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UNRWA Directives du personnel

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Le Tribunal d'appel a estimé, en ce qui concerne l'exclusion de M. Qasem de la considération pour le poste de chef intérimaire, que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur en estimant que la candidature de M. Qasem n'était pas recevable.Le Tribunal d'appel a toutefois estimé que, dans les circonstances de l'espèce, il était dans l'intérêt de l'économie judiciaire de réexaminer l'affaire sur le fond sans renvoi.Le Tribunal d'appel a estimé que si l'administration avait illégalement exclu la candidature de M. Qasem de l'examen, cette irrégularité n'avait eu aucune incidence sur la décision de...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

...

Le commissaire général a fait appel.

L'UNAT a estimé que dans la mesure où la décision de l'Agence du 25 avril 2019 rejetant la demande de SPOA n'aurait pas pu être sans équivoque, cette décision a été réitérée dans le courrier électronique du 17 juin 2019, ne laissant aucun doute sur le fait que l'Agence avait alors décidé de payer Mme Abou Salah une SPOA de 15 pour cent au lieu de 25 pour cent, peut-être en violation de son contrat. Le fait que d’autres personnes aient par la suite cherché à intervenir en sa faveur n’y change rien.

L’UNAT a estimé que la correspondance ultérieure de Mme...

L'UNAT a examiné un appel déposé par des membres du personnel de l'UNRWA. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait eu tort de conclure que les lettres de rappel n'étaient pas des réprimandes destinées à permettre aux appelants de contester le placement des lettres dans leurs dossiers officiels. En effet, un tel rappel ne peut pas être considéré comme une action neutre, mais plutôt comme un avertissement concernant un éventuel non-respect du cadre réglementaire de l’Agence. L’UNAT a constaté qu’aux yeux d’une personne moyenne, un tel rappel s’apparente indéniablement à une réprimande.

L'UNAT...

L'UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait conclu à juste titre que le décideur n'avait pas exercé correctement son pouvoir discrétionnaire, dans la mesure où l'Agence avait illégalement versé à Mme Jarallah une SPOA de 25 pour cent au lieu d'une SOA de 35 pour cent qui était stipulé dans son contrat. contrat d'embauche.

L'UNAT a constaté qu'il existait un contrat de travail valide et contraignant entre Mme Jarallah et l'Office. La description de poste contenue dans l'avis de vacance, faisant référence à la SOA de 35 pour cent...

L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait exercé à juste titre son large pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne sa gestion des dossiers en concluant que le dossier dont il disposait était suffisant pour rendre une décision sans audience. Elle a conclu que l'appelant n'avait présenté aucun motif expliquant pourquoi une audience aurait été nécessaire et n'avait donc pas démontré que la DT de l'UNRWA avait exercé son pouvoir discrétionnaire de manière à affecter l'issue de l'affaire, comme l'exige l'article 2( 1)(d) du Statut du Tribunal d’appel.

Concernant l'argument du recourant selon...

L'UNAT a estimé que l'appelante ne s'était pas acquittée de sa charge de travail et n'avait pas démontré que le DT de l'UNRWA avait commis l'une des erreurs décrites à l'article 2(1) du Statut de l'UNAT. Elle a conclu que l'Appelant avait relancé des arguments qui avaient échoué devant le Tribunal du contentieux administratif de l'UNRWA et avait exprimé son désaccord général avec le jugement attaqué. L’UNAT a estimé que la décision contestée constituait un exercice valide et licite du pouvoir discrétionnaire de l’Agence. Elle a constaté que l’Agence avait examiné et examiné la demande de...

M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire pour poursuivre le jugement sommaire légalement et de manière appropriée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a décidé que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir Ratione Materiae. UNAT a noté que l'affaire était presque identique à Oussama Abed & Eman Abed c. Commissaire général de l'Agence des Nations Unies pour Relief and Works pour les réfugiés palestiniens du Proche-Orient (jugement n ° 2022-UNAT-1297). Conformément à ce jugement, Unat a jugé que le placement d'une lettre rappelant à l...

Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas commis d'erreur de procédure, par exemple, pour affecter la décision de l'affaire conformément à l'article 2, paragraphe 1, de la loi UNAT. Unat a rejeté l'argument selon lequel le fait que l'appelant n'avait pas reçu les enregistrements de l'audience ou du transcrit a affecté la décision de l'affaire. Unat a soutenu que l'appelant a simplement répété les arguments soulevés avant Unrwa dt. Unat a accepté la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle l'appelant avait amplement l'occasion de répondre aux allégations et de faire des commentaires sur le rapport...