UNDT/2021/022, Koduru
Receivabilité La nomination du demandeur a été prolongée au-delà de sa date d'expiration pour lui permettre d'épuiser ses droits médicaux. Les droits du demandeur, si son contrat avait été étendu, serait calculé à une échelle différente de celui appliqué pendant ses congés de maladie. De plus, si la décision contestée était jugée illégale, le demandeur pourrait avoir le droit de recevoir une compensation pour le préjudice causé par la décision illégale en vertu de l'art. 10.5 (b) de la loi du Tribunal des différends, quels que soient les droits dont elle a pu bénéficier pendant ses congés de maladie. La demande ne peut pas être considérée comme par selon Kallon 2017-UNAT-742 (par. 44-45). Le calcul de toute rémunération pour recours est une question de fond, et non de créance. La demande ne relève pas du sens de Belkhabbaz 2018-UNAT-895 (par. 40). Mait le demandeur allègue que la décision était le résultat d'un harcèlement prolongé mais n'a contesté aucun des cas présumés de harcèlement, ni ne présente la preuve d'un lien causal entre un tel harcèlement présumé et la décision contestée. La raison prévue par l’intimé pour la non-renouvellement de la nomination du demandeur - l’abolition de son poste après la fermeture de la mission - est confirmée par les faits en preuve et il n’existe aucune preuve d’urgence. Étant donné que le demandeur a tenu un rendez-vous à durée déterminée qui a expiré, l'administration n'avait aucune obligation de faire des efforts pour la conserver.
Séparation du service après la non-extension de la nomination à durée déterminée.
Les nominations à durée déterminée ne portent pas l'espérance de renouvellement. Le demandeur supporte le fardeau de montrer que la décision contestée était fondée sur des motifs indus. L'administration n'a aucune obligation de faire des efforts pour conserver un membre du personnel dont la nomination à durée déterminée expire.