Il n'y a aucune preuve de collusion ou de partialité à l'encontre du requérant. Au contraire, plusieurs témoignages concordants ont corroboré les déclarations des plaignants et confirmé les allégations d'intimidation et de harcèlement à l'encontre du requérant. Le requérant n'a pas réussi à étayer ses arguments contre la plainte et les plaignants. Les faits sont établis par une prépondérance de preuves et constituent une faute.
Compte tenu de la nature des faits reprochés au requérant, il n'est pas déraisonnable qu'il soit obligé de suivre une formation obligatoire pour améliorer son style de...
Harcèlement (non sexuel)
Question préliminaire : l'utilisation de preuves de comportement antérieur Le Requérant soutient que ses droits à une procédure régulière ont été violés au cours de l'enquête, notamment par l'utilisation irrégulière de preuves de comportement antérieur qui auraient créé un parti pris à son encontre et masqué l'absence de preuves claires et convaincantes en relation avec à la plainte de harcèlement sexuel. Le Tribunal considère qu'il est approprié et non illégal pour l'Organisation d'examiner les antécédents et le comportement du fonctionnaire envers les autres dans le cadre d'une affaire...
Une fausse allégation de harcèlement sexuel contre le requérant et les informations sensibles concernant les antécédents médicaux de V01 dans le cas présent constituent des circonstances exceptionnelles justifiant l'anonymat.
L'administration a commis une erreur en concluant que les commentaires inappropriés du requérant entre février et mai 2018 constituaient un harcèlement à l'égard de V01 et que le traitement par le requérant de la plainte de V01 contre M. N. constituait un harcèlement et un abus de pouvoir. Les droits de la requérante à une procédure régulière ont été respectés au cours de...
La question essentielle de la détermination en appel est de savoir si l'ANDT a correctement jugé que l'inconduite présumée de créer un environnement de travail hostile et de donner des cadeaux était prouvée conformément à la norme de preuves claires et convaincantes. En d'autres termes, les preuves ont-elles établi l'inconduite présumée à un degré élevé de probabilité? À son essence, cette affaire implique donc des différends de fait fortement contestés quant à savoir si l'AAC s'est conduit d'une manière abusive et a créé un environnement de travail hostile. L'administration dit qu'il l'a fait...
Unat a soutenu que l'appelant n'avait pas de position pour chercher à considérer un banc complet. Unat a soutenu que dans la mesure où UNT s'est engagé dans un exercice d'enquête, ce n'était pas un exercice légitime de sa compétence. L'UNAT a jugé que le non-respect de l'administration à fournir des raisons adéquates pour la décision contestée a permis à la décision contestée d'être illégale. UNAT a jugé que l’administration n’exerce pas son pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne la réalisation d’une enquête a également rendu la décision contestée illégale. Unat a autorisé l'appel en...
L'enquête a établi avec succès que le demandeur s'est engagé dans le harcèlement en milieu de travail à sept occasions différentes contre les trois plaignants. En commettant du harcèlement sur le lieu de travail, le demandeur a violé les normes d'intégrité les plus élevées et s'est engagé dans un comportement inconvenant d'un fonctionnaire international. En tant que tel, sa conduite constitue une mauvaise conduite sérieuse. Cependant, la mesure disciplinaire de la séparation du service imposée au demandeur s'est avérée trop sévère d'une lumière liée à la pénalité des mesures disciplinaires...
Ratione materiae à la création. La demande d’évaluation de la gestion du demandeur n’était pas claire qu’il faisait des allégations d’inconduite contre son superviseur, qui devraient faire l’objet d’une enquête consciencieusement, ou citant des problèmes de performance ou de gestion à résoudre par la direction. De même, le demandeur n'a fourni aucune preuve que la question de la légalité de la décision de le placer sur l'ALWP ait jamais été officiellement contestée par lui. Par conséquent, toute détermination contre la décision de ne pas enquêter davantage sur les plaintes du requérant contre...
En considérant l’appel de l’appelant, Unat a constaté que l’appel n’était pas à recevoir en ce qui concerne la question de la non-promotion de l’appelant lors de la session de promotion annuelle de 2004-2005 car la question n’a pas été soulevée avant UND. Unat a également constaté que l'UNDT ne s'est pas trompé pour constater que l'appelant n'avait pas été victime de harcèlement. UNAT a noté qu'il y avait un dossier prouvé d'efforts considérables déployés afin de résoudre la situation de l'appelant, impliquant la haute direction du HCR au plus haut niveau et que le haut-commissaire a...
Unat a considéré les appels par le secrétaire général et par M. Abubakr. En ce qui concerne l’appel du Secrétaire général, Unat a convenu avec UNDT que l’administration n’avait pas abordé la plainte de M. Abubakr de harcèlement et de discrimination avec la diligence raisonnable requise. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis une erreur de droit et de fait en choisissant de ne pas reconnaître, en aucun cas significatif, la majorité des actions invoquées par le Secrétaire général pour répondre aux plaintes de M. Abubakr. Unat a jugé que, en vertu des travaux «dysfonctionnels» du panel sur la...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a confirmé la conclusion par UNT de l'illumination de la décision de réaffectation. Unat a rappelé que la réaffectation est appropriée si le nouveau poste est à la note du membre du personnel; Si les responsabilités impliquées correspondent à son niveau; Si les nouvelles fonctions sont proportionnées aux compétences et aux compétences du membre du personnel; Et s'il a une expérience professionnelle substantielle dans le domaine. Unat a jugé que, dans le cas de Mme Rees, aucun de ces facteurs n'existait en ce qui concerne la position à ...