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UNAT a considéré les appels du Secrétaire général contre les décisions de l'UNT ordonnant la suspension des décisions contestées au-delà de la date limite pour l'évaluation de la direction. UNAT a précisé que, en général, seul l'appel contre les jugements finaux serait à recevoir, car sinon, les affaires se poursuivraient rarement si l'une ou l'autre des parties n'était pas satisfaite d'une décision procédurale. L'article 2.2 de la loi UNDT autorise l'UND à ordonner la suspension d'une décision contestée uniquement «pendant la durée de l'évaluation de la gestion». Unat a constaté que UNDT...

Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucune preuve qui contredisait les conclusions de l'UNDT concernant l'abolition de son poste. UNAT a rappelé le large pouvoir discrétionnaire de l'UNDT pour déterminer l'admissibilité des preuves et le pouvoir discrétionnaire de l'UNDT pour décider si la présence de témoins est requise et de limiter les preuves orales. Unat a jugé que l'appelant n'a pas démontré que UNDT avait commis une erreur en refusant d'entendre les preuves proposées. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit en autorisant le témoignage à son audience qui n'a pas...

Le TANU a considéré un appel du Secrétaire général. Le TANU a rejeté la demande d'audience orale depuis que les questions de décision avaient été clairement définies par les soumissions des parties. Unat a soutenu que le secrétaire général n'avait pas réussi à persuader que le TCNU ait commis une erreur sur une question de fait entraînant une décision manifestement déraisonnable. Le TANU a jugé qu'il était correct de conclure que l'administration avait agi illégalement alors qu'elle n'a pas renouvelé la nomination du membre du personnel, car il n'y avait pas suffisamment de preuves pour...

Unat a jugé qu'un membre du personnel ne pouvait pas prolonger la date limite statutaire en appel en déposant des requêtes après jugement. Unat a noté que pour tenir autrement, les parties permettraient de fixer leurs propres délais pour l'appel d'un jugement UND et saper la nature obligatoire de la date limite statutaire à l'article 7.1 (c) de la loi Unat. UNAT a rejeté l'appel comme un délai de temps.

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'administration n'avait pas fourni de justification liée à la performance à sa décision de ne pas renouveler la nomination à durée déterminée de M. NCube. Unat a jugé que la décision de ne pas renouveler la nomination de M. Ncube devait être maintenue malgré le fait que ses e-PAS souffraient d'irrégularités procédurales car elle ne considérait pas que les défauts rendent l'évaluation illégale ou déraisonnable. Unat a considéré que la décision de ne pas renouveler la nomination était...

Inscrit en désaccord avec UNDT et a constaté que la procédure établie dans les réglementations et les règles du personnel n'a pas été correctement suivie, car telle l'exclusion par le Secrétaire général du membre du personnel du processus de sélection n'était pas légale, rationnelle, correcte de manière procédurale ou proportionnée. Unat a d'abord jugé que UNDT avait commis une erreur lorsqu'il a jugé que l'e-mail d'invitation respecté l'exigence d'avance à l'avance. UNAT a estimé que le jour de l'événement (la réception de l'e-mail) ne peut pas être compté dans le calcul du nombre de jours...

La décision de ne pas renouveler le contrat du demandeur était une prima facie illégale car elle semblait être en violation des règles de l'organisation et en violation des normes juridiques internationales relatives à une procédure régulière. Sur la question de l'urgence, le requérant avait été informé que son contrat serait résilié le 3 septembre 2009. Nonobstant qu'il aurait été convenu que le contrat serait prolongé après le 3 septembre 2009, l'affaire était toujours urgente parce que ce n'était pas la Première fois que cette stratégie particulière avait été utilisée par l'intimé envers le...

UNDT/2009/093, Syed

Dans la présente affaire, le requérant, qui a été informé par OSLA, que son cas manquait de mérite légal et qui pouvait néanmoins être représenté par un avocat de son choix devant le tribunal, ne peut pas affirmer que ses droits à une procédure régulière ont été violés. Le tribunal réitère qu'une nomination à durée déterminée ne comporte aucune espérance de renouvellement. Cependant, le juge doit examiner si les actions de l'administration peuvent avoir créé une attente légitime de renouvellement et si la décision de ne pas renouveler la nomination était motivée par des facteurs étrangers. En...

Conclusion sur la durée de la suspension: «La durée de la suspension doit être décidée par le tribunal en fonction de la nature et des circonstances de l'affaire et la présente discrétion du tribunal ne peut et ne doit pas être soumise à aucune forme de contrôle par l'administration ». La décision a ordonné le 1er septembre 2009 que la suspension de la décision contestée de résilier l'emploi du demandeur le 3 septembre 2009 resterait en vigue son salaire à partir de la date de la commande.