Les décisions contestées contestées en considérant les soumissions des demandeurs dans leur ensemble, les décisions contestées doivent être identifiées comme des décisions du Secrétaire général, dans la mise en œuvre de l'échelle de salaire unifiée, pour convertir une partie des salaires des demandeurs en une allocation distincte. Les candidats ne contestent pas la résolution de l’Assemblée générale adoptant l’échelle salariale unifiée comme mesure de la demande générale. Que les décisions contestées constituent des décisions administratives dans l'interprétation de sa juridiction, le tribunal...
Salaire
Les décisions contestées contestées en considérant les soumissions des demandeurs dans leur ensemble, les décisions contestées doivent être identifiées comme des décisions du Secrétaire général, dans la mise en œuvre de l'échelle de salaire unifiée, pour convertir une partie des salaires des demandeurs en une allocation distincte. Les candidats ne contestent pas la résolution de l’Assemblée générale adoptant l’échelle salariale unifiée comme mesure de la demande générale. Que les décisions contestées constituent des décisions administratives dans l'interprétation de sa juridiction, le tribunal...
Les décisions contestées contestées en considérant les soumissions des demandeurs dans leur ensemble, les décisions contestées doivent être identifiées comme des décisions du Secrétaire général, dans la mise en œuvre de l'échelle de salaire unifiée, pour convertir une partie des salaires des demandeurs en une allocation distincte. Les candidats ne contestent pas la résolution de l’Assemblée générale adoptant l’échelle salariale unifiée comme mesure de la demande générale. Que les décisions contestées constituent des décisions administratives dans l'interprétation de sa juridiction, le tribunal...
Bien que le paiement éventuel des arriérés mettent fin à la violation en cours par l'administration, il n'a pas effacé le non-paie la période de deux ans. Le tribunal a constaté que la durée de la brèche et son caractère continu étaient, par une expérience, extrêmement, extrême. Cela a été combiné avec l'obscurité de sa cause, c'est-à -dire «problème technique avec le financement» qui est resté inexpliqué. Raisonnablement, un problème de financement du poste aurait dû empêcher le déploiement en premier lieu ou aurait dû être résolu plus tôt. Aucune explication n'a été expliquée sur la raison...
Le tribunal a jugé que les gestionnaires concernés agissaient conformément aux obligations qui leur sont imposées par les articles 9 et 10 de ST / AI / 400. Étant donné que le demandeur s'est absenté du travail dans le secteur est sans autorisation appropriée et n'a pas tenu compte des conseils et des demandes qui lui ont été envoyés, l'organisation n'a pas agi illégalement en prenant des mesures pour le placer sur Slwop. De plus, il était légal pour l'organisation de prendre des mesures pour récupérer les paiements effectués à l'avance en ce qui concerne la subvention de l'éducation et les...
Le tribunal a conclu que l'intimé n'avait pas informé le demandeur du trop-payé et que cet échec était une violation de son obligation en vertu de l'article 2.3 de ST / AI / 2009/1. Bien que le demandeur n'ait pas signalé le trop-payé, le tribunal a constaté qu'il n'était pas négligent dans son devoir de se présenter parce qu'il avait été pris dans une situation de sécurité périlleuse au moment où il a reçu son bordereau à la fin de novembre 2015, ce qui pourrait avoir Cela l'a amené à ne pas conseiller l'intimé du trop-payé. Le Tribunal a en outre noté que ST / AI / 2009/1 ne rend pas l...
En l'absence de tout point de droit discutable et compte tenu des décisions contraignantes du tribunal d'appel dans Lloret-Alcaniz et al. 2018-UNAT-840, Quijano-Evans et al. 2018-UNAT-841 et Mirella et al. 2018-UNAT-842, la réclamation est rejetée.
En l'absence de tout point de droit discutable et étant donné les décisions contraignantes du tribunal d'appel dans les jugements susmentionnés sur les affaires de l'échelle salariale, les réclamations sont rejetées.
Le Tribunal a jugé que seule la décision du 10 août 2016 contrôlait parce qu'elle a informé le demandeur en termes incertains que sa nomination P-4 allait être annulée. Il a demandé l'évaluation de la direction le 7 octobre 2016, qui était bien dans le délai de 60 jours énoncé dans les règles du personnel 11.2 (a) et 11.2 (c). Cette réclamation était donc à recevoir. La révocation de la nomination du demandeur ab initio était disproportionnée et donc illégale. La reprise des émoluments payants du demandeur était en conséquence sans base. Le refus de payer les prestations du demandeur se...
Précision Les demandes ont été trouvées à recevoir pour les raisons suivantes: 1) La règle 11.2 (a) du personnel avait été observée parce que les demandeurs ont demandé une évaluation de la gestion à temps. 2) Les décisions administratives individuelles, à savoir appliquer le nouvel ajustement post-ajustement par rapport aux requérants, avaient été émises et mises en œuvre, comme l'ont démontré leurs bordereaux de salaire de février 2018. 3) L'allocation de transition n'était pas un acte pré-préfère, mais un corollaire à l'abaissement d'un composant salarial. 4) Le Tribunal a rejeté la demande...