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2020-UNAT-1024

2020-UNAT-1024, Nyawa

Décisions du TANU ou du TCNU

UNAT a considéré un appel du Secrétaire général et un appel à l'appel de M. Nyawa. Unat a soutenu qu'il y avait des preuves claires et convaincantes que M. Nyawa avait commis les infractions disciplinaires qui lui étaient attribuées. Unat a estimé que les faits établis équivalaient à une faute de la part de M. Nyawa. Inscrit en désaccord avec UNDT qu'une censure écrite a été subsumée par la sanction de l'adférenmentation pour l'admissibilité à la promotion, cependant, Unat a constaté que la détention de l'UNDT selon laquelle l'adhésion à l'admissibilité à la promotion était une sanction suffisante n'était pas une décision manifestement déraisonnable justifiant l'intervention non. UndT n'a commis aucune question de droit ou de fait autorisant les interférences par Unat. UNAT a rejeté l'appel et l'appel croisé et affirmé le jugement de l'UND.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Le demandeur a contesté la décision de l'administration selon laquelle sa conduite, de ne pas signaler un incident grave auquel il avait répondu ou prenait des mesures appropriées, équivalait à une faute et à l'imposition ultérieure de mesures disciplinaires. UNDT a constaté que la sanction de report d'admissibilité à l'examen de la promotion pendant 2 ans et que la mesure administrative obligeant le membre du personnel à suivre un cours de sensibilité au sexe était à la fois raisonnable et non disproportionnée. UNDT a constaté qu'il n'y avait aucun but à combiner la mesure disciplinaire de l'adhésion à l'admissibilité à la promotion avec une censure écrite, car la seconde a été subsumée par la première. Undt a confirmé la mesure disciplinaire du report de la promotion pendant deux ans, mais a rejeté l'accusation selon laquelle le demandeur avait demandé à d'autres membres du personnel de fournir de fausses informations. UNDT a ordonné la résiliation de la décision d'imposer la mesure disciplinaire de la censure écrite.

Principe(s) Juridique(s)

UNDT a un large pouvoir discrétionnaire en vertu de l'article 18, paragraphe 1, de l'UNDT ROP pour déterminer l'admissibilité de toute preuve et le poids à attacher à ces preuves. Un certain degré de déférence doit être accordé aux conclusions factuelles de UNT comme la Cour de première instance, en particulier lorsque des preuves orales sont fournies. Les tribunaux interviendront et annulent ou modifieront une sanction imposée par l'administration où la sanction imposée est manifestement illégale, arbitraire, adoptée au-delà des limites énoncées par les normes respectives, excessives, abusives, discriminatoires ou absurdes dans sa gravité. Le secrétaire général a le pouvoir discrétionnaire de peser des circonstances aggravantes et atténuantes lorsqu'il décide de la sanction appropriée à imposer.

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Appel rejeté sur le fond

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.