Judge Forbang
Le TANU a noté que l'UNDT s'était appuyé à juste titre sur des preuves claires et convaincantes pour conclure que l'agent avait présenté à Cigna une demande de remboursement de frais médicaux pour des services médicaux qui n'avaient jamais été fournis.
Le TANU a estimé que les éléments de preuve établissaient qu'il était hautement probable que l'agent avait fait une fausse déclaration à la Cigna dans l'intention de tromper et que ses actions avaient été potentiellement préjudiciables au PNUD, qui était susceptible de subir des pertes dues à des remboursements indus.
Le TANU a constaté que la...
The UNAT noted that the UNDT had appropriately relied on the clear and convincing evidence to conclude that the staff member had submitted a medical insurance claim to Cigna for medical services that had never been provided.
The UNAT held that the evidence established that it was highly probable that the staff member had made the misrepresentation to Cigna with the intent to deceive and that his actions had been potentially prejudicial to the UNDP which was subject to any loss from undue reimbursements.
The UNAT found that the staff member’s certification to Cigna of the correctness of the...
Le TANU a estimé que le TNDU avait commis une erreur en estimant que la circulaire ST/SGB/2003/13 imposait l'existence d'un "avantage indu" pour qu'il y ait exploitation sexuelle. Le TANU a également conclu que l'ancien membre du personnel avait abusé de la position de vulnérabilité de V01 à des fins sexuelles (c'est-à-dire en se livrant à au moins quatre actes sexuels), ce qui constitue une exploitation et un abus sexuels. Le TANU a souligné que l'UNDT elle-même avait reconnu que V01, prétendument mineure, était vulnérable et moins puissante que l'ancien membre du personnel, et que ses...
The UNAT held that the UNDT erred in finding that ST/SGB/2003/13 imposes a requirement of “undue advantage” for sexual exploitation to occur. The UNAT further found that the former staff member abused the position of vulnerability of V01 for sexual purposes (i.e., engaging in at least four acts of sexual intercourse), which constitutes sexual exploitation and abuse. The UNAT emphasized that the UNDT itself acknowledged that V01, allegedly a minor, was vulnerable and less powerful than the former staff member, and that his actions had a sexual connotation. Therefore, the UNAT held that the...
Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire en rejetant partiellement les requêtes de l'ancien fonctionnaire visant à obtenir des preuves supplémentaires ou en ne lui accordant pas un délai supplémentaire suffisant pour répondre aux observations du Secrétaire général.
Le TANU a également conclu que l'UNDT avait correctement identifié la décision contestée comme étant la décision du 1er avril 2022 le déclarant inéligible à participer à l'ASHI. Le TANU a observé que l'ancien fonctionnaire avait lui-même identifié cette décision à la...
The UNAT held that the UNDT did not commit any error in procedure that affected the outcome of the case by partially denying the former staff member’s motions for production of additional evidence or by not granting him sufficient additional time to respond to the Secretary-General’s submissions.
The UNAT also concluded that the UNDT appropriately identified the contested decision as the 1 April 2022 decision finding him ineligible to participate in ASHI. The UNAT observed that the former staff member himself identified this decision in both his UNDT application and his management evaluation...
Le TANU a estimé que le Tribunal avait agi dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire en rendant l'arrêt contesté sans tenir d'audience, d'autant plus que la question à examiner était celle de la recevabilité. Le TANU a également estimé que le TANU n'avait pas commis d'erreur en ne donnant pas à l'agent la possibilité de commenter la réponse du Secrétaire général, étant donné qu'il n'avait pas déposé de requête en vue d'obtenir des conclusions supplémentaires.
Le TANU a estimé que le TANU avait correctement identifié que la décision contestée était la décision de l'administration de ne pas...
Le TANU a noté que le Tribunal du contentieux administratif avait rendu l'ordonnance contestée faisant droit à la demande de prorogation du délai de dépôt de la requête sans que la partie lésée ait été entendue et sans être habilité à le faire. Le TANU a estimé que le Tribunal du contentieux administratif ne s'était pas techniquement conformé à ses propres instructions pratiques en rendant l'ordonnance et qu'il avait peut-être strictement violé les principes de justice naturelle et de procédure régulière en ne donnant pas au Secrétaire général un préavis suffisant de la requête et la...
Le TANU a estimé qu'en demandant à la direction d'évaluer le résultat négatif de la procédure de reclassement, l'agent n'avait pas respecté les règles de procédure. Il aurait dû faire appel de la décision contestée, comme le prévoient les sections 5 et 6 de l'instruction administrative ST/AI/1998/9 (Système de classement des postes). La demande de l'agent n'étant pas recevable, le TANU a estimé qu'il ne pouvait pas examiner ses observations et ses preuves supplémentaires concernant le fond de l'affaire. Le TANU a rejeté la demande d'indemnisation de l'agent à la lumière de sa décision de...
Le TANU a estimé qu'une lecture objective de la demande de révision de la décision présentée par l'agent montrait clairement qu'elle n'avait contesté que le deuxième et non le premier blâme, tous deux prononcés pour ne pas avoir exécuté les tâches d'enseignement qui lui avaient été confiées. Le TANU a considéré que les références au fonctionnaire ayant émis le blâme, à sa date et à la mesure corrective demandée étaient indiquées dans la demande. Le TANU a donc estimé que le DT de l'UNRWA n'avait commis aucune erreur de fait ou de droit en considérant que l'agent n'avait pas introduit de...
