¹ú²úAV

Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies (CCPPNU)

Showing 11 - 20 of 83

Le Tribunal a établi qu'il n'y avait aucune preuve pour soutenir la position de l'administration. Par conséquent, le Tribunal a jugé que la décision contestée était arbitraire, capricieuse et illégale.

En ce qui concerne la demande de dommages-intérêts du requérant, le Tribunal a conclu qu'aucune preuve n'avait été présentée par le requérant et qu'il n'avait donc pas réussi à s'acquitter de la charge de production et de preuve qui lui incombait. Par conséquent, la demande de dommages-intérêts moraux a été rejetée.

À la lumière des conclusions du Tribunal, le défendeur a été condamné à...

En ce qui concerne le cadre juridique pertinent, quel que soit le statut accordé à l’emploi antérieur et/ou actuel du demandeur au sein de l’OIM dans le cadre du programme ASHI, au moment pertinent de la demande d’AMCS, le demandeur ne se trouvait pas dans un délai de 31 jours avant ou après la séparation lorsqu’une demande d’AMCS doit être soumise.

Dès lors, même si les termes de la décision attaquée étaient trompeurs, la requérante n’avait pas le droit d’être inscrite à la Régime ASHI lorsqu’il en a fait la demande.

Il existe en effet une incertitude et peut-être aussi un désaccord sur divers faits importants de l’affaire. Par conséquent, l’affaire ne peut être jugée sur la base d’un jugement sommaire.  

La partie de la présente affaire concernant l’OIM n’est pas recevable en vertu de la doctrine juridique de la litispendance.

S’agissant de la décision HLIS, le Requérant renvoie à sa demande d’évaluation de gestion du 4 novembre 2022. Ã‰tant donné que la requête en l’espèce est déposée après cette date, cette partie de la requête est donc, de ce point de vue, désormais recevable en vertu de la...

L'UNAT a rejeté l'appel et confirmé la décision de la Caisse commune des pensions des Nations Unies.

L'UNAT a rappelé qu'au moment de l'entrée en participation de M. Arigon en 2002, l'article 24 ne lui permettait pas de rétablir sa période de cotisation antérieure, car cette possibilité était limitée aux participants dont la période antérieure de cotisation était inférieure à cinq ans et qui avait reçu un règlement de retrait ; ni l’un ni l’autre ne s’appliquait à lui. Lorsque l'amendement de 2007 à l'article 24 a été introduit, il disposait d'une période d'un an, du 1er avril 2007 au 1er...

Mme Larriera a demandé la révision du jugement de l'UNAT au motif que de nouveaux faits décisifs étaient apparus de la part du gouvernement français concernant sa relation avec le défunt participant à la Caisse commune des pensions des Nations Unies, MM. Plus précisément, elle soutient que le gouvernement français a approuvé les conclusions de un tribunal brésilien qu'elle entretenait une « union stable » avec M. M., et que cela a également été annoté sur l'acte de décès de M. M. L’UNAT a observé que la demande de révision présentée par Mme Larriera était tardive. En outre, l’UNAT a conclu que...

L'UNAT a examiné un appel de Mme Mukomah.

L'UNAT a estimé que l'affirmation de Mme Mukomah selon laquelle elle était l'épouse du défunt participant au moment de son décès et avait donc droit, sur cette base, à une prestation de veuvage en vertu de l'article 34 des statuts de la Caisse, n'était pas fondée sur la base des éléments de preuve présentés devant elle. l'UNAT.

L'UNAT a estimé qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves prouvant que le défunt participant et Mme Mukomah avaient légalement conclu une (deuxième) union légalement reconnue par l'autorité compétente du Kenya, conférant des...

L'UNAT a refusé l'appel de Mme Banyanga et a confirmé la décision du comité permanent. L'UNAT a constaté que Mme Banyanga n'avait pas expliqué adéquatement les incohérences entre ses propres informations personnelles et les informations soumises par M. Mbirange concernant son conjoint signalé (y compris que le nom «Banyanga» ne figurait pas dans la documentation que M. Mbirange a fourni sur son conjoint). L'UNAT a également rejeté la dépendance de Mme Banyanga sur le certificat de mariage qu'elle a soumis, qui a montré une prétendue date de mariage en 1997.

L'UNAT a observé que M. Mbirange...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a d'abord jugé que l'UNDT avait commis une erreur en droit dans l'application rétroactive de la règle 193.3 (c) rétroactivement lorsqu'elle a examiné son droit à une indemnité de licenciement. Au moment où la décision contestée a été prise, seuls les règlements et règles du personnel de l'OMM 2019 étaient en vigueur et auraient dû être appliqués. L'UNDT a fait une erreur dans l'application de la loi 2020 en fonction de la soumission par le Secrétaire général de la mauvaise version des réglementations et règles de l'OMM à l'UNDT. L'UNAT a confirmé la conclusion...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a jugé que l’UNDT avait correctement trouvé la demande de la demande de Mme Raschdorf en ce qui concerne la décision non renouvelable et la décision de l’ABCC, la décision de Mme Raschdorf à demander l’évaluation de la gestion. L'UNAT a constaté que contrairement à l'affirmation de Mme Raschdorf, la décision non renouvelable n'a pas été prise après les conseils d'un organe technique. En ce qui concerne la décision de l'ABCC quant à savoir si la réclamation a été dérangée, l'UNAT a constaté que cette décision n'était pas fondée sur une considération d'une...