Judge Adda
Dans l¡¯¨¦valuation pr¨¦liminaire de la plainte, le responsable responsable a correctement examin¨¦ non seulement les all¨¦gations du demandeur, mais ¨¦galement les preuves qu¡¯il a fournies. Le responsable responsable (a) n'a trouv¨¦ aucun motif de croyance que le sujet de la plainte s'¨¦tait engag¨¦ dans une conduite insatisfaisante, et (b) a conclu que les preuves n'avaient pas r¨¦v¨¦l¨¦ de sch¨¦ma de harc¨¨lement. Aucune preuve n'a montr¨¦ que le pouvoir d'examiner la plainte avait ¨¦t¨¦ d¨¦l¨¦gu¨¦ ill¨¦galement ou toute autre irr¨¦gularit¨¦ proc¨¦durale. Bien que le fonctionnaire responsable ait pu mieux dire les...
La question soulev¨¦e dans la demande n'a pas ¨¦t¨¦ soumise pour l'¨¦valuation de la direction. La demande n'est pas ¨¤ recevoir. Li¨¦
Conform¨¦ment ¨¤ la r¨¨gle 9.6 (c) du personnel, le Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral peut licencier la nomination d'un membre du personnel qui, comme le demandeur, est titulaire d'une nomination continue conform¨¦ment aux termes de la nomination pour des ?services insatisfaisants?. Le Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral a d¨¦l¨¦gu¨¦ cette autorit¨¦ au sous-secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral de la direction (USG / DM) selon l'annexe IV sur la d¨¦l¨¦gation des autorit¨¦s des ressources humaines ¨¤ ST / SGB / 2019/2 concernant la d¨¦l¨¦gation de l'autorit¨¦ dans l'administration du personnel R¨¨glements et r¨¨gles (voir p. 21). Aucune exception ¨¤ cette...
La conduite du demandeur ¨¦tait en violation du r¨¨glement du personnel 1.2 (b) et de la r¨¨gle 1.2 (f) et constitue une faute. Le tribunal a constat¨¦ que la requ¨¦rante avait fait des efforts pour persuader son supervis¨¦ de renoncer ¨¤ la m¨¦diation pour r¨¦soudre leurs diff¨¦rends interpersonnels et a menac¨¦ que la m¨¦diation pourrait nuire ¨¤ la carri¨¨re de son supervise. En particulier, la requ¨¦rante a laiss¨¦ entendre que si son superviseur poursuivait la m¨¦diation, son superviseur se d¨¦velopperait une mauvaise r¨¦putation et que la m¨¦diation manquait de confidentialit¨¦. Le demandeur a en outre...
Le Tribunal rejette la demande comme non ¨¤ la cr¨¦ance. La d¨¦cision contest¨¦e de placer une note sur le dossier officiel du demandeur n'est pas une d¨¦cision administrative appelable car elle n'a pas de cons¨¦quences juridiques directes affectant les termes et conditions de sa nomination. Le demandeur devrait avoir demand¨¦ une ¨¦valuation de la gestion dans les 60 jours ¨¤ compter de la notification des d¨¦cisions contest¨¦es le 5 ao?t 2017, mais il a plut?t demand¨¦ une ¨¦valuation de la gestion le 3 novembre 2017, plus de 60 jours plus tard. Par cons¨¦quent, la demande n'est pas ¨¤ la cr¨¦ance comme...
Le dossier fourni au comit¨¦ d'examen central (CRB) ¨¦tait incomplet. Le tribunal constate donc que le r¨¦pondant n'a pas d¨¦montr¨¦ avec un minimum montrant que la candidature au poste de demandeur a ¨¦t¨¦ correctement ¨¦valu¨¦e par un CRB. L'intim¨¦ n'a pas d¨¦montr¨¦ avec un minimum montrant que le demandeur a re?u une notification en temps opportun que sa demande ¨¦choue. Le principe g¨¦n¨¦ral pr¨¦voit que les r¨¦ponses ¨¤ un test ¨¦crit doivent ¨ºtre not¨¦es sur une base anonyme pour accorder une attention compl¨¨te aux candidatures. La copie des membres d'un panel d'¨¦valuation dans une invitation par e-mail ¨¤...
