Le Tribunal a constaté que la demande dans la mesure où elle était liée à un courriel du 26 septembre 2019 n'était pas à recevoir Ratione Materiae parce que cette décision n'était pas définitive. Il n'a pas produit d'impact juridique direct sur le statut juridique du demandeur ni n'a eu un effet juridique sur ses conditions de nomination ou de contrat d'emploi. La décision juridique applicable était une circulaire datée du 18 octobre 2019. Cette circulaire a confirmé au demandeur qu'il n'avait été sélectionné pour aucun des postes pour lesquels il avait postulé en 2019. Le tribunal a trouvé la...
Compétence / recevabilité (TCNU ou première instance)
La décision de l’administration de redéployer le demandeur à Nairobi a été soumise à la condition qu’il soit médicalement autorisé. Cette condition n'a pas été remplie à ce jour et, par conséquent, la décision n'a pas été mise en œuvre. Par conséquent, aucune des décisions administratives contestées n'a donné de conséquences juridiques directes dans les conditions de nomination du demandeur, qui restent inchangées. Les applications sont donc une ratione materiae non réceptable. Le demandeur a fait appel de cette décision administrative devant le Tribunal avant la date limite de MEU pour...
Le tribunal a constaté que le demandeur avait déposé la demande sans attendre de réponse à sa demande d'évaluation de la gestion. Compte tenu de cela, le Tribunal a constaté que la demande non à recevoir et l'a rejetée.
L'e-mail identifié par le demandeur comme la décision administrative contestée ne constitue pas une nouvelle décision mais un simple retraitement d'un e-mail précédent. Il ne peut donc pas être envisagé de produire des conséquences sur l'ordonnance juridique et n'est donc pas une décision administrative contestable. Le demandeur n'a pas contesté l'affectation de ses fonctions actuelles lorsqu'il lui est notifié. Par conséquent, la requérante serait interdite de contester à ce stade que cette affectation était en non-respect de ses droits contractuels ou conditions d'emploi.
La décision attaquée n’a pas produit de conséquence juridique directe sur les conditions de nomination du demandeur ou son contrat d’emploi, car il avait un ALE qui ne portait aucune espérance, légal ou autre, de renouvellement ou de conversion, quelle que soit la durée de service. Le tribunal a jugé que l'affirmation du requérant selon laquelle il avait l'attente légitime d'un renouvellement de contrat de deux ans, comme c'était généralement le cas, passait à l'encontre de la jurisprudence claire et cohérente du tribunal d'appel que le renouvellement de la nomination d'un membre du personnel...
La décision attaquée n’a pas produit de conséquence juridique directe sur les conditions de nomination du demandeur ou son contrat d’emploi, car il avait un ALE qui ne portait aucune espérance, légal ou autre, de renouvellement ou de conversion, quelle que soit la durée de service. Le tribunal a jugé que l'affirmation du requérant selon laquelle il avait l'attente légitime d'un renouvellement de contrat de deux ans, comme c'était généralement le cas, passait à l'encontre de la jurisprudence claire et cohérente du tribunal d'appel que le renouvellement de la nomination d'un membre du personnel...
Le tribunal a conclu que, alors que les SUSS avaient appelé le demandeur à se conformer à l'ordonnance du tribunal en vertu de la sanction des déductions, en fait, aucune déduction n'a été décidé ou effectué. Les actions des SUSS n'étaient que préfatriées. Le Tribunal a donc jugé que la demande n'était pas à recevoir de décision administrative révisable. La demande a été rejetée.
La requérante n'a pas prouvé que des circonstances exceptionnelles indépendantes de sa volonté l'ont empêchée de déposer la demande à temps. La demande d’anonymat du demandeur est accordée pour garantir la protection des informations médicales discutées dans l’affaire. Lié
Précision Les demandes ont été trouvées à recevoir pour les raisons suivantes: 1) La règle 11.2 (a) du personnel avait été observée parce que les demandeurs ont demandé une évaluation de la gestion à temps. 2) Les décisions administratives individuelles, à savoir appliquer le nouvel ajustement post-ajustement par rapport aux requérants, avaient été émises et mises en œuvre, comme l'ont démontré leurs bordereaux de salaire de février 2018. 3) L'allocation de transition n'était pas un acte pré-préfère, mais un corollaire à l'abaissement d'un composant salarial. 4) Le Tribunal a rejeté la demande...
Précision Les demandes ont été trouvées à recevoir pour les raisons suivantes: 1) La règle 11.2 (a) du personnel avait été observée parce que les demandeurs ont demandé une évaluation de la gestion à temps. 2) Les décisions administratives individuelles, à savoir appliquer le nouvel ajustement post-ajustement par rapport aux requérants, avaient été émises et mises en œuvre, comme l'ont démontré leurs bordereaux de salaire de février 2018. 3) L'allocation de transition n'était pas un acte pré-préfère, mais un corollaire à l'abaissement d'un composant salarial. 4) Le Tribunal a rejeté la demande...