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Cessation de service

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UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. Unat a jugé que, en l'espèce, UNDT n'avait enregistré aucune raison de juger qu'il s'agissait en effet d'un cas exceptionnel, justifiant une attribution supérieure à deux ans de salaire de base nette. Unat a jugé que l'attribution d'un salaire total payable entre la séparation et la date du jugement de l'UND avait été lourde d'ambiguïté et d'incertitude, car le membre du personnel aurait pu être séparé du service pour d'autres motifs non disciplinaires. Unat a jugé qu'il serait adéquat, juste et raisonnable d'accorder une compensation au lieu de...

Unat a considéré un appel du Secrétaire général limité au montant de l'indemnisation. Unat a jugé que, en l'espèce, UNDT n'avait enregistré aucune raison de juger qu'il s'agissait en effet d'un cas exceptionnel, justifiant une attribution supérieure à deux ans de salaire de base nette. Unat a jugé que l'attribution d'un salaire total payable entre la séparation et la date du jugement de l'UND avait été lourde d'ambiguïté et d'incertitude, car le membre du personnel aurait pu être séparé du service pour d'autres motifs non disciplinaires. Unat a jugé qu'il serait adéquat, juste et raisonnable d...

Unat a noté que l'examen par UNDT de la situation factuelle par nécessité impliquait la prise en compte des problèmes au-delà du simple fait de la non-renouvellement du contrat de l'appelant et, par conséquent, n'a trouvé aucun mérite dans la soumission de l'appelant selon laquelle les délibérations de l'UNT sur la question du non-renouvellement ont pris Placer isolément les faits entourant la décision. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle UNDT n'a pas tenu compte de l'impact négatif de la non-renouvellement de sa vie personnelle et professionnelle, UNAT n'a trouvé...

Unat considérait l'appel de l'appelant. Unat a noté que, contrairement à l'affirmation de l'appelant, UNDT n'était pas tenu de déterminer si la fermeture du centre était une conséquence de la mauvaise gestion ou de tout autre facteur, car l'objectif principal n'était pas de se débarrasser de l'appelant. Unat a constaté que UNDT ne manquait pas d'exercer sa juridiction en ne déterminant pas si la fermeture du centre était le résultat d'une mauvaise gestion et d'irrégularités sérieuses. Unat a également constaté que l'appelant n'avait pas soumis une preuve suffisamment claire et convaincante que...

Unat a jugé que UNDT avait raison de conclure que la déclaration datée du 26 novembre 2003 n'était ni la décision de résilier la nomination de l'appelant ni une mesure disciplinaire. Unat a jugé que la déclaration n'était qu'un avis publié publiquement qui n'avait aucune conséquence juridique sur l'appelant qui, en plus d'avoir déjà été informé le 29 octobre 2003 que son contrat ne serait pas renouvelé au-delà du 30 novembre 2003, avait également déclaré qu'il ne pas être capable ou disposé à continuer à travailler pour l'ONUDC après l'expiration de son contrat. UNAT a donc rejeté l'appel et...

Unat a considéré l'appel de M. Al Sayyed et a constaté que la décision de mettre fin à son service, en vigueur de la fermeture du 15 décembre 2007, et comme lui a été communiquée le 30 novembre 2007, a été remplacée par l'action qu'il a prise le 4 décembre 2007, une action renforcée Par lui le 7 janvier 2008. Dans ces circonstances, Unat a jugé que l'UNRWA ne s'est pas commis en rejetant l'appel de M. Al Sayyed contre sa résiliation au motif qu'il n'y avait pas de décision de licenciement capable de réviser. UNAT a rejeté l'appel.

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que dans un tel cas, où les faits importants n'étaient pas contestés, aucune enquête supplémentaire n'était requise pour établir l'inconduite. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit en concluant que le processus d'enquête et disciplinaire n'avait pas été correctement mené et que les droits de la procédure régulière de M. Ainte avaient été violés par l'absence d'une enquête officielle. Unat a jugé que M. Ainte n'avait pas démontré que le secrétaire général avait échoué d'une autre manière pour observer ses droits à une...

Unat a considéré un appel du Secrétaire général limité à la question de l'indemnisation. Unat a jugé que l'appel devait être autorisé en partie parce que Undt a commis une erreur en fixant l'indemnisation au lieu de réintégration au salaire de base net de deux ans sans considérer que les nominations précédentes de M. Gakumba étaient d'un an chacune. Unat a jugé que l'espérance de renouvellement ne pouvait pas être fixée au-delà d'une telle période et a donc réduit l'indemnisation au salaire de base net d'un an. Unat a confirmé le jugement de l'UNT sur la rémunération des dommages-intérêts non...

UNAT n'a pas accepté l'argument selon lequel il n'y avait aucune preuve indiquant que l'appelant a reçu la lettre communiquant l'issue de l'évaluation de la direction le 14 juillet 2011, notant que l'UNT s'est appuyé sur la déclaration de l'appelant pour déterminer cette date. Unat a soutenu que l'appelant n'avait affiché aucune erreur de la part de UND. Unat a jugé que le secrétaire général a soutenu à juste titre que la date limite pour que l'appelant déposait une demande auprès de l'UNDT était le 12 octobre 2011, malgré toute ambiguïté quant à la réception d'évaluation de la direction et l...

Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé sur les questions de fait en ignorant ou en n'ayant pas examiné ce que l'appelant considérait comme des preuves, qui constituaient de simples allégations et une argumentation non fondée de sa part. Unat a soutenu que l'appelant n'avait soutenu sa soumission par aucun motif qui apporterait la question dans le cadre de l'UNAT. Notant que l'appelant s'est appuyé sur les déclarations et les observations qu'il avait amenées auparavant, Unat a noté que les allégations et les arguments passés d'un plaideur ne peuvent pas être considérés comme des preuves en...