¹ú²úAV

Compétence / recevabilité (TANU)

Showing 181 - 190 of 196

Sur la demande d'audience orale, Unat a jugé que l'affaire pouvait être considérée comme des soumissions écrites et qu'il n'était pas persuadé qu'une audience orale était nécessaire dans l'intérêt de la justice. Unat a jugé que les plaintes de l'appelant concernaient le contenu des ordonnances prises, et non sur la question de savoir si UNDT était habilité à rendre de telles ordonnances, et en tant que tel, son appel n'était pas à recevoir et devait être rejeté. Notant que l'affaire serait rejetée, Unat a fait les observations suivantes sur le fond de l'appel: (1) UNDT avait le droit de...

UNAT a renvoyé l'affaire au SAB, ordonnant que l'appel soit reconsidéré par un processus de première instance neutre qui rend une décision finale. Citant Dispert & Hoe, Spinardi, Sheffer, Fogarty et Fogarty et al., Le tribunal a expliqué que le SAB doit satisfaire à l'exigence en vertu de l'article 2 (10) du statut Unat, qui exige que le premier processus d'instance produise une décision finale sur L'appel et non une recommandation au Secrétaire général, comme ce fut le cas en vertu du Règlement du personnel et des règles du personnel de l'OMI (SRSR). Le Tribunal a également remis en question...

UNAT a rejeté l'appel, le jugeant non créable. Le Tribunal a expliqué que les décisions de l'UNT sur les demandes de suspension de l'action ne sont pas soumises à l'appel, conformément à l'article 2, paragraphe 2, de la loi UNDT. Le Tribunal a également noté que cette affaire n'était pas relevée des exceptions étroites lorsque des appels contre les ordonnances interlocutoires sont autorisés, c'est-à-dire lorsqu'il est allégué que l'UNDT a dépassé sa compétence ou sa juridiction. Unat n'a trouvé aucun excès de compétence en l'espèce et a donc jugé l'appel irrécouvrable.

Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en droit en ne prenant pas compte des éléments de preuve impliquant fortement qu'il y avait eu une décision administrative de l'UNRWA de ne pas verser à ceux qui les ont revendiqués comme leur droit, et donc concluant à tort qu'il n'y avait aucune preuve d'un administratif décision affectant les droits de l'appelant. Cependant, Unat a jugé que le jugement de l’UNRWA DT rejetant la demande de l’appelant devait être maintenu pour des motifs de retard de leur demande d’évaluation de la gestion. UNAT a rejeté les appels et a confirmé le jugement...

Les tribunaux n’ont pas de révision des décisions ICSC, ils ont compétence pour revoir le pouvoir mécanique du Secrétaire général dans la mise en œuvre de telles décisions pour des motifs étroits de légalité. La décision ICSC d'ajuster l'échelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'étaient pas une décision révisable. La mise en œuvre par le Secrétaire général de cette décision était une décision administrative car ce n'était pas une politique générale, mais avait un impact individuel défavorable par membre du personnel via leurs glissements de paie et était donc à...

Les tribunaux n’ont pas de révision des décisions ICSC, ils ont compétence pour revoir le pouvoir mécanique du Secrétaire général dans la mise en œuvre de telles décisions pour des motifs étroits de légalité. La décision ICSC d'ajuster l'échelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'étaient pas une décision révisable. La mise en œuvre par le Secrétaire général de cette décision était une décision administrative car ce n'était pas une politique générale, mais avait un impact individuel défavorable par membre du personnel via leurs glissements de paie et était donc à...

Les tribunaux n’ont pas de révision des décisions ICSC, ils ont compétence pour revoir le pouvoir mécanique du Secrétaire général dans la mise en œuvre de telles décisions pour des motifs étroits de légalité. La décision ICSC d'ajuster l'échelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'étaient pas une décision révisable. La mise en œuvre par le Secrétaire général de cette décision était une décision administrative car ce n'était pas une politique générale, mais avait un impact individuel défavorable par membre du personnel via leurs glissements de paie et était donc à...

Appels rejetés, les jugements undt ont confirmé. Les tribunaux n’ont pas de révision des décisions ICSC, ils ont compétence pour revoir le pouvoir mécanique du Secrétaire général dans la mise en œuvre de telles décisions pour des motifs étroits de légalité. La décision ICSC d'ajuster l'échelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'étaient pas une décision révisable. La mise en œuvre par le Secrétaire général de cette décision était une décision administrative car ce n'était pas une politique générale, mais avait un impact individuel défavorable par membre du personnel...

Appels rejetés, les jugements undt ont confirmé. Les tribunaux n’ont pas de révision des décisions ICSC, ils ont compétence pour revoir le pouvoir mécanique du Secrétaire général dans la mise en œuvre de telles décisions pour des motifs étroits de légalité. La décision ICSC d'ajuster l'échelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'étaient pas une décision révisable. La mise en œuvre par le Secrétaire général de cette décision était une décision administrative car ce n'était pas une politique générale, mais avait un impact individuel défavorable par membre du personnel...

Appels rejetés, les jugements undt ont confirmé. Les tribunaux n’ont pas de révision des décisions ICSC, ils ont compétence pour revoir le pouvoir mécanique du Secrétaire général dans la mise en œuvre de telles décisions pour des motifs étroits de légalité. La décision ICSC d'ajuster l'échelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'ont pas été révisables. La mise en œuvre par le Secrétaire général de cette décision était une décision administrative car ce n'était pas une politique générale, mais avait un impact défavorable individuel par membre du personnel via leurs...