Le tribunal a constaté que la décision d'abolir le poste de responsable de la protection de l'enfance au Darfour, au Soudan, n'est pas soumis à un examen judiciaire. Cet aspect de l'application était une ratione materiae non réceptable. Le tribunal a constaté que l’administration n’a pas agi illégalement en ne renouvelant pas le contrat du demandeur parce que le contrat lui-même était clair qu’il expirait le 31 décembre 2018. Les contrats à durée déterminée ne bénéficient pas d’attente de renouvellement.
Non-renouvellement
L'évaluation du rendement du demandeur était juste et soutenue par les faits en preuve. L’administration était justifiée de décider de ne pas prolonger la nomination temporaire du demandeur pour une mauvaise performance. Il n'y avait aucune justification pour prolonger la nomination du demandeur au-delà du maximum de 364 jours. La requérante a déposé une plainte de harcèlement après avoir reçu la demande d'évaluation de la direction. Elle n'a donc pas été en mesure de montrer un lien entre sa plainte et la décision de ne pas renouveler sa nomination étant donné que la décision s'est produite...
Le tribunal a trouvé la demande à recevoir parce que: 1) Bien que les candidats, qui étaient auto-représentés, se soient fait référence et abordés certaines des résultats de la réponse d'évaluation de la gestion à la section VII de leur demande, les candidatures n'étaient évidemment pas dirigées contre l'évaluation de la direction Réponse unitaire mais plutôt à la décision de ne pas renouveler leurs nominations au-delà du 30 juin 2019. 2) L'avis du 5 avril 2019 n'était pas sans ambiguïté et la décision de non-extension pourrait avoir été interprétée comme conditionnée à la future résolution de...
La question juridique pour déterminer en l'espèce est de savoir si la CNUP était sous l'obligation de prolonger un rendez-vous à durée déterminée dans le seul but d'autoriser un membre du personnel à utiliser son droit de congé de maladie. La réponse est négative, car le tribunal a constaté qu'il n'y avait aucune preuve dans le dossier pour conclure que le cadre juridique de la CNUP comprenait une telle obligation. Ni la règle 6.2 (a) ni la directive opérationnelle OND.PCG.2017.01 sur les ressources humaines, l'éthique et la culture (en fait à partir du 15 août 2017) ne contiennent toute...
La nomination du demandeur n'a pas été renouvelée en raison de ses propres demandes de départ avant la fin de sa rotation de quatre ans à ce poste. Le dossier montre que la requérante était bien consciente des raisons de la non-renouvellement de son poste et aurait compris le contenu de la lettre de notification liée directement à ses demandes à la directrice et à la directrice adjointe de quitter son poste. Le dossier démontre clairement que la publication du demandeur a été annoncée en raison de sa demande de quitter la Guyana du PNUD avant la fin de sa rotation de quatre ans. Le demandeur...
Le tribunal comprend que, à la lumière des courriels des RH, le demandeur aurait raisonnablement compris par erreur que son contrat serait encore prolongé en attente de procédures dans ses cas devant le Tribunal des litiges. Comme le demandeur n'a pas demandé d'évaluation de la gestion dans cette date limite et a attendu jusqu'au 22 juin 2019, sa demande n'est pas à recevoir.
Les preuves ont montré que le poste du demandeur avait été abolie et que son rendez-vous à durée déterminée n’a pas été prolongé pour cette raison. Par conséquent, la raison prévue par l'administration pour le non-renouvellement était légale. Le demandeur a produit des preuves insuffisantes selon lesquelles il a été promis un renouvellement. Le demandeur devrait être conscient que sa nomination à durée déterminée a expiré automatiquement à la fin de sa durée. L'administration a correctement informé le demandeur de la non-renouvellement de sa nomination. Bien que la notification de la décision...
La décision de ne pas renouveler la nomination du demandeur au-delà du 15 janvier 2020 a été remplacée par des décisions ultérieures qui ont entraîné le renouvellement de la nomination du demandeur jusqu'en juin 2020. À part allégument que les préjugés et les abus d'autorité ont conduit à la décision remplacée, le demandeur n'a pas démontré de démontrer au tribunal comment ses droits sont restés négativement affectés par la décision contestée.
L'administration a informé le demandeur qu '«il émettra une réprimande administrative». La demande d'évaluation de la gestion a été faite dans les 60 jours suivant cette communication et la demande est donc à recevoir même si la réprimande réelle a été publiée des mois plus tard. L'administration a décidé que la requérante n'avait pas exercé son pouvoir discrétionnaire et réglementé sa conduite «avec les intérêts des Nations Unies uniquement en vue» et l'expression de ses opinions personnelles. Bien qu'il n'y ait pas de règle spécifique obligeant le demandeur à consulter l'UNICEF avant d...
La requérante n'était pas membre du personnel au moment de la décision contestée, et son ancien emploi était avec une entité différente de celle concernée par la décision administrative en cours d'examen dans cette affaire. Aucun lien n’existait entre l’ancien emploi du demandeur auprès de l’organisation et la décision administrative à l’examen, et le requérant n’a donc pas permis de contester cette décision. L'annulation d'un processus de sélection n'est pas une décision administrative contestable. Dans ce cas, l'ouverture de l'emploi annulée a finalement été réadversée et le demandeur a...