Cinq ans après qu’une photo primée par le Pulitzer l’ait présenté comme l’un des visages de la crise des réfugiés rohingyas, un jeune réfugié s’est désormais lui-même équipé d’un appareil photo.
Personnes déplacées et réfugiés
Le 3 août 2014, l'État islamique en Iraq et au Levant (EIIL) a lancé son offensive à Sinjar - la terre ancestrale des Yézidis d'Iraq, causant des milliers de victimes et de déplacements forcés. Huit ans plus tard, la question demeure : comment une communauté peut-elle guérir ?
La nourriture peut être un puissant outil d'intégration, mais pour de nombreuses personnes qui ont dû fuir, la nourriture est aussi une préoccupation constante. Dans un nouveau , les réfugiés et les personnes déplacées des Amériques et des Caraïbes partagent leurs histoires et les saveurs de leur pays d'hier et d'aujourd'hui.
Les femmes et les filles payent un lourd tribut aux crises et aux conflits. L' partage les histoires de cinq femme : comment leur vie a changé depuis qu'elles ont quitté l'Ukraine et comment elle réapprennent à vivre en Moldavie.
Nataliia, une spécialiste des droits de l'homme au sein de la recueille auprès des personnes délacées des informations de première main sur les allégations d'atteintes aux droits humains internationaux et de violations du droit humanitaire résultant de l'attaque armée de la Fédération de Russie contre l'Ukraine.
Viktoria Kravets, jeune lycéenne ukrainienne de 17 ans, a dû mettre de côté des manuels scolaires pour le moment et travaille comme bénévole auprès du Tvory Volunteering Centre, pour en registrer les réfugiés. Le centre travaille avec Molodvizh, une organisation de jeunes partenaire de l'.
Des groupes de jeunes issus des communautés rakhine et rohingya proposent des solutions à des problèmes communs dans l’État de Rakhine, une région du Myanmar marquée par les divisions ethniques.
La fin des combats en Afghanistan cet été a permis à après six ans de déménagement entre des habitations temporaires. Mais ils ont été accueillis à leur retour il y a quelques semaines par un spectacle déchirant : toute la partie arrière de leur maison a été réduite à des gravats entourés de murs. Il ne reste guère de bâtiment dans la ville qui ne porte pas les cicatrices du conflit.
À Kaboul, près de 50 000 déplacés afghans qui ont fui d’autres régions du pays suite aux récents affrontements ont désespérément besoin d’aide avant que l’hiver ne s’installe. Avec l’hiver qui approche à grands pas, les températures dans la capitale avoisinent déjà 0°C la nuit et peuvent descendre jusqu’à -25°C au milieu de l’hiver, exposant les personnes qui dorment dehors à l’hypothermie. Au cours des deux dernières semaines, le HCR a aidé environ 100 000 personnes à travers l’Afghanistan en leur fournissant des abris d’urgence, des couvertures, des panneaux solaires et de l’argent liquide pour les plus vulnérables. Au total, plus d’un demi-million de personnes déplacées ont bénéficié d’une assistance depuis le début de l’année.
Un récent rapport de l'OIM appelle à améliorer de toute urgence le soutien apporté aux dizaines de milliers de familles de migrants disparus qui sont souvent obligés de s'en remettre aux passeurs et aux réseaux informels pour retrouver leurs proches.
Les hommes éthiopiens représentent 72 % des mouvements de migrants en direction de Djibouti, mais l'OIM observe un nombre plus élevé d'enfants migrants non accompagnés qui entreprennent ce dangereux voyage.
La 2021 se concentre sur le pouvoir de l'inclusion. Notre expérience commune de la COVID-19 nous a montré que nous ne pouvons réussir que lorsque nous sommes solidaires. Nous avons tous eu un rôle à jouer pour assurer la sécurité des uns et des autres, et les réfugiés et les personnes déplacées se sont montrés à la hauteur de ce défi. S'ils en ont la possibilité, les réfugiés continueront à contribuer à un monde plus fort, plus sûr et plus dynamique. Rejoignez-nous cette année à l’occasion de cette Journée et aidez-nous à faire en sorte que les réfugiés du monde entier soient protégés et inclus dans les soins de santé, l’éducation et le sport. Ce n'est qu'en travaillant ensemble que nous pourrons nous relever de la pandémie.
Le HCR, et HelpAge International soulignent que la pandémie de Covid-19 menace les personnes déracinées d’âge avancé à travers l’Amérique latine en dégradant leur bien-être et en limitant leur accès aux droits fondamentaux et services essentiels. Selon une évaluation conjointe réalisée en Colombie, en Équateur, au Salvador, au Honduras et au Pérou, la pandémie exacerbe les menaces qui pesaient déjà sur la santé physique et mentale, la nutrition, l’autonomie financière et le statut juridique des réfugiés et d’autres personnes déplacées d’âge avancé. La moitié des personnes interrogées ont déclaré avoir été confrontées à la discrimination tandis qu’un nombre inquiétant d’entre elles ont rapporté des abus.
Selon une nouvelle étude publiée par le HCR et l'OCDE, 1,5 million de personnes issues des principaux pays de provenance de réfugiés ont été admises par 35 pays membres de l’OCDE et le Brésil par le biais de visas de travail, d’étudiants ou familiaux durant la décennie ayant précédé la pandémie de Covid-19. Mais la pandémie de Covid-19 risque de mettre en péril les progrès exceptionnels réalisés pour étendre ces voies sûres et légales.
De multiples crises combinées augmentent la misère des familles syriennes qui tentent de survivre après 10 ans de conflit, y compris 6,7 millions de personnes qui sont toujours déplacées en Syrie. En dépit des défis immenses, les Syriens continuent de persévérer envers et contre tout et de tenter de reconstruire leur vie, souligne l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés ().