Unat a jugé que l'UNDT a conclu correctement que les demandes à l'UNDT, qu'ils soient en service ou anciens membres du personnel (comme l'appelant), ne sont à recevoir que si le demandeur a précédemment soumis la décision administrative contestée pour l'évaluation de la direction. Unat n'a trouvé aucun mérite dans l'interprétation par l'appelant des dispositions pertinentes selon lesquelles, en tant qu'ancien membre du personnel, il était exempté de l'exigence d'évaluation de la direction. Immêlable a confirmé la considération de l'UNT selon laquelle en cas d'ambiguïté ou de contradiction...
Matière (ratione materiae)
UNAT a considéré deux appels du membre du personnel de l'ordonnance des UNT n ° 109 et 110. Unat a jugé que les appels étaient à recevoir parce qu'ils se sont adressés aux décisions judiciaires qui ont disposé les affaires précédant UNDT. Constatant que les deux appels ont soulevé les mêmes questions juridiques, les UNAT les ont consolidés dans l'intérêt de l'économie judiciaire et de la cohérence. Unat a soutenu qu’il n’y avait aucun mérite dans les observations du Secrétaire général sur la non-réivabilité des appels. Unat a toutefois soutenu que les requêtes de réintégration étaient en fait...
UNAT a rejeté préliminairement la demande d'une audience orale ne faisant pas besoin de clarifier les questions résultant de l'appel. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu que l'appelant n'avait pas identifié de décision administrative, ayant un impact direct et négatif sur ses droits contractuels, capable d'être examiné. Unat a jugé que l'appelant ne contestait pas une administrative spécifique mais avait demandé à UNT de renverser une politique. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu que l'appelant n'avait pas identifié une décision administrative capable d'être examinée et de respecter son fardeau statutaire de prouver la non-conformité des termes de sa nomination ou de son contrat de travail. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune raison d'interférer avec la conclusion d'UND que l'appelant n'avait pas établi l'existence d'une décision capable de donner une juridiction de l'UND pour se lancer dans la prise en compte de ses plaintes. Unat soutenait que UNDT avait correctement déterminé que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae. Unat a jugé que UNDT n'aurait pas dû se lancer dans la prise en compte de questions de fond, telles que les consultations du personnel et les arguments de discrimination, mais aurait plutôt dû se limiter à la question de la créance. UNAT a rejeté l...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que l’analyse de l’UNDT de la création de la demande était remplie d’erreurs factuelles et juridiques. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de fait et de droit lorsqu'elle a pénétré la période de limites pour la demande d'évaluation de la direction pour la période du 23 juin au 23 août 2011. Unat a jugé le péage de la période de limites pour les deux ou trois jours de l'aide du Médiateur, Ce qui a eu lieu après l'expiration de la période de limites n'a pas aidé le membre du personnel. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune...
En tant que question préliminaire, UNAT a constaté qu'il n'y avait pas de circonstances exceptionnelles pour justifier l'octroi de la requête de l'appelant en autorisation de déposer une réponse à la réponse du commissaire général et a rejeté la requête. Unat a jugé que les conclusions de l'UNRWA selon lesquelles la demande n'était pas à recevoir Ratione tempis parce qu'elle avait été déposée plus de trois ans après la réception de la décision de résiliation et que l'UNRWA DT n'avait pas de pouvoir discrétionnaire de renoncer au délai de réglementation de trois ans, était inattaquable. Unat a...
Unat a considéré un appel de M. Survo et un appel du secrétaire général. Unat a soutenu que UNDT n'avait pas commis une erreur dans la procédure, y compris dans ses conclusions concernant la créance. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis une erreur en droit concernant les questions soulevées par M. Survo. Unat a soutenu que UNDT n'avait pas commis une erreur sur une question de fait, comme pour rendre la décision de UNT manifestement déraisonnable. Sur l'appel par le Secrétaire général de la question spéciale de l'allocation postale (SPA), Unat a jugé qu'UNAT n'avait aucune base légale ou...
Unat a jugé qu'il ne pouvait trouver aucune faute avec la conclusion de l'UNDT que la demande n'était pas à recevoir Ratione Materiae, qui accordait la jurisprudence de l'UNAT. Unat a jugé que, comme ce motif était suffisant pour affirmer le jugement de l'UND et pour rejeter l'appel, il n'était pas nécessaire de déterminer si la demande avant un non conteste une décision administrative spécifique de la part de l'UNICEF ou si l'appelant n'était que simplement faire des plaintes générales concernant l'échec de l'UNICEF à le protéger. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
UNAT a refusé la requête de l'appelant pour déposer des plaidoiries supplémentaires, notant que les nouvelles preuves concernaient les questions qui ne relèvent pas de la portée de sa demande à UNT. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que la seule question juridique résultant pour la détermination était de savoir si l'appelant avait droit à une indemnisation des dommages moraux à la suite de l'émission de la réprimande. Unat a estimé que depuis que l'administration avait annulé la décision contestée avant même que l'appelant ne déposait sa demande UNDT, et, par corollaire...