¹ú²úAV

HCDH

Showing 11 - 20 of 51

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

L'UNAT a constaté que l'UNT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou dépassé sa juridiction et a rejeté l'appel du secrétaire général. L'UNAT a constaté que l'administration avait été informée des conditions de travail disharmonies au sein du bureau régional pour l'Europe et n'avait pas pris de mesures en temps opportun. En exposant M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant une période considérable (plusieurs mois), l'administration a échoué dans son devoir de diligence vis-à-vis de M. Cahn pour mettre en œuvre des mesures préventives ou intérimaires et donc empêcher tout dommage...

Si la demande est à recevoir dans son intégralité, bien que le demandeur ait remis en question la légalité du seuil pour se qualifier pour une allocation monoparentale, contenue dans la SEC. 4.4 de ST / AI / 2018/6, il doit être compris comme faisant partie de son raisonnement juridique ou de ses arguments et ne peut être considéré comme la «décision contestée» comme suggéré par l'intimé. En effet, le demandeur ne prétend pas dans le résumé que l'exigence contenue dans la Sec. 4.4 de ST / AI / 2018/6 est illégal mais cherche plutôt à contester l'application directe et individuelle de l...

UNDT/2021/012, Richards

La date limite de la demande d'indemnisation du demandeur pour toute irrégularité présumée dans le traitement de sa plainte d'inconduite a commencé le 27 juin 2019 lorsqu'il a été informé de l'issue de la plainte. La notification du 27 juin 2019 a rendu la décision résultant de la finale de la plainte du demandeur et donc révisable en vertu de l'ART. 2.1 (a) du statut du tribunal. Par conséquent, la date de notification démarre le lieu de la fonction de toute contestation de cette décision administrative. En vertu de la règle 11.2 (c) du personnel, le demandeur avait 60 jours pour demander l...

Unat a soutenu que l'appelant n'était pas en mesure d'établir que sa non-sélection aux deux postes était imparfaite, ou qu'elle n'a pas été pleinement considérée pendant le processus de sélection. Unat a noté que la réclamation de l'appelant était qu'elle faisait face à une discrimination générale pendant de nombreuses années, mais qu'elle a plaidé cela sans démontrer une discrimination spécifique lorsqu'elle s'est vu refuser la nomination. Unat a soutenu qu'il y a toujours une présomption que les actes officiels ont été régulièrement accomplis. Unat a jugé que la preuve d'allégations non...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a confirmé la conclusion par UNT de l'illumination de la décision de réaffectation. Unat a rappelé que la réaffectation est appropriée si le nouveau poste est à la note du membre du personnel; Si les responsabilités impliquées correspondent à son niveau; Si les nouvelles fonctions sont proportionnées aux compétences et aux compétences du membre du personnel; Et s'il a une expérience professionnelle substantielle dans le domaine. Unat a jugé que, dans le cas de Mme Rees, aucun de ces facteurs n'existait en ce qui concerne la position à...

Unat a jugé que l'appelant demandait un examen de son cas afin d'améliorer la sentence et qu'il a simplement répété des arguments déjà considérés et acceptés par UNDT, ce qui n'était pas le but d'un appel. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas accueilli le fardeau de démontrer que l'UNDT avait commis une erreur en évaluant les dommages. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé sur une question de fait entraînant une décision manifestement déraisonnable sur ce point. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Unat a noté que seules des circonstances indépendantes du contrôle d'un demandeur qui les empêchaient d'exercer en temps opportun le droit d'appel peuvent être considérées comme des «circonstances exceptionnelles», justifiant une renonciation au délai légal. Unat a noté que la croyance erronée initiale d'un demandeur selon laquelle les décisions étaient légales ne peuvent être réputées constituer des circonstances exceptionnelles justifiant une renonciation au délai pour faire appel de ces décisions, en particulier lorsqu'elle avait tous les moyens d'obtenir des informations de l...