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Nairobi

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Le tribunal a constaté que la décision contestée n'était pas fondée sur des motifs inappropriés comme le prétendait le demandeur. Au contraire, le PNUD avait agi à loin et de manière transparente. Ainsi, le tribunal a soutenu qu'il n'y avait aucune illégalité, irrationalité et injustice dans la décision contestée.

L'argument de l'intimé selon lequel le demandeur n'a pas demandé d'évaluation de la direction de la décision contestée dans les 60 jours a été enracinée dans la conviction erronée que le protocole d'accord, qui déclare expressément qu'elle constituait un avis que la nomination du demandeur ne serait pas renouvelée au-delà du 29 février 2020 et qu'elle serait séparé en conséquence, lié au droit général des demandeurs d'être réabsorbé en moins. Le droit à un privilège général est intrinsèque à un détachement, ce qui signifie qu'il est inaliénable et que le demandeur n'aurait donc pas pu s'en...

Les faits établis ont été qualifiés de faute en vertu des règlements et règles du personnel. Il y avait des preuves que la totalité des circonstances, notamment des facteurs atténuants tels que le long service du demandeur auprès de l'organisation et son admission, bien qu'après la découverte de sa fraude par l'organisation, ont été examinés conformément aux principes définis. Il y avait une base pour l'affirmation selon laquelle la pratique du Secrétaire général en matière disciplinaire montre que les mesures à l'extrémité plus stricte du spectre ont normalement été imposées par l...

La décision contestée est née d'un accord signé le 21 avril 2020 entre le demandeur et l'UNICEF pour résilier sa nomination. Si la requérante avait souhaité contester les circonstances de son accord de licenciement, elle aurait dû demander l'évaluation de la direction d'ici le 20 juin 2020. Elle a toutefois soumis sa demande le 18 janvier 2021, près de sept mois plus tard et en dehors de la période de 60 jours. La demande d'évaluation de la gestion a été barrée dans le temps et donc la demande n'était pas à recevoir.

Le tribunal a observé que le demandeur était membre du personnel de l'UNRWA et a contesté une décision prétendument prise par cette agence. Le Tribunal a en outre rappelé que l'UNRWA ne relève pas de la juridiction de UNDT. En conséquence, le demandeur n'avait pas de locus standi avant le tribunal. La demande a donc été rejetée comme non réceptable.

La requérante n'a pas montré que la décision d'emploi négative avait des conséquences défavorables directes sur son contrat. L'argument du requérant selon lequel la décision a été utilisée par l'administration pour ne pas renouveler son emploi temporaire est sans fondement. Elle n'a trouvé aucune preuve pour étayer sa réclamation. Au contraire, l'intimé a montré que l'emploi temporaire a expiré à la fin des 364 jours maximum offerts dans le contrat. La requérante n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que la décision de ne pas renouveler son emploi temporaire était une conséquence directe de...

Le tribunal constate que la reprise de CHF2 838 constituant une perte financière occasionnée au défendeur par le biais des appels téléphoniques privés du demandeur n'est pas une considération pertinente à la détermination de la proportionnalité de la sanction. En effet, le recouvrement n'est pas une mesure disciplinaire au sens de la règle 10.2 (b) (ii) du personnel qui précise expressément que le rétablissement des sommes dûs à l'organisation est une mesure disciplinaire. Le demandeur n'a pas montré qu'il mérite une sanction plus clémente que celle imposée. Son impéniosité, résultant de la...

Le Tribunal a conclu qu'en ce qui concerne les décisions de juin 2018 sur les déductions en raison de la pension alimentaire pour enfants et du 24 septembre 2018 sur l'enregistrement du statut du demandeur en tant que «divorcé», la demande n'est pas à recevoir. Le Tribunal a annulé la décision du 18 septembre 2018, car comme l'admis l'intimé dans sa réponse à l'ordonnance n ° 190 (NBI / 2020), cette décision administrative avait été rendue par erreur. Tous les autres plaidoyers ont été rejetés.

Le tribunal constate que, contrairement aux soumissions de l'intimé, l'allégation du demandeur selon laquelle elle remplissait les fonctions adjoints administratives au moment pertinent est soutenue par ses bassins électroniques 2016-2017 et 2017-2018, son profil d'histoire personnelle et ses lettres de nomination qui étaient les 2016 Documents pertinents aux fins du processus d'examen comparatif («CRP»). Le demandeur a réussi à réfuter la présomption de régularité en prouvant par des preuves claires et convaincantes que le CRP était illégal. L'administration a violé ses propres règlements et...

Le tribunal a constaté que le droit de connaître le contenu du rapport, bien que résumé, était implicite dans le droit d'un membre du personnel de se plaindre contre des tiers parce que ce droit comprend le droit de connaître les raisons pour lesquelles l'administration n'a pas punie l'accusé Personne et le droit de contester cette décision, fondant la réclamation pour des motifs spécifiques liés à l'évaluation par l'administration des faits. La jruprudence reconnaît que le droit du plaignant d'avoir un résumé du rapport est également reconnu, et il est confirmé que ce n'est que dans des...