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Statut du personnel de l'OACI

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À titre préliminaire, le Tribunal d'appel a rejeté l'argument de M. Wan selon lequel le fait qu'il n'ait pas été représenté devant la commission de recours de l'OACI l'a considérablement désavantagé, ce qui a eu une incidence directe sur l'issue de l'affaire.

S'agissant du fond de l'affaire, le Tribunal d'appel a confirmé les conclusions de la Commission de recours selon lesquelles il avait été prouvé de manière claire et convaincante que M. Wan avait commis deux fautes qui justifiaient l'imposition de la sanction de licenciement.Sur la base des documents présentés par le Secrétaire général...

En ce qui concerne l'application prétendument discriminatoire et arbitraire de la règle 105.3 du personnel de l'OACI concernant les heures supplémentaires, le Tribunal d'appel a estimé que la Commission de recours n'avait pas commis d'erreur en constatant que M. Alvear n'avait pas identifié de décision administrative spécifique susceptible de recours, et qu'elle n'avait donc pas commis d'erreur en rejetant sa demande.

En ce qui concerne la plainte de M. Alvear selon laquelle il n'avait pas reçu les résultats de la classification de son poste, le Tribunal d'appel a estimé que la Commission de...

À titre préliminaire, la Commission d'appel a estimé que M. Radu n'avait pas démontré l'existence de circonstances exceptionnelles à l'appui de sa demande d'anonymat et a donc rejeté sa demande.
La Commission d'appel a rejeté l'appel de M. Radu concernant la décision n° 1 de la Commission d'appel.  La Commission d'appel a estimé que même si le Règlement du personnel devait être interprété comme exigeant la consultation de la clinique médicale à ce moment-là, le fait que l'Organisation n'ait pas respecté le Règlement du personnel n'aurait pas rendu la décision nulle ab initio.
En ce qui...

L'UNAT a estimé que la Commission d'appel de l'OACI avait mis en œuvre des modifications internes dans sa législation pour satisfaire aux exigences de l'article 2 (10) du Statut du Tribunal d'appel. Elle a constaté que la Commission d'appel ne fournissait plus uniquement des conseils ou de simples recommandations au secrétaire général de l'OACI, mais plutôt des décisions finales et, par conséquent, constituait une procédure neutre de première instance. Elle a en outre estimé que, même si l'OACI aurait pu envisager de recourir au Tribunal pour résoudre les différends entre membres du personnel...

Notant l'affirmation du Secrétaire général selon laquelle le revue administrative par l'OACI est l'équivalent de l'évaluation de la gestion en vertu de l'article 7 (3) de la loi Unat, et l'article 7 (3) doit être interprété de la même manière que l'article 8 (3) de la UNDT Statut, Unat a convenu que l'article 7, paragraphe 3, interdit à Unat de renoncer à la date limite par laquelle l'appelant devait demander un examen administratif. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence ou compétence pour répondre aux avantages des allégations de fond de l'appelant, car Ajab n'a pas considéré le fond de...

Unat a considéré un appel de Mme Dzuverovic et un appel à l'appel par le Secrétaire général. En examinant l'appel de Mme Dzuverovic, Unat a jugé que UNDT n'avait pas fait d'erreur de droit en concluant que la demande n'était pas à recevoir Ratione Materiae, car l'appelant n'avait pas demandé l'évaluation de la décision de la décision contestée et n'a fait aucune demande écrite pour étendre le date limite. En examinant la demande du Secrétaire général dans son appel à ordonner la rédaction des paragraphes contenant des recommandations de UnTT, Unat a soutenu que l'approche de UNT ne méritait...

Unat a considéré l'appel et l'a permis en partie. Unat a jugé que l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'AJAB avait constaté une série de violations de ses droits en tant que membre du personnel, mais n'avait pas attribué une indemnisation proportionnelle, avait du mérite. Unat a jugé que les violations de l'IACO identifiées par l'AJAB étaient de nature fondamentale (c'est-à-dire le traitement d'une affectation temporaire comme une discrimination, la discrimination du personnel, le fait de ne pas faire de bonne foi pour trouver des postes alternatifs et de refuser de donner accès au...

Sur la question du maintien de la confidentialité, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas fourni des raisons persuasives de maintenir la confidentialité de son cas et n'avait pas accordé sa pétition. Unat a jugé qu'une décision de ne pas examiner la fermeture d'une enquête, qui avait été contestée par un membre du personnel comme procédural ou de manière substantielle, était une décision qui avait affecté les droits légaux d'un membre du personnel et qu'il constituait donc une décision administrative soumise à une revue judiciaire. Unat a jugé que les dispositions spécifiques de l’enseignement...

Unat a jugé que l'appelant n'avait pas soumis son appel à l'AJAB conformément aux délais définis dans les règles du personnel du service sur le terrain de l'OACA. Unat a jugé qu'une soumission d'un appel de la décision administrative à l'AJAB était une étape obligatoire dans la procédure de première instance. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence ou compétence pour répondre aux avantages des revendications substantielles d'un appelant qui n'étaient pas considérés d'abord par l'AJAB comme le «processus de première instance neutre». Unat a en outre soutenu que l'appelant n'avait pas respecté...

Unat a jugé que les exigences de juridiction Unat étaient remplies. Unat a jugé que l'appel à l'AJAB était barré dans le temps et, comme l'appelant n'a pas demandé un examen administratif en vertu de la règle 111 du personnel de l'OACI. 1 (5), l'appel à Ajab n'était pas à recevoir Ratione Materiae. Unat a jugé qu'une demande ultérieure de l'appelant n'était pas pertinente pour la question de la créance car, bien que la demande ultérieure ait été formulée différemment, elle était basée sur la même situation factuelle et substantielle qui avait déjà été évaluée dans sa demande précédente et...