À titre préliminaire, l'UNAT a estimé que la Commission paritaire de recours (JAB) avait rendu une décision comme l'exige l'article 2 (10) du Statut de l'UNAT et que l'UNAT était donc compétente pour entendre l'appel. En outre, l'UNAT a estimé qu'une audience orale ne contribuerait pas à une solution rapide et équitable de l'affaire comme l'exige l'article 18 (1) du règlement intérieur de l'UNAT et a donc rejeté la demande d'audience. L'UNAT a estimé qu'il n'y avait aucune erreur dans la décision de la Commission paritaire de recours confirmant la décision contestée d'acte répréhensible suite...
Article 18.1
M. Jibril a fait appel.
En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.
L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...
M. Hassan a fait appel du jugement du Tribunal.
L'UNAT a estimé que l'appelant n'avait pas démontré que le Tribunal avait commis une erreur en concluant que sa requête n'était pas recevable ratione personae. L'UNAT a conclu qu'au moment de la décision de non-sélection contestée, le requérant avait cessé ses fonctions depuis plus d'un an et n'était plus membre du personnel. Il s'agissait d'un candidat externe qui n'avait pas qualité pour contester la décision de ne pas le sélectionner pour le nouveau poste d'associé à la réinstallation, dans la mesure où la décision n'affectait pas ses anciens...
L’UNAT a d’abord rejeté la demande d’audience de M. Guenfoudi.
L'UNAT a conclu qu'en tant que membre de longue date du Secrétariat, M. Guenfoudi était conscient des normes de performance requises pour sa fonction de traducteur verbatim. L'UNAT a également estimé qu'il avait eu une possibilité équitable de remédier à ses lacunes en matière de performances, mais il a refusé de participer aux deux plans d'amélioration des performances. L’UNAT a estimé que le cadre juridique de l’Organisation indiquait clairement que le licenciement était une mesure prévisible après deux années consécutives de...
L'UNAT a jugé que les questions factuelles et juridiques résultant de cet appel ont déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'est pas nécessaire de clarifier davantage par le biais d'une audience orale. L'UNAT a constaté que l'UNDT n'avait commis aucune erreur lorsqu'elle a constaté que la demande du membre du personnel était une rationne materiae irrécouvrable. L'UNAT a noté que l'UNDT avait correctement jugé que le membre du personnel avait connaissance du présumé licenciement constructif à la date qu'il a réitéré sa démission, soit au plus tard lorsque l'UNICEF a accepté sa...
L'UNAT a jugé que l'UNDT n'avait pas commis une erreur en jugeant qu'il y avait eu des preuves claires et convaincantes que le membre du personnel avait harcelé d'autres membres du personnel sur une période de temps substantielle et que ce comportement constituait une mauvaise conduite sérieuse. L'UNAT a affirmé qu'il y avait des preuves claires et convaincantes pour soutenir les sept allégations selon lesquelles Mme Iram a utilisé un langage abusif, fait des remarques insultantes, crié et victime d'intimidation, engagé dans un contact inapproprié et établi des contacts indésirables avec des...
Le TANU a rejeté la demande d'audience du requérant et a estimé qu'une telle audience ne contribuerait pas au règlement rapide et équitable de l'affaire, comme l'exige l'article 18, paragraphe 1, du règlement de procédure du TANU. Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en supprimant les éléments de preuve joints aux conclusions finales du requérant ou en refusant d'entendre les superviseurs du requérant en tant que témoins. Le TANU a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait utilisé la carte d'exemption de TVA et la carte de crédit...
L'UNAT a constaté que l'UNT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou dépassé sa juridiction et a rejeté l'appel du secrétaire général. L'UNAT a constaté que l'administration avait été informée des conditions de travail disharmonies au sein du bureau régional pour l'Europe et n'avait pas pris de mesures en temps opportun. En exposant M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant une période considérable (plusieurs mois), l'administration a échoué dans son devoir de diligence vis-à -vis de M. Cahn pour mettre en œuvre des mesures préventives ou intérimaires et donc empêcher tout dommage...
M. Mousa a fait appel. En ce qui concerne la demande de M. Mousa pour une audience orale, l’UNAT a jugé qu’il n’avait pas fourni une raison impérieuse pour laquelle une audience orale devait être accordée dans le présent appel. Comme l'affaire traite de la question de la réception Ratione Materiae, une audience orale n'est pas nécessaire et n'aiderait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire "au sens de l'article 18, paragraphe 1, des règles de procédure de l'UNAT. L'UNAT a également constaté que l'appel de M. Mousa ne faisait référence à aucun des motifs d'appel mentionnés à l...
UNAT a rejeté l'appel. En tant que question préliminaire, Unat a refusé la demande d'AAB pour une audience orale au motif qu'il n'avait pas besoin de clarification supplémentaire, car les questions factuelles et juridiques résultant de l'appel avaient déjà été clairement définies par les parties, et une audience orale ne contribuerait pas à L'élimination rapide et équitable de l'affaire. UNAT a rejeté l'AAB affirmer que son droit à un procès équitable avant que l'UNDT avait été violé parce que, car la demande a été jugée à recevoir, et elle s'est vu refuser la possibilité de déposer une...