Le TANU a estimé que les termes de l'arrêt contesté étaient suffisamment clairs et non ambigus pour être exécutoires et que, par conséquent, la requête de l'ancien agent n'était pas recevable. En particulier, le TANU a constaté qu'il n'y avait aucune ambiguïté quant à la justesse des motifs et à la nature de la mesure disciplinaire prise par l'administration à l'encontre de l'ancien agent.
De même, le TANU a estimé que le raisonnement concernant le renvoi de l'affaire au Haut Commissaire en vue d'une éventuelle action visant à faire respecter l'obligation de rendre des comptes était clair...
Le TANU a observé que deux échanges de courriels entre Mme Nimusiima et un ancien membre du personnel du HCR (AM) étaient la seule preuve documentaire offerte pour établir la culpabilité de Mme Nimusiima dans l'émission d'une lettre de réinstallation frauduleuse en échange d'un pot-de-vin.
L'UNDT avait conclu que ces échanges de courriels montraient que Mme Nimusiima avait agi de concert avec AM, mais qu'ils étaient néanmoins "équivoques" (peu clairs/vagues), "purement circonstanciels" et ne prouvaient pas avec une forte probabilité qu'AM avait envoyé la lettre de réinstallation frauduleuse...
Le Tribunal d'appel a rejeté l'appel, estimant qu'il était évident, à la lecture du mémoire d'appel, que M. Hammad ne soutenait pas que le tribunal de l'UNRWA avait commis une erreur de fait ou de droit. Il s'est contenté de présenter les mêmes arguments que ceux qu'il avait déjà avancés dans sa demande de révision devant le tribunal de l'UNRWA et n'a pas démontré en quoi le tribunal de l'UNRWA avait commis une erreur.
Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait correctement identifié plusieurs irrégularités de procédure dans la décision contestée. Conformément au paragraphe 9 de l'instruction technique 02/2016 du Département des services de contrôle interne (DIOS) sur la politique d'enquête de l'UNRWA (DTI 02/2016), l'enquête aurait dû être autorisée dans les 10 jours suivant le rapport du comité d'accueil ; or, en l'espèce, il a fallu attendre 11 mois pour obtenir l'autorisation d'enquêter. Le TANU a estimé que ce délai était si excessif qu'il aurait été pénible pour une personne moyenne.
Analysant les...
The UNAT held that the UNRWA DT correctly identified several procedural irregularities in the contested decision. Pursuant to paragraph 9 of the Department of Internal Oversight Services (DIOS) Technical Instruction 02/2016 on UNRWA’s Investigation Policy (DTI 02/2016), the investigation should have been authorized within 10 days of the Intake Committee’s report; yet here, the authorization to investigate took 11 months to be given. The UNAT found that this delay was so excessive that it would distress an average person.
Analyzing the evidence presented by the staff member regarding the...
The UNAT observed that two e-mail exchanges between Ms. Nimusiima and a former UNHCR staff member (AM) were the only documentary evidence offered to establish Ms. Nimusiima’s culpability in issuing a fraudulent resettlement letter in exchange for a bribe.
The UNDT had concluded that these e-mail exchanges showed that Ms. Nimusiima acted in concert with AM, but that they were nonetheless “equivocal” (unclear/vague), “purely circumstantial” and did not prove with high probability that AM had sent the fraudulent resettlement letter to the Complainant (the alleged refugee).
With regard to...
The Appeals Tribunal dismissed the appeal, finding that it was evident from a perusal of the appeal brief that Mr. Hammad did not argue that the UNRWA DT committed any error of fact or law. He merely presented the same arguments that he had already made in his application for revision before the UNRWA DT and failed to demonstrate how the UNRWA DT erred.
The UNAT held that the terms of the impugned Judgment were sufficiently clear and unambiguous to be enforceable, and consequently, the former staff member’s application was not receivable. In particular, the UNAT found that there was no ambiguity concerning the correctness of the grounds for and the nature of the disciplinary measure taken by the Administration against the former staff member.
Similarly, the UNAT held that the reasoning regarding the referral of the case to the High Commissioner for possible action to enforce accountability was clear and unambiguous. However, even if the...
The UNAT noted that in light of multiple competing requests for lateral transfer, the staff member had not been one of the candidates who was recommended and selected for the position because her responsibilities had been different from the duties of the requested position, and the Agency sought candidates more familiar with those duties.
The UNAT held that under the relevant legal provisions governing lateral transfers, read together and not in isolation, the Agency had been authorized to base its assessment on the candidates’ suitability for the post instead of seniority, compelling reasons...
The UNAT held that by requesting management evaluation of the negative outcome of the reclassification process, the staff member breached procedural prerequisites. Instead, he should have appealed the contested decision as laid down in Sections 5 and 6 of ST/AI/1998/9 (System for the classification of posts). As the staff member’s application was not receivable, the UNAT found that it could not consider his submissions and additional evidence concerning the merits of the case. The UNAT denied the staff member’s request for compensation in light of its decision to affirm the impugned...