux avantages des réclamations que l'appelant soulève en appel contre la décision selon laquelle son poste a été incorrectement...
Unat a jugé que des circonstances exceptionnelles existaient au motif que l'appelant souffrait d'une condition médicale, hospitalisée et incapable de déposer l'appel en temps opportun. Unat a renoncé à la date limite pour l'appel et a détenu l'appel à recevoir. Unat a jugé que, dans son appel, l'appelant a largement répété les soumissions et les allégations soulevées devant UNT, sans identifier les erreurs spécifiques de droit ou les erreurs de fait qui ont abouti à une décision manifestement déraisonnable. Sur les réclamations de l'appelant relatives à l'utilisation et à l'accès aux séquences...