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Article 1.2(a)

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L’UNAT a estimé que l’éventuelle erreur dans l’appréciation des faits par le Tribunal n’ayant aucune incidence sur l’issue de l’affaire, l’appel incident du Secrétaire général ne pouvait être accueilli.

L'UNAT a estimé que même si un jugement de la Cour ivoirienne déclarant le fonctionnaire coupable de fraude n'avait pas été cité dans la lettre de sanction, cela était sans conséquence car il ressortait clairement du dossier qu'il avait eu connaissance du jugement lorsqu'il avait demandé le position et a complété le PHP en précisant « non » à la question s'il avait « déjà été inculpé, condamné...

Le Tribunal a conclu à la légalité de la décision attaquée. Le Tribunal a conclu que la requérante n’avait pas maintenu une conduite digne de son statut de haut fonctionnaire international. La demanderesse, en tant que cadre supérieur, s’est vu conférer une obligation de diligence de promouvoir un « environnement de travail harmonieux, exempt d’intimidation, d’hostilité, d’infraction et de toute forme de conduite interdite », conformément à la circulaire ST/SGB/2008/5, ce qu’elle n’a pas fait. Les actes du requérant, tels qu’établis par les faits, constituaient du harcèlement et un abus de...

2023-UNAT-1366, AAN

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

Le TANU a estimé qu’en raison à la fois de l’incapacité du membre du personnel à se souvenir des événements en question et de la décision du Tribunal (approuvée par les parties) de ne pas tenir d’audience en personne, le Tribunal avait fait référence à juste titre au rapport d’enquête.

Le TANU a estimé que le Tribunal avait correctement déterminé que les actes du fonctionnaire étaient de nature sexuelle. Le membre du personnel avait, sans invitation, encouragement ou consentement, embrassé deux femmes différentes de manière sexuelle...

2023-UNAT-1361, AAO

L'UNAT a estimé que le jugement du Tribunal était problématique parce que les conclusions du Tribunal semblaient être entièrement fondées sur des preuves par ouï-dire, c'est-à-dire les conclusions du rapport d'enquête du BSCI. L'UNAT a observé que le jugement du Tribunal n'a pas expliqué les éléments de preuve sur lesquels reposait sa conclusion selon laquelle le harcèlement sexuel était hautement probable, et n'a formulé aucune conclusion explicite ou précise concernant les témoignages présentés sous serment à l'audience. L’incapacité du Tribunal à tirer des conclusions sur les témoignages qu...

Sur la question de savoir si les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a constaté que le requérant a commis des actes affectant deux membres du personnel, à savoir V01 et V02. Le Tribunal a donc estimé que les faits sur lesquels la sanction était fondée étaient clairement établis.

En ce qui concerne la faute, le Tribunal a conclu que la conduite du requérant envers V01 et V02 était (i) importune, (ii) de nature sexuelle, et (iii) que l'on pouvait raisonnablement s'attendre à ce qu'elle soit offensante ou humiliante, ou à ce qu'elle soit perçue comme telle...

Appealed

Le Tribunal a évalué les preuves recueillies par les enquêteurs concernant chaque incident et a conclu que, dans la plupart des cas, il n'y avait aucune preuve directe ou corroborante de harcèlement ou de harcèlement sexuel, et que les enquêteurs avaient fondé leurs conclusions uniquement sur le récit de V01. Étant donné que presque toutes les preuves à l'appui de la conclusion de mauvaise conduite proviennent du témoignage de V01, par opposition à celui du requérant, l'établissement de la crédibilité de V01 est un exercice essentiel pour un jugement approprié de l'affaire.

Cependant, l...

Les unis ont confirmé les conclusions de l'UNDT selon lesquelles (1) quatre des six incidents sous-jacents à l'environnement de travail hostile contre l'appelant n'ont pas été établis, mais que deux incidents étaient; et (2) l'appelant avait illégalement interféré avec un exercice de recrutement qui a également créé un environnement de travail hostile. L'inat a rejeté l'affirmation de l'appelant selon laquelle, parce que les UNT considéraient que certaines actions n'étaient pas du harcèlement, elles ne pouvaient pas constituer une faute. Alors que certains commentaires de l'appelant sur la...

La nature sensible des allégations de harcèlement sexuel et le fait que la victime puisse être facilement identifiée par les circonstances factuelles entourant l'affaire constituent des circonstances exceptionnelles qui justifient l'octroi de l'anonymat.
L'exposé des faits par le plaignant en ce qui concerne les incidents pertinents est crédible et fiable. Le requérant n'a produit aucun élément de preuve susceptible d'ébranler la crédibilité du témoignage du plaignant. Il n'y a pas de preuve d'arrière-pensées de la part du plaignant.
L'Administration a réussi à s'acquitter de la charge de la...

Il n'y a aucune preuve de collusion ou de partialité à l'encontre du requérant. Au contraire, plusieurs témoignages concordants ont corroboré les déclarations des plaignants et confirmé les allégations d'intimidation et de harcèlement à l'encontre du requérant. Le requérant n'a pas réussi à étayer ses arguments contre la plainte et les plaignants. Les faits sont établis par une prépondérance de preuves et constituent une faute.
Compte tenu de la nature des faits reprochés au requérant, il n'est pas déraisonnable qu'il soit obligé de suivre une formation obligatoire pour améliorer son style de...

Les faits sur lesquels la mesure disciplinaire ont été fondés ont-ils été établis conformément à la norme applicable? Il a été allégué que lors de la retraite de Cox’s Bazar All-Staff en février 2020, le demandeur: a. Attrapa V01 derrière elle et la tendit fort avec ses mains autour de sa taille à l'avant de son corps. Il reposa sa tête sur son dos pendant qu'il tirait en arrière pour que le devant de son corps repose contre l'arrière de son corps. V01 ne lui a pas consenti à la toucher; et B. Embrassant V02 de la face avant de son corps avec son corps pressé contre son corps. Il la serra dans...