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Article 1.2(g)

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Le Tribunal a estimé que le requérant s'était livré à de multiples actions qui constituaient des fautes graves. Par conséquent, sa conduite a non seulement montré un manquement grave aux normes minimales d'intégrité conférées à un fonctionnaire international, mais elle a également montré un mépris flagrant des règles de l'Organisation. La conduite du requérant a sapé la confiance que l'UNICEF avait placée en lui. Cette confiance est essentielle à la poursuite d'une relation de travail. Dans ces circonstances, le Tribunal a considéré qu'il était approprié pour l'UNICEF de mettre fin à sa...

Le manque de coopération n'est pas toujours une circonstance pertinente dans tous les cas pour être considérée comme une circonstance aggravante. Parfois, si le manque de coopération n'est pas grave, il peut ne pas être considéré comme une circonstance aggravante. Toutefois, la nature de l'affaire peut influer sur la manière dont le manque de coopération au cours d'une enquête est perçu. Le fait d'être malhonnête et trompeur au cours de l'enquête peut être considéré comme grave et constituer une circonstance aggravante. On ne peut donc pas conclure que le manque de coopération ne peut jamais...

Il a été établi par les preuves au dossier que le requérant s'est engagé dans des contacts non autorisés avec les États membres et l'UE, les médias et les médias sociaux. Il n'a pas non plus été contesté que ces communications externes contenaient des allégations selon lesquelles l'ONU et ses fonctionnaires étaient impliqués dans des actes graves de mauvaise conduite et des crimes de droit international, y compris la complicité de génocide.
Il restait à déterminer si la requérante avait une justification légale pour sa conduite en vertu de la politique de protection contre les représailles...

L’UNAT a estimé qu’il n’y avait aucune raison pour que le Tribunal d’appel intervienne et modifie les conclusions du Tribunal, qui étaient à la fois raisonnables et équitables. L'UNAT a noté que même si l'embauche de travailleurs occasionnels ne faisait pas partie des fonctions officielles de M. Saleh, M. Saleh coordonnait et supervisait le travail du partenaire d'exécution du HCR qui était responsable du recrutement à l'entrepôt, et que M. Saleh avait également la responsabilité de recruter des travailleurs occasionnels. fonction de superviser les opérations d’entreposage. Compte tenu de ces...

En l'espèce, les faits ont été établis et il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant a commis une fraude délibérée.

La conduite du requérant constitue une violation de ses obligations fondamentales en vertu des articles 1.2(b) et (g) du Statut, de la règle 1.2(i) du Statut et du Cadre stratégique pour la prévention de la fraude et de la corruption.

Les preuves sont claires et convaincantes que le requérant a agi en connaissance de cause et avec l'intention d'induire en erreur (et même avec un possible intérêt économique personnel).

Compte tenu de la nature et de la...

En ce qui concerne l'appel par le Secrétaire général de la conclusion de l'UNDT que l'inconduite en vertu du chef 2 n'a pas été établie, l'UNAT a jugé que l'UNDT ne s'est pas trompé en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Les messages envoyés par le membre du personnel à son voisin étaient des suggestions et des déclarations à une personne qui n'était pas témoin à l'époque. Le membre du personnel n'était pas sous et ne soupçonnait pas qu'il serait probablement sous une enquête au moment où il a envoyé les messages.

Le voisin les a trouvé appropriés et ne se...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a jugé que l'UNT ne s'est pas trompé en concluant que M. Reiterer avait commis l'inconduite présumée. L'UNAT a convenu de la conclusion de l'UNDT que les faits établis équivalaient à une faute de la part de M. Reiterer, à savoir qu'il a violé ST / SGB / 2008/5 concernant le chef et le ST / AI / 2013/4 concernant le chef deux. L'UNAT a en outre constaté que, compte tenu de la nature et des faits spécifiques entourant l'inconduite de M. Reiterer, la sanction de la rétrogradation par une catégorie avec un report, pendant un an, d'admissibilité à l'examen de la...

Le TANU a rejeté la demande d'audience du requérant et a estimé qu'une telle audience ne contribuerait pas au règlement rapide et équitable de l'affaire, comme l'exige l'article 18, paragraphe 1, du règlement de procédure du TANU.  Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en supprimant les éléments de preuve joints aux conclusions finales du requérant ou en refusant d'entendre les superviseurs du requérant en tant que témoins. Le TANU a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait utilisé la carte d'exemption de TVA et la carte de crédit...

Dans le cadre de la procédure régulière, le tribunal a conclu que le processus conduisant à l'imposition de la mesure disciplinaire était effectué conformément au cadre juridique du PNUD pour s'attaquer à la non-conformité des normes de conduite des Nations Unies et au Bureau de l'audit et des directives d'enquête du PNUD . En conséquence, le tribunal a jugé que les droits de la procédure régulière du demandeur étaient garantis. Selon les faits, les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le tribunal a noté que la requérante ne refusait pas ni même contestions le fait...

Le Tribunal a estimé qu'avec des preuves claires et convaincantes, le défendeur a seulement réussi à établir que le demandeur avait l'intention d'exercer une certaine pression, quoique inefficace, sur BM dans le processus d'embauche des travailleurs journaliers. Dans l’affaire Sanwidi, le Tribunal a estimé que la résiliation de l’engagement du requérant était manifestement incorrecte et avait conduit à un résultat disproportionné. La décision attaquée était donc illégale.

Compte tenu de ses conclusions sur l'illégalité de la décision contestée, le Tribunal a estimé que le recours le plus...