Le tribunal a constat¨¦ que la demande, dans la mesure o¨´ elle conteste la d¨¦cision du SPA et la d¨¦cision de reclassement, n'est pas ¨¤ recevoir. Le demandeur a soumis sa demande de spa trois ans trop tard, par cons¨¦quent, sa demande est temps. Comme le demandeur n'a jamais demand¨¦ de reclassement, il n'y a pas de d¨¦cision administrative finale concernant le reclassement. Sans une d¨¦cision administrative finale concernant la classification, le tribunal des diff¨¦rends manque de comp¨¦tence pour juger la d¨¦cision de reclassification. Le tribunal a constat¨¦ que la d¨¦cision TORS ¨¦tait l¨¦gale au motif...
Le demandeur n'est plus int¨¦ress¨¦ par la poursuite et l'issue de ces proc¨¦dures judiciaires, qui doivent donc ¨ºtre r¨¦put¨¦es abandonn¨¦es, et cette affaire devrait donc ¨ºtre rejet¨¦e faute de poursuites.
Le tribunal constate que les motivations du demandeur pour accepter sa nomination au P-3 Post n¡¯ont aucune incidence sur la l¨¦galit¨¦ de la d¨¦cision. Le demandeur a ¨¦t¨¦ averti avant son droit de demander d'autres postes vacants, et il a volontairement d¨¦cid¨¦ de demander un poste de niveau inf¨¦rieur. Le demandeur, apr¨¨s s¨¦lection pour le P-3, a ¨¦t¨¦ averti qu'il serait nomm¨¦ au niveau P-3, quelle que soit la note du poste qu'il avait gard¨¦ ¨¤ l'¨¦poque. Cette ligne de conduite ¨¦tait ouverte ¨¤ l'organisation en vertu de la politique de dotation de l'UNFPA. Le demandeur a ensuite accept¨¦ cette...
Le tribunal conclut que la d¨¦cision contest¨¦e, l¨¦gale ou non, ne r¨¦sulte pas d'un processus disciplinaire et n'est donc pas exempt¨¦e de l'¨¦valuation de la gestion. En cons¨¦quence, dans l'application de la r¨¨gle 11.2 du personnel, le demandeur aurait d? demander une ¨¦valuation de la direction avant de d¨¦poser son appel devant ce tribunal. N'ayant pas r¨¦ussi ¨¤ le faire, la demande n'est pas ¨¤ recevoir ratione materiae.
La requ¨¦rante a ¨¦t¨¦ sanctionn¨¦e pour: (a) une mauvaise utilisation des ressources des TIC de l¡¯UNICEF et (b) le harc¨¨lement et l¡¯abus d¡¯autorit¨¦ en relation avec son traitement de certains employ¨¦s de vendeurs. Que les faits sur lesquels la mesure disciplinaire ¨¦tait fond¨¦e ont ¨¦t¨¦ ¨¦tablies depuis que le demandeur ne conteste pas les faits sous-jacents de la premi¨¨re accusation (acc¨¨s aux ressources des TIC du personnel ancienne), le tribunal constate que ces faits ont ¨¦t¨¦ ¨¦tablis selon la norme requise . En ce qui concerne la deuxi¨¨me accusation, le tribunal constate que les preuves...
?tant donn¨¦ que le demandeur dans ce cas est s¨¦par¨¦, il ne peut plus ¨ºtre r¨¦affect¨¦, comme il le demande. L'application est donc th¨¦orique.
L'audit de l'IOO, en effet, n'avait pas le caract¨¨re d'une enqu¨ºte disciplinaire sur les ¨¦ventuels actes r¨¦pr¨¦hensibles, y compris l'inconduite, du demandeur. Au contraire, comme le soutient le requ¨¦rant, il semble qu'aucun processus disciplinaire ne soit entrepris. Par cons¨¦quent, le demandeur n'a re?u aucune des garanties de proc¨¦dure obligatoires d¨¦crites au PAR. 35 (a) - (c) du jugement, ¨¤ savoir (a) le droit d'¨ºtre inform¨¦ de l'all¨¦gation d'inconduite, (b) le droit de commenter alors, et c) le droit d'¨ºtre repr¨¦sent¨¦ ¨ºtre un avocat devant le La d¨¦cision d'inconduite a ¨¦t¨¦ prise et la...
Le demandeur n¡¯a pas droit ¨¤ l¡¯acceptation g¨¦n¨¦rale de l¡¯administration de son compte rendu des ¨¦v¨¦nements, ni ¨¤ l¡¯imposition de sanctions contre un autre membre du personnel sans proc¨¦dure r¨¦guli¨¨re. La demande n'est donc pas ¨¤ recevoir ratione materiae.
