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TANU Règlement de procédure

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En tant que question préliminaire, Unat a rejeté une demande du syndicat du personnel du CPIE pour congé pour déposer un ami du tribunal en vertu de l'article 17 de ses règles de procédure sur la portée de l'examen de la décision du Secrétaire général dans la procédure disciplinaire et la norme de preuve dans les procédures disciplinaires, au motif que les faits et les questions juridiques n'étaient pas si complexes que le mémoire l'aide. Unat a jugé que UNDT, dans l'exercice de la révision judiciaire, pourrait interférer avec l'exercice du pouvoir discrétionnaire du Secrétaire général dans...

Unat a jugé que l'appelant n'avait présenté que des arguments contestant le comportement de l'administration et la décision de résilier son contrat avec UNMIK. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas démontré comment l'UNDT, en jugeant la demande non à recevoir et en le rejetant sur ce motif, aurait pu dépasser sa juridiction, ne pas l'exercer, faire une erreur de droit ou de procédure, ou commis une erreur de fait Cela a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Unat a jugé que UNDT avait correctement rejeté la demande comme non à la créance, car la demande d'examen administratif...

Unat a jugé que l'appelant n'avait pas expliqué comment les UNT ont dépassé ou n'avaient pas exercé sa juridiction ou sa compétence, ont commis une erreur sur une question de droit ou de procédure, ou a commis une question de fait, résultant en une décision manifestement déraisonnable. Unat a rappelé que la loi UNDT a empêché l'UNDT de suspendre ou de renoncer aux délais pour l'évaluation de la gestion. Unat a soutenu que UNDT était donc correct en concluant que la demande n'était pas à recevoir et la rejeter sur cette base. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNT.

Inatterre préliminairement que l'appel était à recevoir, notant que la situation était assez exceptionnelle et la nécessité de considérer la disposition des faits. Unat a rejeté la demande de découverte de preuves et une audience orale, jugeant qu'il n'y avait pas de circonstances exceptionnelles justifiant l'exercice de son pouvoir discrétionnaire en accordant de telles demandes. Sur les mérites, Unat a jugé que le procès-verbal de la session de recours tenue par le conseil d'administration des nominations, des publications et des promotions a clairement montré que l'expérience et les...

UNAT a rejeté la demande d'audience orale constatant que les questions soulevées en appel ne nécessitaient pas de clarification supplémentaire. UNAT a rejeté la soumission du Secrétaire général que l'appel a été dérangé car l'appel était un appel corrigé et, par conséquent, conforme aux exigences de l'article 8 de l'UNAT ROP. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié l'un des cinq motifs d'appel qui pouvaient donner un fondement juridique à son appel et que ses arguments étaient les mêmes avant UNT. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas établi comment UNDT avait commis une erreur sur...

Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé sur une question de droit pour décider que l'appelant devait établir que, sans les erreurs commises dans l'examen de sa carrière professionnelle, elle aurait eu une réelle chance d'être promue. Unat a soutenu que l'appelant n'avait pas établi que UNDT avait commis une erreur en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable, en décidant qu'elle n'avait pas démontré que les quelques erreurs importantes de sa feuille d'information l'ont privée de la possibilité d'être promue. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Inatterre préliminairement que l'appelant n'avait identifié aucune situation exceptionnelle justifiant la nécessité de déposer des observations en réponse à la réponse du secrétaire général. Unat a estimé que les observations ne seraient pas prises en considération. Unat a soutenu que UNDT avait correctement observé qu'il n'était pas en mesure de se substituer à l'administration ou de déclarer que l'appelant aurait dû être promu au niveau P-5. En ce qui concerne l’affirmation de l’appelant concernant le quantum de rémunération, Unat a jugé que UNDT était dans la meilleure position pour décider...

Unat a jugé que l'appel était barré dans le temps et, par conséquent, pas à recevoir. Cependant, Unat a noté que, même si l'appel était à recevoir, il ne semblait pas y avoir de motifs valables pour contester la décision de retirer l'offre de nomination ou de demander une indemnisation pour perte de revenus. Unat a également noté que la demande de suppression du mémoire de la défense du dossier, car elle contenait des informations relatives au processus de règlement des différends informels, aurait pu être pris en considération car l'article 15 de l'UNAT ROP prévoit que ces informations...

UNAT a déclaré qu'une demande d'interprétation n'est pas à recevoir si son objectif réel était d'avoir réexaminé sa décision, même si ses jugements sont définitifs et sans appel, ou pour le faire commenter sa décision. L'UNAT a jugé que les demandes déposées en vertu des sous-paragraphes (a) à (g) du paragraphe 30 de l'appel, dans le but de remettre en question la décision ou d'avoir des commentaires de la décision, n'étaient pas à recevoir. Unat a jugé que l'utilisation du mot «Annul» ne conduirait pas à la confusion dans l'esprit d'un parti de bonne foi parce que le langage du droit...

UNAT a confirmé les conclusions du UNT selon lesquelles il n'y avait pas de défaut dans la procédure utilisée par le comité de coordination de la gestion du personnel pour sélectionner le représentant du personnel sur l'IJC. UNAT a également affirmé que les jugements de l'UNT rejetaient les allégations de conflit d'intérêts du membre du personnel de la part des juges UNDT. Unat a en outre rejeté la demande du membre du personnel que les juges de l'UNAT se récusent de l'audience de l'appel, notant le rôle limité de l'IJC dans la nomination des juges de l'UNAT et l'absence de toute relation...