Le tribunal a pris note du fait que l'évaluation de la direction a été achevée le 29 septembre 2011, rendant ainsi la demande de suspension d'action déposée le 28 septembre 2011. La demande de suspension d'action a ainsi été rejetée.
Suspension de l'action / mesures provisoires
UNDT a jugé que la demande ne répondait pas au test comme indiqué à l'article 2.2 de la loi UNDT, notant spécifiquement qu'il n'avait pas répondu aux exigences de dommages irréparables et d'urgence particulière. UND ne le considérait donc pas inutile de déterminer la question de l'illumidité prima facie.
La décision de résilier le contrat du demandeur a été prise au niveau de la mission, sans l'autorité déléguée requise par ST / AI / 234 et a donc été illégale. L'approbation post-facto de la décision par l'ASG / OHRM ne guérit pas l'illustration. par tout règlement du personnel, les règles du personnel ou tout principe connu d'un contrat de travail. La résiliation de la nomination du demandeur à la suite de la liquidation des UNMIS ne remet pas en question son intégrité, n'affecte sa réputation ni n'affecte ses perspectives de carrière avec les futurs employeurs. Tout dommage qui pourrait...
La décision de résilier le contrat du demandeur a été prise au niveau de la mission, sans l'autorité déléguée requise par ST / AI / 234 et a donc été illégale. L'approbation post-facto de la décision par l'ASG / OHRM ne guérit pas l'illumination. L’action du Secrétaire général de conclure un contrat d’emploi auprès du demandeur pour la raison d’obtenir des indemnités de licenciement pour le demandeur ne semble pas être étayée par un règlement du personnel, des règles du personnel ou des principes connus d’un contrat de travail. La résiliation de la nomination du demandeur à la suite de la...
Le demandeur n'a pas été contesté que ce qu'il a contesté n'était pas une décision qui a été prise. Il a plutôt contesté une décision possible (pour l'obliger à faire une pause en service) qui serait très probablement prise par le bureau des Nations Unies à Genève. Le tribunal a estimé qu'aucune décision n'avait été prise au moment où le demandeur avait déposé sa demande. Par conséquent, l'application a été jugée irrécouvrable.
Le tribunal a constaté que la décision contestée ne semblait pas prima facie illégale et a rejeté la demande.
Le tribunal a constaté que la décision contestée ne semblait pas prima facie illégale et a rejeté la demande.
L’intimé semblait avoir une bonne raison d’annuler le congé du demandeur. Cela ayant été dit, cependant, la manière dont le demandeur a été informé de cette décision aurait pu être fait de bien meilleur. Compte tenu du fait que le superviseur du demandeur n’avait que trois jours plus tôt, le 9 août 2011, approuvé son congé, sa directive en une ligne annulant le congé du demandeur était non seulement insensible et dédaigneuse mais la plus insensible. Cette lacune managériale ne rend pas en soi la décision prima facie illégale. Bien que des préjudices soient causés au demandeur dans la...
Le tribunal a rappelé que le fardeau de la preuve incombait au demandeur et qu'il n'y ait rien à enregistrer pour montrer que la décision contestée a été prise au motif de motifs inappropriés contre le demandeur. Au contraire, il a constaté que OCHA avait agi de bonne foi.
Une demande de suspension de l'action est de la nature d'une injonction, dont le but est de maintenir le statu quo entre les parties jusqu'à ce que l'ordre s'allume. L'article 10 de la loi UNDT déclare en des termes incertains qu'il n'y a pas d'appel contre une telle ordonnance. Le tribunal a déclaré que le Tribunal des appels des Nations Unies («Unat») avait ouvert la porte à un appel contre une décision de suspension de l'action («SOA») en déclarant que l'interdiction d'un appel de la SOA contre une décision était une exception. Unat signifiait ainsi qu'il serait laissé à la discrétion de l...