En appel, Unat a noté que l'appelant avait reconnu dans un mémorandum du 6 juillet 2002 qu'il conduisait après les heures de service lorsque l'accident s'est produit. Unat a jugé que l'appelant n'avait fourni aucun documentaire ou autre preuve contraire. Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé en fait lorsqu'il a constaté que l'appelant n'était pas en service au moment de l'accident et n'a pas commis de droit lorsqu'il a déterminé qu'il n'avait aucun droit légal de compensation en vertu de la MTTI n ° 6. UNAT a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas fait d'erreur de droit dans la réduction de...
Preuve
Unat a jugé que l'appelant n'avait pas montré que UNT a dépassé son pouvoir discrétionnaire en matière de gestion des cas. Unat a noté qu'il était incontestable que l'appelant avait fait une demande à UNT pour que son témoin soit appelé. Unat a constaté qu'il n'y avait aucune mention de témoin dans le jugement de l'UND et qu'il n'était pas clair que l'UNDT avait considéré cette preuve. Unat a soutenu que l'appelant aurait dû avoir la possibilité d'appeler son témoin ou d'une explication de UNDT pour ne pas avoir appelé le témoin. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de procédure, comme...
Unat a considéré un appel contre l'ordonnance n ° 057 (UNRWA / DT / 2014) et le jugement n ° UNRWA / DT / 2014/027. Unat a rejeté la demande de confidentialité de l’appelant et pour la rédaction de son nom du jugement de l’UNRWA DT et a confirmé le raisonnement de l’UNRWA DT. Unat a nié la demande de l'appelant de soumettre de nouvelles preuves à Unat au motif que l'appelant n'a expliqué pourquoi il a été empêché de les déposer précédemment, des circonstances exceptionnelles n'existaient pas et son contenu n'aurait pas affecté la décision de la décision de la décision de Cas. Unat a soutenu qu...
UNAT a considéré l'appel, en particulier de savoir si Unrwa dt a commis une erreur en rejetant les requêtes des membres du personnel pour apporter des preuves supplémentaires sur le motif de la créance, et si Unrwa dt a commis une erreur en concluant que la décision contestée finale avait été prise le 3 août 2014. Unat a constaté qu'Abu Malluh et al. a agi avec diligence raisonnable dans la procédure avant Unrwa dt et a en outre démontré que les preuves supplémentaires qu'ils cherchaient à avoir admis auraient conduit à différentes conclusions de fait et modifié l'issue de l'affaire. Unat a...
UNAT a considéré l'appel et a constaté que la manière dont UNDT a fait enquêter sur les faits contestés, dans ce cas, était insuffisante. Unat a soutenu que, comme il n'y avait pas eu de recherche de faits adéquate, il n'y avait pas suffisamment de preuves avant de décider de l'appel. UNAT en conséquence a estimé que la nécessité de plus de preuves et une détermination factuelle fondée sur elle, a exigé que l'affaire soit renvoyée pour une nouvelle considération, conformément à l'article 2, paragraphe 3, de la loi Unat. Immêlé l'appel, annulé le jugement de UNDT et renvoyé l'affaire à UNDT.
Unat a rejeté la demande d'audience orale concluant que les questions factuelles et juridiques résultant de l'appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'y avait pas besoin de clarification supplémentaire. Unat a rejeté la requête en déposant des plaidoiries et des preuves supplémentaires, car l'appelant n'avait pas démontré l'existence de circonstances exceptionnelles qui justifiaient la nécessité de déposer des plaidoiries supplémentaires ou de soumettre des preuves supplémentaires. Unat a jugé que la requête ne présentait que des affirmations factuelles et...
Unat a rejeté la demande d'une audience orale concluant que l'appel avait été clairement défini et qu'il n'était pas nécessaire de clarifier davantage. Unat a rejeté la requête en déposant des plaidoiries supplémentaires et des preuves supplémentaires, car l'appelant n'avait pas démontré une existence de circonstances exceptionnelles qui justifiaient la nécessité de déposer des plaidoiries supplémentaires ou de soumettre des preuves supplémentaires. Unat a jugé que la requête ne présentait que des affirmations factuelles et juridiques qui ont réitéré les arguments présentés dans le mémoire d...
Unat a jugé que les appelants n'avaient présenté aucune preuve montrant qu'ils avaient subi une détresse mentale au cours de l'enquête, et ces preuves étaient nécessaires pour une attribution de dommages-intérêts moraux. Unat a jugé qu’il n’y avait aucun fondement dans la réclamation de l’appelant selon laquelle l’UNRWA DT avait commis une erreur en ne leur accordant pas une compensation pour le long retard administratif au cours de l’enquête. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a rejeté la demande d'audience orale concluant qu'une audience orale n'était ni nécessaire ni aider à l'élimination rapide et équitable de l'affaire. En ce qui concerne la requête de l’appelant, Unat a jugé qu’il n’y avait aucune situation exceptionnelle qui justifierait l’octroi de la requête. Unat a soutenu que la requête était essentiellement une tentative de l'appelant de compléter les arguments déjà présentés dans ses soumissions d'appel. Unat a rejeté la requête. En ce qui concerne les soumissions de l'appel, Unat a jugé que l'UNDT avait commis une erreur en droit en rejetant la...
UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général contestant l'indemnisation des dommages moraux. Unat a jugé qu'il y avait suffisamment de preuves produites que le montant de l'indemnisation des dommages-intérêts moraux avait été versé sur le compte bancaire du membre du personnel. Unat a jugé que le paiement de l'indemnisation constituait une acceptation du secrétaire général du jugement de l'UND. Unat a jugé que l'appel était donc sans objet. UNAT a rejeté la demande du membre du personnel en matière de frais contre le Secrétaire général en raison de la violence de processus. Unat a soutenu...