Aucune des parties n¡¯a cess¨¦ - ¨¤ droite - a d¨¦clar¨¦ les conclusions du Tribunal des appels ¨¤ Al Shakour que le Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral des Nations Unies ¨¦tait li¨¦ par l¡¯approbation et l¡¯adoption de l¡¯Assembl¨¦e g¨¦n¨¦rale de la d¨¦termination de l¡¯ICSC concernant la post-ajustement du personnel des Nations Unies ¨¤ Gen¨¨ve. Ce faisant, le Tribunal note en outre que, comme ¨¦tant pertinent pour la pr¨¦sente affaire et ¨¤ la suite d'Al Shakour, l'Assembl¨¦e g¨¦n¨¦rale n'a fourni aucune alternative pour le Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral des Nations Unies sur la fa?on de calculer le paiement post-ajustement concern¨¦ qu'en...
Le demandeur ne peut pr¨¦tendre que l'administration avait lanc¨¦ un processus disciplinaire contre elle. Le demandeur n'avait pas le droit de forcer l'administration ¨¤ terminer un processus disciplinaire contre elle. L'administration a d¨¦cid¨¦ de suspendre l'examen de l'initiation d'un processus disciplinaire par rapport au demandeur si elle ¨¦tait employ¨¦e avec l'organisation ¨¤ l'avenir. Par cons¨¦quent, comme dans Kennes, les droits de la proc¨¦dure r¨¦guli¨¨re du demandeur n¡¯ont pas ¨¦t¨¦ viol¨¦s. La note plac¨¦e dans le dossier officiel du demandeur est simplement de nature informative et n'a donc...
Le demandeur n'a pas fait appel d'une d¨¦cision administrative finale portant des effets juridiques directs. La demande n'¨¦tait donc pas ¨¤ recevoir ratione materiae. Les d¨¦cisions contest¨¦es n'avaient pas de lien avec l'ancien emploi du demandeur avec l'organisation, la demande n'¨¦tait donc pas ¨¤ recevoir Ratione Personae.
Le Tribunal reconna?t que la date limite de 120 jours pour que l'OIOS termine une enqu¨ºte de repr¨¦sailles n'est pas obligatoire. Cependant, le tribunal est d'avis qu'un d¨¦part de cette date limite doit ¨ºtre juste. Compte tenu des circonstances de l'affaire, m¨ºme si la date limite de 120 jours pour effectuer une enqu¨ºte de repr¨¦sailles n'est pas obligatoire, le tribunal ne peut que conclure que les retards et les tentatives injustifi¨¦es de suspendre ou de mettre fin ¨¤ l'enqu¨ºte dans cette affaire constituent une violation flagrante de ST / SGB ??/ 2017/2 / Rev.1. En ne lan?ant pas son enqu¨ºte...
La d¨¦cision contest¨¦e ayant ¨¦t¨¦ annul¨¦e par l'administration n'¨¦tait donc pas une d¨¦cision administrative finale capable de revoir par ce tribunal, qui, par cons¨¦quent, ne peut faire aucune d¨¦claration quant ¨¤ sa l¨¦galit¨¦ ou quant ¨¤ tout effet qu'il aurait pu provoquer. L¡¯affirmation du requ¨¦rant selon laquelle l¡¯annulation de la d¨¦cision contest¨¦e constitue l¡¯admission de son ill¨¦galit¨¦ est sans fondement. La demande n'est donc pas ¨¤ recevoir ratione materiae. Le tribunal note que dans ce cas, le demandeur ne demande aucun abus de la proc¨¦dure actuelle, et le tribunal n'observe aucun abus de...
Le tribunal rappelle qu'il existe une proc¨¦dure pour contester les d¨¦cisions administratives qu'un membre du personnel juge en violation de ses droits contractuels. Le demandeur, qui est repr¨¦sent¨¦ par un avocat professionnel, ne peut pas contourner les proc¨¦dures applicables pour introduire indirectement des d¨¦cisions, qui n'ont pas ¨¦t¨¦ contest¨¦es en temps opportun, dans ces proc¨¦dures pour affirmer qu'ils font partie d'un mod¨¨le d'abus contre elle. Autoriser cette tactique entra?nerait un bouleversement de l'ordonnance juridique administrative de l'organisation. Le tribunal note que le...