Le tribunal a constaté que la requérante n'avait pas établi qu'elle faisait partie des trois catégories énoncées dans la loi. Elle ne pouvait pas poursuivre en tant que membre du personnel parce qu'elle ne l'était pas, et elle ne pouvait pas poursuivre en tant qu'ancienne membre du personnel parce que la réclamation n'avait aucun rapport avec son statut contractuel. Le tribunal ayant constaté que le demandeur n'était pas la veuve du défunt, elle n'avait pas droit aux avantages à quelque titre que ce soit. Le demandeur n'avait pas de permanente Ratione Personae.
Nairobi
Le tribunal a constaté que V01 était un témoin crédible. Son témoignage a été pris indépendamment, en gardant à l'esprit toutes les circonstances et a établi les faits que l'exploitation sexuelle et les abus ont eu lieu. Le tribunal a trouvé W01 un témoin crédible, son témoignage relatif au premier incident qu'elle a résolu de manière informelle avec le demandeur était conforme au témoignage de V01 et corroboré. Le demandeur n'a pas réussi à discréditer ce témoignage. Le tribunal a constaté que les faits établis étaient qualifiés de faute en vertu des règlements et règles du personnel. Le...
Le Tribunal a conclu que sur la base de l'admission et des témoignages du demandeur d'autres témoins au cours de l'enquête et lors de l'audience, il avait été établi par des preuves claires et convaincantes que le demandeur a physiquement agressé un autre membre du personnel le 20 mars 2016. Sur la question de savoir si les faits équivalaient à Inconduite, le tribunal a constaté que l'action du demandeur avait violé la règle 1.2 (g) du personnel et constituait le harcèlement en milieu de travail, qui est interdit par la règle 1.2 (f) du personnel. En conséquence, l'action du demandeur a été...
Le tribunal a conclu que la demande n'était pas à la fois à la fois à la fois rationne tempis et ratione materiae. En ce qui concerne Ratione Tempois, le Tribunal a noté que la requérante avait pris connaissance de la décision contestée le 31 mai 2019. Elle aurait alors dû demander l'évaluation de la direction avant le 30 juillet 2019. Elle a toutefois soumis sa demande le 30 décembre 2019, cinq mois de fin de retard , et en dehors de la période de 60 jours. Le tribunal a donc jugé que sa demande d'évaluation de la gestion était barrée dans le temps et, par conséquent, la demande n'était pas à ...
Le Tribunal a tenu une discussion sur la gestion des cas le 19 août 2021 au cours de laquelle les parties ont convenu que cette demande avait été remplacée par la décision du 12 novembre 2019 de l'ABCC niant la demande de prestations du demandeur en vertu de l'annexe D. Au moment du dépôt de la demande, Le 23 octobre 2019, le demandeur n'avait pas encore reçu cette décision. Compte tenu de cette évolution, le Tribunal a constaté que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae, car la demande n'a pas divulgué de décision administrative révisable. La requérante n'a pas établi qu'elle...
Le tribunal a constaté que le demandeur n’avait pas satisfait sa charge de preuve à montrer par des preuves claires et convaincantes que sa séparation était injuste et que l’administration n’a violé aucune durée du contrat de travail du demandeur. Le requérant a contesté le fait qu'il avait été séparé sur le motif de licenciement avant que l'Assemblée générale n'ait approuvé le budget pour abolir son poste. Le dossier a montré que ce problème était déjà jugé en faveur du demandeur en vertu de l'ordonnance n ° 086 (NBI / 2019). Conformément à la conclusion finale antérieure du Tribunal sur la...
La demande n'est pas à recevoir car Art.8.1 du statut du tribunal indique clairement que la demande doit être déposée dans les 90 jours suivant la réception de l'évaluation de la gestion où l'évaluation de la gestion est prévue dans les 45 jours suivant la demande. Le demandeur a soulevé une évaluation de la direction de la plainte selon laquelle l'enquête n'était pas juste et équilibrée parce que le rapport ne lui avait pas été divulgué; Il n'y a eu aucune évaluation de gestion de l'allégation de négligence. Cette allégation n'est donc pas à recevoir.
L'accusation a fait l'objet d'une enquête en bonne et due forme et a été présentée. La procédure légale a été respectée et le requérant a eu à tout moment la possibilité de réfuter l'accusation et de montrer que le PNUD n'avait pas réussi à la prouver par des preuves claires et convaincantes ou qu'il existait des circonstances atténuantes. La procédure et la capacité du requérant à comprendre l'accusation et à faire valoir ses arguments n'ont fait l'objet d'aucun doute. Toute difficulté à contredire l'accusation au cours de la procédure avec des preuves documentaires a été résolue par le fait...
Les faits de l'affaire équivalaient à deux décisions contestées: la décision de la RSCE de refuser la subvention de la demande d'éducation du demandeur pour son fils pour l'année académique 2019-2020, au total ou au prorata, et le chef du refus de Mission d'accorder l'octroi à l'octroi de Demandeur une exception en vertu de la règle du personnel 12.3 (b). Le demandeur n'a demandé que l'évaluation de la direction de la décision RSCE. Dans la mesure où le demandeur a contesté la décision du chef de mission, la demande n'était pas à recevoir puisque le demandeur n'a pas demandé d'évaluation de la...