2010-UNAT-016, Tebeyne
UNAT a examiné l’appel et a confirmé la décision de l’UNJSPF. Unat a constaté que l'UNJSPF a présenté des preuves crédibles qui ont démontré que le décret de divorce du Cameroun n'était pas valide et que le défunt n'a eu aucune procédure pour dissoudre son mariage avec sa première épouse en dehors de la procédure de divorce des États-Unis, qui a été licenciée par sa mort. En tirant cette conclusion, Unat a trouvé inutile de traiter les reliefs supplémentaires recherchés par l'appelant. UNAT a donc confirmé la décision de l'UNJSPF d'accorder la prestation de la veuve à la première épouse de l'ancien membre du personnel et a nié tous les reliefs demandés par l'appelant.
À la mort d'un ancien membre du personnel de l'U. N., UNJSPF a reconnu son premier conjoint comme son épouse légale. L'UNJSPF a donc constaté que la première épouse avait droit à la réception continue de la prestation d'une veuve. La deuxième épouse du défunt a fait appel, affirmant qu'elle était la seule conjoint survivant du défunt.
Une procédure de divorce valide, dans le pays dans lequel le mariage a eu lieu, doit commencer avant le décès d'un membre du personnel afin qu'un conjoint ultérieur puisse recevoir une prestation de la veuve.