¹ú²úAV

FNUP

Showing 1 - 10 of 95

L'UNAT a estimé que le Tribunal a commis une erreur de procédure telle qu'elle a affecté l'issue de l'affaire en ne tenant pas d'audience et en s'appuyant de manière significative sur le rapport d'enquête de l'OAIS pour corroborer la véracité des événements allégués par le plaignant, alors qu'il n'y avait pas d'audience. Les témoins directs de la mauvaise conduite alléguée et tous les témoins sur lesquels se sont appuyés les enquêteurs de l'OAIS ont obtenu leurs preuves et informations auprès du plaignant. À ce titre, l'UNAT a conclu que leurs éléments de preuve étaient des preuves par ouï...

L'UNAT a examiné un appel du Secrétaire général contre le jugement n° UNDT/2021/032. Il a également examiné un appel incident de Mme Hilaire-Madsen, selon lequel le Tribunal aurait dû annuler la décision de non-renouvellement de l’Administration et lui accorder une indemnisation alternative ainsi qu’une indemnisation pour préjudice moral.

En ce qui concerne la légalité de la décision de non-renouvellement, l'UNAT a estimé que dans les circonstances particulières, au moment des faits de la décision de non-renouvellement contestée fin décembre 2018, du point de vue d'un observateur objectif...

Le Tribunal d'appel a constaté que l'UNDT avait commis une erreur en droit en appliquant le cadre juridique inapproprié, le cadre juridique pertinent n'étant pas ST / SGB / 2008/5, mais le cadre disciplinaire de l'UNFPA et la politique de harcèlement de l'UNFPA. L'UNAT a expliqué que l'UNFPA, étant l'un des fonds administrés séparément de l'organisation, a son propre cadre juridique et n'est pas réglementé par les émissions administratives générales du Secrétariat telles que ST / SGB / 2008/5, sauf indication contraire ou sauf si elle n'a expressément pas été expressément accepté leur...

L'UNAT a jugé que le Tribunal des différends a raisonné à juste titre qu'en vertu du cadre disciplinaire de l'UNFPA, l'évaluation des faits d'inconduite n'est pas exclusive à l'OAIS, mais que le directeur du Département des ressources humaines (directeur / DHR) doit également analyser les éléments de preuve, et une telle analyse pourrait conduire le DHR à une conclusion différente de celle de l'OAIS. En conséquence, dans ce cas, l'UNAT a constaté que l'administration de l'UNFPA avait l'autorité ou le locus standi pour procéder à un processus disciplinaire même en l'absence d'une conclusion d...

L'UNAT a rejeté l'appel interlocutoire comme non à recevoir au motif que l'UNDT n'avait pas clairement dépassé sa compétence ou sa juridiction ou a assumé une juridiction qu'elle n'avait pas lorsqu'elle a consolidé les affaires de M. Toson. L'UNAT a également convenu avec le Secrétaire général que M. Toson avait avancé des arguments infructueux similaires dans une affaire UNAT antérieure qu'il a apportée, mais M. Toson a refusé d'être guidé par ce jugement avant de poursuivre le présent appel. L'UNAT a mis M. Toson en avis qu'il risque qu'il en résulte une attribution de coûts pour des litiges...

Il était crucial pour le tribunal d'examiner la relation entre le demandeur et la victime présumée de son comportement. Il y avait des preuves claires d'un soutien financier constant au plaignant / victime. La requérante a établi une relation de confiance avec la plaignante / victime. Le lieu où elle a pu compter sur lui pour soutenir et était à l'aise pour le rencontrer en dehors du bureau de campagne du Malawi de l'UNFPA. La victime a été placée dans une position très vulnérable. Les abus de la part du demandeur n'étaient pas un épisode isolé, car le demandeur est également accusé d...

Le tribunal a jugé que le demandeur avait l'obligation en tant que membre du personnel de respecter les normes d'intégrité les plus élevées qui incluent le jeu avec l'honnêteté. Dans ses soumissions, elle a fait valoir qu'elle avait agi honnêtement et avec honnêteté. Elle a donné des raisons pour lesquelles elle pensait pouvoir utiliser les actifs de l'organisation pour un bénéfice personnel. Le tribunal a constaté que les justifications du demandeur n’étaient étayées par aucune règle ou règlement. Elle a agi malhonnête dans la violation des normes d'intégrité en utilisant l'installation UPS...

L'affaire a été décidée par un banc de trois juges. La majorité a décidé de rejeter la demande avec un juge dissident. Selon la création des faits de l'affaire, la majorité a conclu que l'intimé avait justifié des preuves claires et convaincantes la base factuelle de la décision contestée. En ce qui concerne l'inconduite, la majorité a soutenu que l'acte de forcer les rapports sexuels, par le requérant sur le plaignant - (c'est-à-dire le viol), équivalait à des abus sexuels sous une forme grave et, en tant que tel, constituait une fausse inconduite prescrite par le règlement 10.1 du personnel...

L’administration a versé la rémunération ordonnée par UNDT et le Secrétaire général a par la suite déposé sa décision croisée de l’UND de l’UNT d’accorder une rémunération. Unat a jugé qu'en payant l'indemnisation ordonnée, le Secrétaire général a accepté le jugement de l'UND et que son attitude croisée était donc sans but.

Dans son appel, l'appelant a soutenu que l'organisation lui devait une obligation de diligence à la suite des actions de ses représentants. Unat a noté que l'appelant n'avait produit aucune preuve que la blessure invoquée était le résultat d'une négligence ou d'une fraude causée par un acte ou une omission spécifique de l'ONU ou de l'un de ses représentants, ou du fait que l'organisation était au courant de la fraude avant aux allégations de l'appelant. Unat a jugé que la demande de dommages-intérêts de l'appelant ne pouvait pas être divertie car il n'y avait pas de lien entre la fraude et l...