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La ville de Ménaka au Mali enregistre plus de 4 000 personnes déplacées internes.

Le Cameroun est devenu le 6ème pays africain à adhérer à la Convention des Nations Unies sur l'eau et donne ainsi un coup de pouce à la coopération sur les eaux partagées.

Les , la dégradation de l'environnement et la croissance démographique aggravent le . Cela non seulement menace la sécurité alimentaire et l’économie, mais pourrait aussi pousser  de personnes à l’exil d’ici 2030.

Le Défi de l’eau douce, annoncé lors de la , vise à restaurer 300 000 kilomètres de cours d’eau, l’équivalent de plus de sept fois le tour de la Terre, ainsi que 350 millions d’hectares de zones humides, une superficie plus grande que l’Inde, d’ici à 2030.

La crise mondiale de l’eau menace aujourd’hui le développement. Le coût économique mondial de l’insécurité hydrique est estimé à près de 500 milliards de dollars par an. L’aggravation des sécheresses et des inondations due au changement climatique et à l’explosion démographique ne fait qu’exacerber le problème.

D’après une nouvelle analyse de l’, 190 millions d’enfants vivant dans 10 pays africains courent des risques extrêmement élevés en raison de la convergence de trois menaces liées à l’eau : l’inadéquation des services d'approvisionnement en eau, d'assainissement et d’hygiène  ; les maladies résultant de cette situation ; et les aléas climatiques.

Une réunion d’information scientifique à l'Assemblée générale a donné lieu récemment à un débat entre éminents scientifiques et universitaires autour de la question des coopérations et des conflits dans le domaine de l’eau.

En , la survie des enfants et des familles touchés par la sécheresse dépend de l’aide humanitaire.

Les peuples autochtones nous offrent des moyens précieux pour faire face à la crise mondiale de l'eau grâce à leurs pratiques traditionnelles, tant en termes de gestion durable des écosystèmes aquatiques que de gouvernance démocratique de l'eau potable et de l'assainissement [en anglais].

La nation wampís protège la plus large forêt tropicale au monde, et aujourd’hui, après des décennies de combat intense pour défendre son territoire, elle mène un effort considérable pour affronter la crise de l’eau en préservant les « rivières volantes »dans le nord-est de l’Amazonie péruvienne..

L'eau est l'une des ressources les plus précieuses au monde et l'accès à l'eau potable et à des aliments sains et nutritifs est un droit humain fondamental. L'eau est essentielle pour la santé, l'agriculture, l'élevage et la pêche. Pourtant, la qualité mondiale de l'eau se détériore à un rythme alarmant et les ressources en terres et en eau dans le monde sont à un point de rupture, selon le dernier rapport de la , .

Aujourd’hui, 3,2 milliards de personnes vivent dans des régions agricoles qui connaissent des pénuries d’eau ou une rareté de l’eau élevées ou très élevées. Si nous n’agissons pas rapidement, bien plus de personnes encore seront touchées. De nombreuses mesures peuvent être prises dans le monde, en fonction du contexte, pour obtenir une utilisation de l’eau plus durable. La FAO présente des pistes de solutions.

Les villes et zones urbaines d’Afrique devraient connaître une croissance démographique fulgurante dans les décennies à venir. Comment y assurer un approvisionnement en eau adéquat ?

Les cultures irriguées, le bétail, la pêche, l’aquaculture et la foresterie représentent environ 70% du total des prélèvements d'eau douce dans le monde et plus de 90% dans la majorité des pays les moins avancés. Le encourage la mise en place de pratiques permettant de renforcer l'efficacité de l'irrigation et d'augmenter la productivité de l'eau.

Les eaux souterraines représentent 99 % de toutes les réserves d’eau douce liquide sur Terre. Cependant, cette ressource naturelle est souvent mal comprise, sous-évaluée et mal gérée. D’après le dernier sur la mise en valeur des ressources en eau, publié par l’, l’immense potentiel des eaux souterraines et la nécessité de les gérer de façon durable ne peuvent désormais plus être négligés.