La justification de l'imposition d'une telle mesure administrative extraordinaire en matière d'Alwop concernant l'inconduite sexuelle est double, tout d'abord pour dissuader les membres du personnel de s'engager dans l'exploitation sexuelle et les abus et, deuxièmement, pour protéger les intérêts de l'organisation en confirmant son intégrité et son réputation. Toute décision d'étendre ALWOP doit être raisonnable et proportionnée. Une décision d'étendre ALWOP est une mesure administrative drastique et devrait normalement être de courte durée. Pour déterminer si une prolongation d'Alwop est...
HCNUR
Au moment de la décision contestée de ne pas enquêter sur sa plainte de harcèlement et d'abus d'autorité dans sa séparation du service et de la liste noire présumée, le demandeur avait été séparé du service depuis plus de quatre ans et demi et n'était plus membre du personnel de le sens strict. Par conséquent, pour que la demande est à recevoir, la décision contestée doit avoir une incidence sur le statut du demandeur en tant qu'ancien membre du personnel dans le sens où elle affecte ses droits contractuels précédents. Pour déterminer si la décision contestée affecte ou non les droits...
Le tribunal a constaté que l’administration qualifiait correctement la conduite du demandeur envers les plaignants comme harcèlement sexuel, mais a constaté que la sanction a disproportionné l’infraction. Le tribunal est d'avis que, alors que dans l'évaluation des accusations de harcèlement, le test se concentre sur la conduite elle-même - et nécessite un examen objectif quant à savoir si elle pourrait être attendue ou perçue comme provoquant une infraction ou une humiliation à une personne raisonnable, n'étant pas nécessaire plutôt pour établir que le délinquant présumé a été mal intentionné...
Les circonstances de la maladie grave du demandeur, des difficultés de voyage et des problèmes de sécurité au Soudan étaient toutes des considérations dignes dûment prises en compte par l'organisation pendant les efforts déployés pour accueillir le demandeur et atteindre une résolution partielle comme indiqué. À la réception de la demande d'évaluation de la gestion du demandeur, il était également à la discrétion de l'intimé sur la base de la règle 11.2 (c) du personnel pour prolonger la date limite de 60 jours. Cette discrétion ne s'étend cependant pas au tribunal. Le tribunal n'a aucune...
Unat a jugé que l'appel avait été déposé après la date limite pour le dépôt d'appel et que l'appel n'était donc pas à recevoir. Unat a jugé que le transfert inutile d'une copie anglaise du jugement au demandeur de ses informations ne constituait pas un cas exceptionnel qui justifierait l'extension de la date limite, compte tenu de la communication sans ambiguïté précédente de la version originale du jugement en français. UNAT a rejeté l'appel.
Unat a jugé qu'aucune des raisons du retard affirmé par l'appelant ne justifiait un appel tardif de 17 mois. Unat a soutenu qu'il ne considérerait que les problèmes de temps parce que l'affaire était si clairement hors du temps. Unat a estimé que toute erreur présumée de l'UNDT en considérant les mérites était sans but. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a jugé qu'il était ouvert à UNT de considérer la question préliminaire de la question de savoir si l'appelant avait un statut légal même pour contester la décision administrative de ne pas annoncer les postes vacants. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune erreur dans la décision de l'UNDT selon laquelle l'appelant n'avait pas le droit de contester la décision administrative car il n'était pas candidat éligible à aucun des postes vacants. Unat a jugé que l'appelant n'avait aucune participation dans la décision administrative car ses droits et ses conditions n'étaient pas affectés par le fait...
Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050, Unat a jugé que l'appel était barré et non à recevoir car il n'a pas été déposé dans les 45 jours civils suivant la réception du jugement UNDT. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence pour recevoir l'appel de l'appelant avant le coup. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND. Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050 / Corr. 1, Unat a noté que l'appelant avait obtenu une prolongation de délai pour déposer un appel au 16 février 2010 et il a déposé son appel à cette date. UNAT a rejeté la soumission du...
UNAT a considéré un appel centré sur la question de savoir si l'appelant devrait recevoir une rémunération accrue du salaire de base net de trois mois. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis d'erreur réversible en refusant d'accorder une compensation pour la souffrance morale. Unat a jugé que l'affaire se distinguait de Mebtouche (UNDT / 2009/039), où le demandeur, M. Mebtouche, avait déjà pris sa retraite et n'avait aucune chance d'être promu, donc une rémunération accrue était justifiée. Unat a jugé qu'une rémunération accrue ne pouvait pas être attribuée à l'appelant. UNAT a rejeté l'appel...
Unat a jugé que l'appel n'avait pas été déposé intempestif et était donc à recevoir. Unat a jugé que, quelle que soit la gravité de l'irrégularité commise par l'administration et le nombre de points obtenus par le demandeur lors de la session de promotion de 2007, UNDT n'a pas commis d'erreur en prévoyant que le haut-commissaire pourrait décider de verser une compensation plutôt que d'exécuter le ordonnance d'annulation. Unat a soutenu que UNDT, en fixant le montant de l'indemnisation à 8 000 francs suisses, n'a pas fait une erreur manifeste. Unat a détenu, concernant la conclusion selon...