Unat a soutenu qu'il n'était pas approprié de statuer sur la requête du secrétaire général de l'ORCA concernant les affirmations de l'appelant qui mettent en cause le fonctionnement de l'Ajab comme le «processus de première instance neutre» à ce stade, car les problèmes soulevés dans la motion seraient décidés lorsque Unat avait considéré l'ensemble de la preuve dans l'appel. UNAT a rejeté la requête. Unat a jugé qu'Ajab avait donné une considération très approfondie, juste et éclairée du cas de l'appelant dans lequel il a examiné les irrégularités alléguées. Unat a rejeté la soumission de l...
Disciplinaire
Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...
Unat a considéré un appel du Secrétaire général des Nations Unies. Unat a jugé que la conduite prouvée de M. Khamis ne constituait pas elle-même une faute: il ne s'est pas engagé dans les relations sexuelles transactionnelles avec les personnes locales et ses relations sexuelles avec deux femmes locales étaient davantage dans la nature des domestiques, bien que polygames et ouverts, des relations. Unat a jugé qu'il n'était pas établi que les paiements effectués aux deux femmes étaient des transactions commerciales en échange de faveurs sexuelles. Unat a soutenu qu'il n'y avait pas un tel...
Le membre du personnel a fait appel à Unat Discusaning, entre autres, il n'y avait aucune preuve claire et convaincante dans le dossier montrant qu'il était conscient qu'il faisait l'objet d'une enquête au moment où il a postulé au poste de l'UNICEF. L'UNAT a déterminé que la lettre du conseiller juridique de l'OIM (un représentant autorisé d'une agence au sein du système des Nations Unies) a joui du statut de «loi officielle» et, en tant que tel, «la présomption de régularité». Le tribunal a constaté qu'une fois ces preuves produites, il incombait au membre du personnel de le réfuter, ce qu...
UNAT a rejeté l’appel du Secrétaire général et a accordé en partie l’appel du membre du personnel. Unat a constaté que l'UNDT ait correctement pris en compte plusieurs faits qui étaient pertinents pour déterminer s'il y avait eu une exploitation sexuelle et une abus de vulnérabilité ou de confiance. Le tribunal a estimé que le fardeau de l’administration devait montrer des preuves claires et convaincantes que la conduite du membre du personnel est tombée dans l’une des cinq catégories suivantes: (i) il a abusé d'un poste de vulnérabilité à des fins sexuelles; (ii) il a abusé d'une position de...
Dans ses conclusions, le Tribunal a constaté que les éléments de preuve à l'appui des accusations étaient crédibles et que le demandeur n'avait pas prouvé que la décision de le rejeter sommairement était arbitraire ou motivée par des préjugés ou d'autres facteurs étrangers, ou était défectueux par des irrégularités procédurales ou des erreurs de la loi. En ce qui concerne les allégations de violation du demandeur, le tribunal n'a pu trouver aucune preuve que les droits du demandeur avaient été violés. Le Tribunal était également convaincu que l'intimé avait libéré son fardeau de preuve et qu...
La pratique de la dépendance des enregistrements dans les premiers exercices de conclusion des faits et les notes d'entrevue des enquêteurs nommés dans le but d'établir une faute grave justifiant le licenciement sommaire devant le tribunal est fortement inadéquat et ne peut pas établir les faits en cause. Un enquêteur doit être déterminé à déterminer les faits de l'affaire par une enquête pertinente impliquant l'interrogatoire des témoins, des preuves médico-légales, la question de savoir et d'identification et de recouvrement de preuves documentaires pertinentes. Les conclusions de l...
UNDT a noté que la notification du secrétaire général adjoint du Bureau de la gestion des ressources humaines, dans un cas où le pouvoir d'émettre une réprimande a été délégué, n'est pas requis. Même si c'était le cas, son omission n'aurait pas pu avoir eu d'impact sur la validité de la décision contestée. Le requérant n'avait pas été correctement dispensé à commenter les faits et les circonstances avant la publication d'une réprimande écrite ou orale, donc son droit de répondre incarné par la règle 10.2 (c) n'a donc pas été observé. Les faits pertinents pour la décision n'ont pas été établis...
UNDT a décidé préliminairement de ne pas admettre le témoignage du coordinateur de l'organisation non gouvernementale (ONG) en preuve, jugeant qu'il n'était pas requis car le dossier des cas contenait déjà des preuves pertinentes par rapport aux faits dans lesquels il avait été impliqué. UNDT a jugé que les éléments de preuve ont montré que ni le demandeur ni le responsable de programme principal n'avaient été impliqués dans la mise en œuvre du projet. En fait, un officier supérieur de réintégration en avait une responsabilité globale car il a demandé une avance opérationnelle et, par...