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BANUS

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Le demandeur n'avait pas de position pour contester la modalité d'un autre processus de recrutement. En l'absence d'une décision administrative révisable, la demande n'était pas à recevoir en ce qui concerne la réclamation principale. Comme l'administration a agi dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire, la rémunération n'était pas due.

Le tribunal a constaté que le demandeur n'avait jamais fait appel ou demande à l'ABCC pour réexaminer la décision conçue conformément à l'art. 17 a) de l'ancien annexe D et que la demande n'était donc pas à recevoir ratione materiae sur ce décompte. Le Tribunal a conclu que, puisque le courrier électronique du 6 février 2019 n'était pas un appel / demande de réexamen de la décision de l'intimé, la seule décision contestable était datée du 15 janvier 2019. Le demandeur avait 30 jours pour contester cette décision en déposant une demande de réexamen conformément à l'art. 17 (a) De l'ancien...

Il n'y avait aucune indication expresse que le jugement de la 11e Circuit Circuit Court était exécutable lors de la publication, la question n'a pas non plus été étudiée par l'administration dans la procédure menant à la décision contestée. Les documents pertinents se concentrent plutôt sur la finalité, apparemment présumée du titre «Jugement final de dissolution du mariage». Le titre n'aurait pas dû être invoqué. La décision contestée n'était pas fondée sur une ordonnance du tribunal dont le caractère exécutoire était sans équivoque. Le tribunal n'a trouvé aucune indication du jugement par la...

Unat a jugé que la demande d'évaluation de la gestion était une première étape obligatoire. UNAT a constaté que les formulaires d'action du personnel ne pouvaient pas être interprétés comme informant adéquatement l'appelant de la décision administrative pertinente de traiter sa retraite et sa séparation du service. Unat a jugé que le mémorandum qui donnait des instructions relatives à la séparation de l'appelant du service et du rapatriement à son pays d'origine a déclenché le délai de recherche d'évaluation de la direction. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas demandé d'évaluation de la...

UNAT a considéré la demande d'interprétation de M. Newland du jugement n ° 2018-UNAT-820. Unat a jugé que, étant donné que M. Newland avait déjà reçu une allocation de poste spéciale, la rémunération des risques et les intérêts en suspens, les seules questions nécessitant une détermination étaient de savoir s'il avait droit au paiement du repos et de la récupération (R&R), des billets gratuits et de la subvention de relocalisation . UNAT a accepté qu'il y avait un certain degré d'incertitude concernant ces questions. Unat a jugé que la réclamation de M. Newland selon laquelle il avait droit au...

UNAT a rejeté l'appel, le jugeant non créable. Le Tribunal a expliqué que les décisions de l'UNT sur les demandes de suspension de l'action ne sont pas soumises à l'appel, conformément à l'article 2, paragraphe 2, de la loi UNDT. Le Tribunal a également noté que cette affaire n'était pas relevée des exceptions étroites lorsque des appels contre les ordonnances interlocutoires sont autorisés, c'est-à-dire lorsqu'il est allégué que l'UNDT a dépassé sa compétence ou sa juridiction. Unat n'a trouvé aucun excès de compétence en l'espèce et a donc jugé l'appel irrécouvrable.

Le requérant a soutenu que ses enquêtes «informelles» initiales sur un éventuel examen de son âge de retraite n'en avaient commencé qu'en juillet 2016 et que sa première requête officielle de la date n'était qu'au 13 août 2016. Il était difficile d'imaginer pourquoi le demandeur n'a jamais pensé Pour interroger la position applicable, ou chercher à avoir l'âge de retraite obligatoire à l'égard de lui-même, jusqu'à cinq mois avant qu'il ne devait prendre sa retraite. En effet, le requérant n'avait même pas cherché à contester aucune des soumissions de l'intimé sur la créance. Alors que le...

Le tribunal a soutenu que la demande était théorique. Au moment où le tribunal a rendu le jugement, l'ABCC avait déjà rendu sa décision et accordé les réclamations du demandeur. En conséquence, la demande n'a pas été trouvée.

Le Tribunal a jugé que seule la décision du 10 août 2016 contrôlait parce qu'elle a informé le demandeur en termes incertains que sa nomination P-4 allait être annulée. Il a demandé l'évaluation de la direction le 7 octobre 2016, qui était bien dans le délai de 60 jours énoncé dans les règles du personnel 11.2 (a) et 11.2 (c). Cette réclamation était donc à recevoir. La révocation de la nomination du demandeur ab initio était disproportionnée et donc illégale. La reprise des émoluments payants du demandeur était en conséquence sans base. Le refus de payer les prestations du demandeur se...