2012-UNAT-264, Seddik Ben Omar
Unat a rejeté la demande d'audience orale constatant que les questions factuelles et juridiques avaient déjà été clairement définies par les parties. Unat a noté qu'il n'y avait aucun dossier que l'appelant avait jamais demandé ou accueilli une autorisation de soumettre d'autres observations ou preuves avant la décision de l'UNT en appel. Unat a soutenu que l'appelant n'a donc pas établi que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'appelant n'avait pas produit suffisamment de preuves de détresse liées spécifiquement au placement de la note pour justifier une compensation pour la détresse émotionnelle. Unat a jugé que les preuves envisagées par l'appelant ne seraient pas admissibles car elle était connue de l'appelant et aurait dû être présentée au niveau de l'UNDT. Étant donné que, au moment du placement de la note dans le dossier de l'appelant, il n'était même pas membre du personnel de l'ONU et l'action ultérieure du Secrétaire général pour permettre à l'appelant de placer ses commentaires dans son dossier, Unat Held Held qu'il n'y avait aucune circonstance qui justifierait de demander à un fonctionnaire de rendre compte de ses actions. En ce qui concerne la demande de dépens de l’appelant contre l’intimé, Unat a jugé qu’il n’y avait aucune preuve auparavant, ce qui permettrait à la conclusion que l’intimé avait été coupable d’abus manifestement du processus d’appel. Unat a soutenu que l'appelant n'avait pas établi que UNDT avait commis une erreur en concluant qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves de détresse émotionnelle. L'UNAT a en outre jugé que l'appelant n'avait pas prévu de plainte pour renvoi pour la responsabilité, ni pour une commande de frais. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Le demandeur a contesté les décisions: 1) de ne pas renouveler sa nomination à durée déterminée; 2) pour lui refuser le paiement de son salaire et de ses droits; 3) Placer la note sur son dossier de statut officiel (OSF), et 4) réclamer la perte de possibilités d'emploi et de diffamation. UndT a constaté que le placement de la note dans l'OSF était illégal et a ordonné son retrait. UNDT a accordé la rémunération du demandeur pour le préjudice causé par le placement de la note. UNDT a rejeté la demande de compensation de détresse émotionnelle constatant que le demandeur n'avait pas produit suffisamment de preuves de détresse liées spécifiquement au placement de la note. UNDT a également rejeté les réclamations du requérant concernant la non-renouvellement de sa nomination et le non-paiement du salaire et d'autres droits. Le demandeur a fait appel.
Les preuves connues de l'appelant et auraient dû être présentées au niveau du UNT ou d'un autre tribunal de première instance n'est pas admissible avant UNAT (article 2. 5 du statut Unat). Des frais peuvent être accordés contre une partie qui a manifestement abusé du processus d'appel.