Les preuves montrent que la requérante a été avisée de ses pertes de performance oralement pendant la période de la première évaluation de la performance et par écrit par la suite. La requérante a continué de recevoir des commentaires sur son évaluation tout au long de la période de la deuxième évaluation. La requérante a choisi de soumettre une déclaration explicative écrite qui, comme convenu avec l'unité d'évaluation de la direction, a été incluse dans son dossier officiel. En conclusion, les preuves montrent que si certaines irrégularités procédurales se sont produites dans l...
Engagement temporaire
La décision contestée est née d'un accord signé le 21 avril 2020 entre le demandeur et l'UNICEF pour résilier sa nomination. Si la requérante avait souhaité contester les circonstances de son accord de licenciement, elle aurait dû demander l'évaluation de la direction d'ici le 20 juin 2020. Elle a toutefois soumis sa demande le 18 janvier 2021, près de sept mois plus tard et en dehors de la période de 60 jours. La demande d'évaluation de la gestion a été barrée dans le temps et donc la demande n'était pas à recevoir.
La requérante n'a pas montré que la décision d'emploi négative avait des conséquences défavorables directes sur son contrat. L'argument du requérant selon lequel la décision a été utilisée par l'administration pour ne pas renouveler son emploi temporaire est sans fondement. Elle n'a trouvé aucune preuve pour étayer sa réclamation. Au contraire, l'intimé a montré que l'emploi temporaire a expiré à la fin des 364 jours maximum offerts dans le contrat. La requérante n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que la décision de ne pas renouveler son emploi temporaire était une conséquence directe de...