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Absence d'espoir de renouvellement

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UNDT/2015/122, Chalabi

Consultation avant la décision contestée: le demandeur a allégué qu'il n'avait pas été consulté avant la prise de décision contestée. Le Tribunal était cependant convaincu que le demandeur avait rédigé un avis sur la décision imminente dès le 7 janvier 2013 et qu'à partir de cette date, il s'est engagé dans une correspondance approfondie avec l'administration sur cette question. Le tribunal a jugé que le demandeur avait été consulté et que cette consultation a connu le test énoncé précédemment dans Rees UNDT / 2011/156, Gehr UNT / 2011/142 et Adundo et al. UNDT / 2012/188 ENREGISTANCE LÉGITIVE...

UNDT/2016/012, Kifle

Le tribunal a conclu que le non-renouvellement de la nomination à durée déterminée du demandeur (ALE) était illégal parce qu'il a été soumis à tort à un processus de recrutement et de sélection après avoir été passé avec succès de l'UNMIS à uniss Coordinateur dans Aweil. Le demandeur a obtenu une rémunération du salaire de base net d'un an. Transfert latéral: Le Tribunal a noté l'absence de termes importants dans la lettre du 19 décembre 2010 concernant la durée de la cession et de la réabsorption et a conclu que le demandeur avait en fait été transféré latéralement conformément à la section 2...

L'UNDT a constaté que la Minustah a commis une erreur lorsqu'elle a exclu le demandeur du processus de révision comparatif. L'UNDT a constaté que le processus aurait dû inclure tout le personnel pour tous les postes disponibles lors de la mission après un retranchement, ce qui n'a pas été fait dans ce cas. L'UNDT a constaté que les droits du demandeur avaient été violés en ce qu'elle n'a pas été examinée par le comité d'examen comparatif contre tous les postes restants dans la nouvelle structure de mission. L'UNDT a toutefois constaté que le contrat du demandeur a expiré et n’était pas résilié...

Aucune preuve n'a montré un lien entre le demandeur ayant exprimé ses opinions divergentes sur une affaire liée au travail et la décision de ne pas renouveler sa nomination à durée déterminée. La décision de ne pas prolonger la nomination à durée déterminée était fondée sur les exigences opérationnelles et a suivi la décision du Conseil de sécurité de retirer Minujunth. La requérante n'avait aucune attente de renouvellement de sa nomination à durée déterminée. Aucune preuve n'a montré que Minjusth faisait une promesse écrite pour étendre le rendez-vous à durée déterminée du demandeur. Il n'y a...

La nomination du demandeur n’a pas été prolongée au-delà de son expiration en raison de la liquidation de la mission. La décision de ne pas prolonger la nomination a été étayée par la preuve et donc légale. Le fait que le demandeur ait contracté en dette personnelle ne génère pas l'obligation de l'administration de lui trouver un autre poste sur la fermeture de la mission.

Le Tribunal a conclu que sur la base du dossier qui l'avait été saisi, il n'était pas contesté que la décision d'abolir le poste que le demandeur occupait et, par conséquent, la décision de ne pas prolonger sa nomination est originaire de la restructuration approuvée dans le budget 2016/17 pour l'UNISFA par l'Assemblée générale. Le tribunal a en outre jugé que le demandeur n'avait pas justifié les allégations de discrimination à l'égard de lui. À ce titre, la décision contestée a été prise conformément aux règles et réglementations pertinentes. En conséquence, la demande a été rejetée.

UNDT a estimé que puisque la requérante était séparée en raison de l'expiration de sa nomination à durée déterminée, sa séparation ne pouvait pas être considérée comme une résiliation conformément à la règle 9.6 (b) du personnel. Par conséquent, les critères de retenue mentionnés dans la règle 9.6 (e) du personnel n’étaient pas applicables au cas du demandeur, et elle n’a pas droit à une indemnité de licenciement conformément au règlement du personnel 9.3 (c). UNDT a jugé que la décision contestée était légale et que le demandeur n'avait pas droit aux recours demandés. Undt a rejeté la demande...

La nomination du demandeur reposait avec la section des ressources humaines et non le DMS, la simple recommandation de cette dernière extension du contrat ne constituait pas un engagement ferme pour l'organisation en vertu de la jurisprudence applicable, et la prolongation de sa réussite du terrain, qui est une simple autorisation organisationnelle. Par conséquent, le tribunal constate que le demandeur n'avait pas d'attente légitime de renouvellement de sa nomination à durée déterminée. Le poste du demandeur figurait parmi ceux dont la fonction unique devait être abolie dans l'unité affectée...