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Article 32.2

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Unat a noté que UNDT a déclaré correctement que l'ancien tribunal administratif de l'ONU avait envisagé et rejeté tous les autres plaidoyers de l'appelant et que pour cette raison, la question d'intérêt était judiciaire. Unat a également noté que UND avait ordonné au Secrétaire général d'effectuer un paiement de 25 000 USD en compensation pour les retards excessifs et décevants et les dommages émotionnels et pour organiser un conseil médical pour envisager des factures en suspens. Unat a constaté que, comme le secrétaire général ne faisait pas appel, il avait donc accepté la décision de...

UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général contestant l'indemnisation des dommages moraux. Unat a jugé qu'il y avait suffisamment de preuves produites que le montant de l'indemnisation des dommages-intérêts moraux avait été versé sur le compte bancaire du membre du personnel. Unat a jugé que le paiement de l'indemnisation constituait une acceptation du secrétaire général du jugement de l'UND. Unat a jugé que l'appel était donc sans objet. UNAT a rejeté la demande du membre du personnel en matière de frais contre le Secrétaire général en raison de la violence de processus. Unat a soutenu...

Le Tribunal a soutenu que la demande était théorique et non à la créance. En conséquence, la demande a été rejetée. Sur la première numéro, pour une ordonnance d'exécution du jugement par défaut, le tribunal a conclu que le demandeur n'avait pas obtenu de jugement par défaut comme il l'a allégué. L'ordonnance du 14 décembre 2009 selon laquelle le demandeur a examiné un jugement par défaut qui a simplement ordonné à l'intimé des exigences procédurales pour s'appliquer à la réintégration de la procédure, et qui s'est effectivement produite avec l'intimé déposant une réponse le 25 janvier 2010...

Demande d'exécution des ordonnances sur la suspension de l'action: Le Tribunal n'a pas compétence pour appliquer l'exécution d'une ordonnance de suspension d'action en vertu de l'art. 12 de son statut et de son art. 32.2 de ses règles de procédure. Le Tribunal n'est pas autorisé à contourner ces dispositions explicites en utilisant son pouvoir en vertu de l'art. 36.1 de ses règles de procédure pour étendre sa compétence au-delà des limites définies par l’Assemblée générale dans le statut du tribunal.

Le tribunal a conclu que l'intimé avait respecté le jugement et a pris des mesures pour exécuter le jugement en conséquence. Le requérant n'a pas montré que le jugement reste non exécuté. Le tribunal a jugé que l'avis express sous la forme du mémorandum de l'intimé conseillant le demandeur de sa réintégration de la date de séparation conformément au jugement était la preuve d'exécution.

Le tribunal a conclu que l'intimé avait respecté le jugement et a pris des mesures pour exécuter le jugement en conséquence. Le requérant n'a pas montré que le jugement reste non exécuté. Le tribunal a jugé que l'avis express sous la forme du mémorandum de l'intimé conseillant le demandeur de sa réintégration de la date de séparation conformément au jugement était la preuve d'exécution.