Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir Ratione tempis, car il ne l'a pas déposé dans les délais prescrits. UNAT a noté que même si l'appelant avait demandé une renonciation au délai sur la base de circonstances exceptionnelles, son appel a été dérangé par l'article 7.4 de la loi Unat et n'était donc pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Compétence / recevabilité (TANU)
Unat a jugé que l'appelant n'avait pas respecté ses obligations en vertu de l'article 2, paragraphe 1, de l'UNAT Statut. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune erreur de droit, de fait ou de procédure dans le jugement de l'UNRWA DT. Unat a jugé qu'en vertu de la circulaire pertinente, l'administration n'avait que le devoir d'examiner la demande de l'appelant d'être transférée dans un certain complexe, mais pas son souhait d'être transféré dans une certaine école située dans ce complexe. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a jugé que le fait que la décision non renouvelable avait été communiquée verbalement était, en soi, sans conséquence, car il n'y a aucune exigence explicite en droit qu'une telle notification soit écrite. Unat a noté que la règle du personnel 11. 2 (c) ne nécessite pas de notification écrite comme condition préalable pour contester une décision administrative. Unat a confirmé le jugement de l'UNT rejetant la demande du membre du personnel, mais a annulé, il conclut que la demande était à recevoir.
Unat a considéré un appel du secrétaire général. En ce qui concerne la créance, contrairement à l'affirmation de M. Lemonnier selon laquelle l'appel du secrétaire général n'est pas à recevoir parce que le jugement contesté ne lui a pas accordé de dommages et n'était que «une victoire morale», Unat a jugé que le succès avant de ne dépend de la question de savoir si le personnel La demande du membre est accordée, en tout ou en partie, pas sur le recours accordé au membre du personnel, et que le membre du personnel peut prévaloir ou réussir sa réclamation sans recevoir de dommages-intérêts. Selon...
Ayant décidé qu'une audience orale n'aiderait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire ", comme l'exige l'article 18, paragraphe 1, de la ROP, UNAT a refusé la demande des demandeurs. L'UNAT a également décidé que les appelants ne pouvaient pas présenter de preuves supplémentaires car les preuves n'avaient pas été présentées avant Unrwa DT et qu'aucune demande n'avait été faite pour être autorisée à soumettre ces éléments de preuve en appel. Unat a noté qu'un appel n'est pas à recevoir lorsqu'un demandeur a contourné la compétence du juge de première instance, en déposant...
UNAT a considéré la réalisation de l'appel, s'il y avait une irrégularité procédurale et si l'appelant avait droit à des dommages moraux. Unat a jugé que l'appel était à recevoir parce qu'il était déposé en temps opportun, selon les articles 7 et 29 du ROP. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit en concluant que l'administration n'avait pas correctement informé l'appelant de sa non-sélection parce qu'elle connaissait sa non-sélection assez tôt pour contester en temps opportun la décision. Unat a constaté que UNDT avait commis une erreur en droit et a dépassé sa compétence dans l...
Unat a rejeté la demande d'audience orale. Unat a tenu, notant que l'appelant semblait restituer les mêmes affirmations qu'elle a présentées devant undt, qu'elle n'avait identifié aucun motif d'appel ni démontré que UNT a commis une erreur de fait ou de loi en arrivant à sa décision. Unat a jugé que UNDt considérait pleinement et équitablement l'affaire, sans erreurs de droit ni de fait. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a examiné si undt a commis une erreur en droit ou en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable lorsqu'elle a constaté que i) il n'y avait aucune erreur de procédure résultant du retard dans la réalisation des commentaires sur la déclaration de réfutation de l'appelant; et ii) la demande de l’appelant concernant l’évaluation et les conclusions du panel de réfutation et son évaluation finale de performance n’ont pas entraîné de décision administrative contestable. Unat a constaté que, comme aucune explication n'était fournie pour le retard initial et pertinent, UNDT a...
Unat a jugé que l'appelant n'a pas contesté la décision qui a nié la reclassification de son poste d'un G-8 à un poste P-2 dans les délais des règles du personnel de l'OACI 111. 1 (7) et 111. 1 (5), confirmant la conclusion d'Ajab. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune obligation du Secrétaire général de l'OACI de fournir aux membres du personnel des conseils sur la procédure d'appel et de conseiller sur les délais. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence pour répondre aux avantages des réclamations que l'appelant soulève en appel contre la décision selon laquelle son poste a été incorrectement...
Unat a considéré l'appel. Unat a noté que l'appel était défectueux parce que l'appelant n'avait identifié aucun des cinq motifs d'appel indiqués à l'article 2.1 comme formant la base juridique de son appel. Unat a constaté qu'il n'avait pas respecté son obligation statutaire en tant qu'appelant, en ce que rien qu'il plaidait n'était capable de démontrer que l'UNRWA DT a commis une erreur de fait ou de loi justifiant l'intervention de Unat. Unat a également constaté que l'appelant n'avait démontré aucune erreur dans la conclusion de l'UNRWA DT et n'avait fourni aucune preuve à l'appui de ses...