Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en droit ou en fait en concluant que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir en ce qu'elle n'a pas identifié de décision administrative au sens de l'article 2 (1) (a) de la loi UNDT. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Standard de la preuve
Unat a jugé que les faits incontestés, la preuve d'un rapport crédible, des preuves de ouï-dire cohérentes pointant vers un modèle de comportement, la cohérence des déclarations des témoins, l'énoncé insatisfaisant du membre du personnel et les probabilités inhérentes à la situation, prises de manière cumulative, constitué une concaténation claire et convaincante des preuves établissant, avec un degré élevé de probabilité, que l'inconduite présumée se produisait en fait. Unat a noté que l'organisation a droit et obligé de poursuivre une approche grave du harcèlement sexuel et que le message...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que le Secrétaire général avait rendu son fardeau pour établir les faits d'inconduite par des preuves claires et convaincantes concernant toutes les allégations d'actes répréhensibles concernant les subventions d'éducation spéciale. Unat a jugé que les preuves avaient prouvé non seulement la fraude sous la forme d'une fausse comptabilité, mais aussi l'édignation de documents forgés et falsifiés à l'organisation. Unat a jugé que le comportement du membre du personnel constituait de graves inconduites par lesquelles elle s’enrichit d...
Unat a soutenu que UNDT avait raison de ne pas conclure que l'appelant avait initié le combat physique. Unat a jugé que UNDT avait le droit de conclure que la preuve d'un témoin n'était pas claire et convaincante, compte tenu des incohérences. Unat a jugé que UNDT a correctement déterminé qu'une altercation préalable ne pouvait pas fournir de preuves de propension pour corroborer les comptes des témoins sur la lutte physique parce que l'altercation préalable n'a pas été étudiée correctement. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'appelant avait été indûment influencé...
Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune difficulté en principe concernant l'admissibilité de la conversation secrètement enregistrée en fonction de la façon dont elle a été achetée, même si elle a pu impliquer un élément de piégeage; Cependant, l'UNAT craignait que la valeur probante des preuves ne dépendait de la crédibilité d'une personne qui n'a pas témoigné devant l'UNDT. Unat a noté que le contenu des e-mails contemporains qui soutenait la transcription de la conversation téléphonique est resté du ouï-dire à moins qu'il ne soit confirmé par les auteurs ou les destinataires des e-mails et qu...
Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...
Commençant par la présomption que les actes officiels sont régulièrement accomplis, Unat a convenu que l'administration a agi conformément aux règlements et aux règles du personnel lorsqu'il a invité trois candidats à la liste pour un entretien informel et a fait une sélection finale de la liste. Étant donné que la présomption de régularité a été satisfaite, la charge de la preuve s'est déplacée sur le membre du personnel qui doit démontrer qu'il n'a pas été pris en considération équitable et adéquate. Ceci, le membre du personnel n'a pas fait. Unat a également convenu avec l'UNDT que le...
Le membre du personnel a fait appel à Unat Discusaning, entre autres, il n'y avait aucune preuve claire et convaincante dans le dossier montrant qu'il était conscient qu'il faisait l'objet d'une enquête au moment où il a postulé au poste de l'UNICEF. L'UNAT a déterminé que la lettre du conseiller juridique de l'OIM (un représentant autorisé d'une agence au sein du système des Nations Unies) a joui du statut de «loi officielle» et, en tant que tel, «la présomption de régularité». Le tribunal a constaté qu'une fois ces preuves produites, il incombait au membre du personnel de le réfuter, ce qu...
UNAT a rejeté l’appel du Secrétaire général et a accordé en partie l’appel du membre du personnel. Unat a constaté que l'UNDT ait correctement pris en compte plusieurs faits qui étaient pertinents pour déterminer s'il y avait eu une exploitation sexuelle et une abus de vulnérabilité ou de confiance. Le tribunal a estimé que le fardeau de l’administration devait montrer des preuves claires et convaincantes que la conduite du membre du personnel est tombée dans l’une des cinq catégories suivantes: (i) il a abusé d'un poste de vulnérabilité à des fins sexuelles; (ii) il a abusé d'une position de...
Unat a convenu avec undt et a constaté que les preuves du dossier soutient la conclusion de l'UNDT que l'absence du membre du personnel du 18 janvier 2017 au 26 juillet 2018 n'a pas été non autorisée, car elle n'a pas fourni de certificat médical dûment autorisé ou autre justification de son incapacité à signaler travailler. Unat a également constaté que le refus de la Division des services médicaux (MSD) pour certifier la demande de congé de maladie du membre du personnel après le 18 janvier 2017 était raisonnable et que le MSD était l'organisme technique compétent pour évaluer les...