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ONU-Habitat

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D'une part, le défendeur a admis qu'une erreur avait été commise lorsque l'offre initiale de nomination a été transmise au requérant. D'autre part, le requérant a signé la lettre de nomination formelle sur la base de l'offre initiale qui énonçait les droits, car la lettre formelle ne contenait pas ces droits. Compte tenu de ces circonstances, le Tribunal considère que l'affaire se prête parfaitement à la médiation. Cette procédure permettra aux parties de parvenir à une solution satisfaisante dans ce qui semble être un cas d'erreur et de malentendu.

Le Tribunal renvoie donc la présente...

En ce qui concerne le recours gracieux, le Tribunal a fait observer que la preuve du fait que la requérante exerçait les fonctions d'un poste P-4 pouvait être déduite du fait que les fonctions que le P-4 exerce actuellement sont les mêmes que celles que la requérante exerçait avant d'être réaffectée en 2021. Le Tribunal a donc conclu que l'administration avait violé le droit de la requérante à un salaire égal pour un travail égal. La requérante avait le droit d'être rémunérée pour ses fonctions au niveau approprié et, par conséquent, elle avait droit au paiement rétroactif du salaire perdu...

Unat a examiné si la décision contestée était une décision administrative contestable. Unat a noté que ce qui constitue une décision administrative dépendra de la nature de la décision, du cadre juridique en vertu de laquelle la décision a été prise et des conséquences de la décision. UNAT a jugé que l'exigence pour le bureau de l'ONU chez les membres du personnel de Nairobi (UNON) de posséder des cartes MIP ou un terrain pour accéder à des services médicaux à crédit concernait l'administration globale efficace du régime d'assurance médicale du personnel de l'organisation. Unat a jugé que...

UNAT a considéré l'appel de l'appelant et a constaté qu'elle n'avait pas démontré que sa demande de prolongation du délai était raisonnable. Unat a constaté que les preuves sur les négociations envisagées, nécessaires ou en cours étaient auparavant réfutées en appel. Unat a noté que l'appelant avait le temps et l'assistance d'un conseiller juridique pour faire avancer sa demande et ne se sont pas prévus de ces opportunités. UNAT a donc rejeté l'appel.

L'UNAT a considéré les appels par le Secrétaire général de l'Ordre nos 30 (NBI / 2011) et 33 (NBI / 2011). L'ordonnance n ° 30 (NBI / 2011) a prolongé la suspension de l'action jusqu'au 13 mai 2011, au-delà de la date à laquelle l'évaluation de la direction a été achevée. Unat a jugé que UNDT aurait dû accorder une suspension jusqu'au 13 mai 2011 ou jusqu'à la fin de l'évaluation de la direction si ce dernier était plus tôt. Unat a jugé que UNDT avait dépassé sa juridiction et commis une erreur de droit. L'ordonnance n ° 33 (NBI / 2011) a prolongé la suspension jusqu'à la détermination finale...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que le chef de département n'avait pas le droit de retirer un candidat de la liste des candidats qualifiés et, par conséquent, de la liste des candidats qui avaient été reconnus comme qualifiés. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis d'erreur de droit ou de fait dans la décision que la décision administrative contestée a été entachée par l'irrégularité et ordonnant à l'appelant d'être versé, équivalent à six mois de salaire de base comme alternative à la résiliation de la décision inappropriée. Unat a considéré que, dans cette...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé qu'il n'était pas pour le chef de département d'intervenir dans le processus d'évaluation mené par le gestionnaire de programme, l'organisme central d'examen et, le cas échéant, le panel. Unat a jugé que le chef de département n'a pas le droit de retirer un candidat de la liste des candidats qualifiés et, par conséquent, de la liste des candidats qui ont été reconnus comme qualifiés. Unat a jugé que les actions du directeur exécutif ne sont pas tenues de tenir compte du droit de M. Verschur de bénéficier de l'avantage d'être inclus...

Unat a considéré une demande de révision du jugement n ° 2010-UNAT-015 par Mme Macharia. Unat a jugé que Mme Macharia n'avait fourni aucune preuve sur laquelle il pouvait en déduire qu'il y avait des parti pris ou une probabilité de parti pris de la part du juge Izuako. Unat a jugé qu'en ce qui concerne le juridique qui aurait eu une amitié personnelle avec le juge Boolell, il n'y avait aucune preuve pour tirer la conclusion que le jugeuse a influencé la procédure ou le juge de l'UND dans sa décision. Unat a jugé que Mme Macharia n'avait proposé aucune preuve à l'appui de ses affirmations nues...

Unat a considéré un appel de Mme Dzuverovic et un appel à l'appel par le Secrétaire général. En examinant l'appel de Mme Dzuverovic, Unat a jugé que UNDT n'avait pas fait d'erreur de droit en concluant que la demande n'était pas à recevoir Ratione Materiae, car l'appelant n'avait pas demandé l'évaluation de la décision de la décision contestée et n'a fait aucune demande écrite pour étendre le date limite. En examinant la demande du Secrétaire général dans son appel à ordonner la rédaction des paragraphes contenant des recommandations de UnTT, Unat a soutenu que l'approche de UNT ne méritait...

UNAT a considéré la demande d'interprétation du jugement de Mme Dzuverovic, en particulier la partie qui a rejeté le Secrétaire général croisé du Secrétaire général pour expliquer les recommandations formulées par UNDT et leur a donc permis de rester malgré le fait que l'application UNT de MS Dzuverovic n'était pas à la créance. Unat a jugé qu'il expliquait la signification et la portée de sa décision de rejeter l'appel d'appel du Secrétaire général et de ne pas expliquer les recommandations de l'UND lorsqu'elle a déclaré que les recommandations n'avaient aucune conséquence contraignante sur...